Le 23 août dernier, le calvaire de quatre bûcherons marocains exploités a pris fin devant les prud’hommes de Châteauroux. La procédure est rare et l’obtention de gain de cause dans ces cas l’est tout autant, ce qui donne de l’espoir à d’autres ouvriers ailleurs en France.
Deux accidents ont eu lieu successivement, samedi et lundi derniers, dans le sud du pays, causant la mort de plusieurs ouvriers agricoles migrants. Le chef du gouvernement italien a fait le déplacement lors d’une manifestation des travailleurs, exploités par des «agromafias».
Les services de l’immigration de plusieurs pays européens exploitent les données mobiles des téléphones des migrants pour vérifier certains éléments de leurs récits, quand ce n’est pas pour les expulser.