Des mois après le début des travaux, des médias algériens ont accusé le Maroc d’entraver l'exploitation de la mine de fer de Gara Djebilet, située dans la province de Tindouf, près de la frontière avec le royaume.
Les accusés, dont deux femmes et deux ressortissants français, sont poursuivis pour «traite d’êtres humains entraînant une maladie mentale, participation à celle-ci, harcèlement sexuel et non signalement d’un crime», entre autres, dans le volet marocain de l’affaire Assu 2000. La première audience s’ouvre mardi devant la Chambre criminelle de première instance près la Cour d'appel de Tanger.