Bien plus que les déchets en plastique abandonnés directement sur les plages, les cours d'eau charient une quantité d’ordures qui sont ensuite déversées dans les mers et les océans.
Une étude de la London School of Hygiene and Tropical Medicine, l'UNICEF et l'Organisation mondiale de la santé (OMS), publiée cette semaine dans la revue The Lancet Global Health revient sur les proportions de naissances avec un faible poids dans le monde. Par pays, le Maroc enregistre le chiffre le plus important dans la région MENA et le 4e en Afrique quant à cette proportion.
Sur les hauteurs de l’Atlas central se niche la vallée des Aït Bouguemez, riche de la grande diversité de ses paysages et de sa nature distinguée. Cependant, ce fragile équilibre est aujourd’hui menacé. Une agence d’accompagnement des associations a lancé l’alerte.
Dans une étude rendue publique mercredi, une équipe de chercheurs s’est penchée sur le lien entre les cas d’asthme infantile et la pollution causée par le dioxyde d'azote (NO2), émis principalement dans l'air à cause de la combustion de carburant. Ainsi, le document prédit 290 cas d’asthme dus à cette pollution pour 100 000 enfants à Casablanca.
Malgré les mises en garde des autorités locales et des défenseurs de l’environnement, les activités liées à la production d’huile d’olive restent particulièrement polluantes. Une situation inquiétante, aggravée par une certaine impunité.
L’Organisation mondiale de la santé s’inquiète des risques pour la santé qu’encourt l’écrasante majorité des enfants dans le monde à cause de la pollution de l’air.
Depuis près d’un mois, des odeurs d’incinérations accompagnées d’un air lourd se ressentent à Casablanca. Les habitants reprochent aux pouvoirs publics une mauvaise gestion de la décharge publique, où les déchets brûlent à ciel ouvert.