Le secrétaire d’Etat belge à l’Asile et à la migration a invoqué le principe de confidentialité pour ne pas détailler les éléments retenus par la Sûreté de l’Etat à l’encontre de l’imam marocain, Mohamed Toujgani. Mais rendus publics, ils indiquent que l’imam aurait été en contact avec des prédicateurs, dont Mohamed Fizazi. Pour les organisations du culte
Au lendemain de l’annonce du retrait de son permis de séjour belge pour des raisons de sécurité nationale, selon le secrétaire d’Etat à l’Asile et à la migration, l’imam Mohamed Toujgani est revenu sur cette décision, dont il n’a pas été notifié en 2021. La révocation aurait été découverte au hasard d’une démarche administrative ordinaire.
Une semaine après les révélations sur les manœuvres de plaignants à l’encontre de l’Exécutif des musulmans de Belgique (EMB) qui serviraient aux membres du gouvernement belge dans leur conflit médiatique avec la représentation cultuelle, le secrétariat d’Etat à l’Asile et à la migration riposte. Il vise cette fois-ci un imam belgo-marocain.