Tout au long des siècles, la ville antique d'Anfa a survécu à plusieurs conquêtes étrangères. La ville côtière connue aujourd’hui sous le nom de Casablanca fait partie de l'histoire ancienne de l'Afrique du Nord. Contrôlée par les Amazighs, les Romains, et détruite par les Portugais, Anfa, comme un phénix, a su renaître de ses cendres pour devenir Dar el Beida plusieurs siècles plus tard.
Au XVIIe siècle, alors que le Maroc est divisé et le pouvoir saadien en place affaibli, un combattant de la tribu des Beni-Gorfet, de la région de Habt (Nord-Ouest du Maroc), mène alors une résistance acharnée contre les Portugais puis les Anglais. Mais la soif de Lakhdar Ghaïlan pour le pouvoir le pousse à combattre sur plusieurs fronts, avant d'être tué par Moulay Ismaïl.
Au début du XVIe siècle, les Portugais, déjà présents au Maroc, choisiront Mazagan, aux portes d’Azemmour, pour construire une forteresse. Ville portugaise jusqu’en 1769, elle devint marocaine puis française avant de céder la place à El Jadida.
Dans cette série, Yabiladi revient sur les grands lieux de pèlerinage juif au Maroc, visités annuellement par des milliers de fidèles et de curieux. Dans ce seizième épisode, nous vous racontons l’histoire d’Abraham Ben Zmirou, ses frères et ses fils, inhumés dans un sanctuaire à l’extérieur des remparts portugais de Safi. Sa Hiloula est célébrée généralement en août.
Antonio Guterres sera, sauf surprise, le prochain secrétaire général de l’ONU. Le Portugais est un homme d’Etat qui connaît les subtilités du dossier du Sahara occidental. Des connaissances qui le préparent à faire mieux que Ban Ki-moon.
On n’avait plus entendu parler de l’affaire de la petite fille Madeleine Mc Cann depuis le mois de mai dernier, date de la sortie du livre de sa mère Kate Mc Cann dans lequel elle raconte le cauchemar qu’elle a vécu et qu’elle continue de vivre quatre ans après la disparition de sa fille.Sept mois plus tard, des éléments secrets de l’enquête ressurgissent des tiroirs des détectives privés. Quatre pistes au
Après la colère et le choc du Maroc suite au vote négatif du parlement européen sur l’accord de pêche Maroc-UE (cf notre article), mercredi dernier, les choses paraissent plus claires comme de l'eau de roche pour le royaume : le pays saura se passer des 36 millions d’euros des Européens et se débrouiller tout seul pour développer le secteur de la pêche.