Menu

Breve

El Pais censuré au Maroc pour une caricature du roi

Publié
DR
Temps de lecture: 1'

Le numéro du quotidien espagnol de référence El Pais de jeudi 16 février a été censuré au Maroc. Sa distribution a été interdite car dans la «caricature, il y a une volonté délibérée de défigurer l'image pour porter atteinte à la personne du roi», a déclaré à l’AFP un responsable au ministère de la Communication.

La caricature du roi, reprise d'une page Facebook, accompagnait un article du journaliste espagnol Ignacio Cembrero, spécialiste du Maroc. Lui même a été étonné par la nouvelle. Selon lui, la caricature était «aimable et plutôt sympathique.»

Cette sanction fait suite à plusieurs censures récentes de : l’Express, le 21 décembre, le Nouvel Observateur, le 28 décembre, et le Pélerin, le 2 février. A l’interieur des frontières du royaume, deux jeunes hommes ont été condamnés, l’un à 3 ans de prison, le 13 février, l’autre  à un an de prison, le 16 février, pour atteinte à la personne du roi.

avoir été une puissance hier et être un confetti aujourd'hui.
Auteur : abdennahi
Date : le 20 février 2012 à 15h41
La population espagnole est à l’image de l’état de son économie en mode survie.
L’espagnol n’arrive pas avoir la poutre qu’il a dans l’œil il ne voit que la paille de son voisin .
En critiquant le Maroc l’Espagne espère détourner l’attention de son public .elle veut faire oublier son incapacité à s’imposer sur la scène européenne .l’espagne mendie de l’argent a l’Europepour eviter la faillite du pays .
Ils se savent dans le colimateur qu’ils ont menti et triché sur la gestion de leur subsidie reçu durant des décennies par l’Europe pour mettre leur économie a égalité avec le nord de l’Europe
aujourd’hui les instances européenne coupent le robinets des aides et du jour au lendemain l’Espagne voudrait récupérer des droits de pêches et des avantages agricoles en attaquant un pays comme le Maroc qui lui continue a recevoir les faveurs de l’europe
cela la lui fout mal à juan carlos il a l’image d’un roi d’espagnes ridicule sur le plan internationale et sur le plan relationnel de royauté à royauté juan carlos fait figure de petit parmi les grands de ce monde en laissant ces ministres propager des rumeurs fausses et dignes d’escroc il se met sur le même pied d’égalité que les diseuses de bonne aventure .
Rien de choquant
Auteur : abdo447
Date : le 20 février 2012 à 11h50
Ou est le problème si les espagnoles veulent Pêcher dans nos mer et Bloquent l'exportation de nos produits Agricole ??!!

ça s’appelle Juste l'Instinct de SURVIE.

chaque pays Défends ses Intérêts et le Maroc n'a qu'à faire de même !

Nous ne vivons pas dans un Monde Bisounours !!
chaque pays défend ses Interêt BEC-Et-Ongle!

et comme on dit au Maroc

" Soit un LION est Mange Moi" !!
Espagnol ??? juste une pure Sale Race
Auteur : moimoi57
Date : le 20 février 2012 à 11h17
les espagnols sont la pire Race sur Terre. rendez vous compte qu'ils manifestent contre l'UE pour pêcher dans nos mers et pour la même occasion jettent des tomates sur l'UE pour empêcher nos produits d'arriver en Europe .
vous vous rendez compte ?????? je pêche dans vos mers , mais tu vends pas tes produits chez nous .... !!
j'exige que le modérateur avant de rejetter mon commentaire d'aller faire un tour sur les forums espagnols et voir comment sont traîtés et insultés les Marocains !!
moi je prends l'avion juste pour éviter de ne pas passer par l'espagne : tu paies le plein du gasoil , tu manges , tu remplis leur Caisses ... mais t'es pas considéré comme un Client . juste une sous Merde .
les espagnoles sont ridicules..
Auteur : razak
Date : le 19 février 2012 à 12h40
les espagnoles sont des hypocrites alors qu'ils n'acceptent pas la caricatures des guignoles de l'info de canal plus en france ....
Polémique avec les Guignols de l'info : l'Espagne piquée au vif, jusqu'aux confins de l'absurdité



Par Benjamin Idrac dans Accueil le 13 Février 2012 à 10:57


Deux nouveaux sketches des Guignols, diffusés vendredi soir, et les réactions qu’ils ont suscité, auront suffi à faire basculer la polémique vers une véritable affaire d’Etat. Hommes politiques espagnols de tous bords se sont exprimés à l’unanimité pour condamner les marionnettes. L’élan anti-français sur les réseaux sociaux et dans l’oLa rigueur de l'hiver s'est abattue cette semaine sur les Pyrénées. Les communications sont coupées avec le versant espagnol, et d'après les prévisions, cela pourrait durer. Pourtant, la neige et le froid ne sont pas responsables d'une situation insolite, qui confine à l'absurde. Jugez plutôt : trois jours et trois sketches de marionnettes suffisent en 2012 à convertir une polémique démesurée en véritable affaire d'Etat entre deux pays européens frontaliers. Au point même de semer le malentendu dans leurs relations diplomatiques. L'humour satirique de Canal Plus ne fait rire personne en Espagne, c’est entendu. En guise de démonstration du mécontentement, la campagne brutale et insultante qui s'est engagée depuis mardi dernier pose un autre problème : Les Guignols de l’info sont devenus en quelques sketches un relais de dépréciation. Des Français, de leurs sportifs, du pays en général. Des marionnettes considérées comme les porte-paroles de leur chaîne et de leur nation tout entière. Un amalgame dangereux, actionné tel un levier par certains journalistes, sportifs et hommes politiques, enclins à faire ressurgir un sentiment anti-français toujours latent. pinion publique, ne faiblit pas
La rigueur de l'hiver s'est abattue cette semaine sur les Pyrénées. Les communications sont coupées avec le versant espagnol, et d'après les prévisions, cela pourrait durer. Pourtant, la neige et le froid ne sont pas responsables d'une situation insolite, qui confine à l'absurde. Jugez plutôt : trois jours et trois sketches de marionnettes suffisent en 2012 à convertir une polémique démesurée en véritable affaire d'Etat entre deux pays européens frontaliers. Au point même de semer le malentendu dans leurs relations diplomatiques. L'humour satirique de Canal Plus ne fait rire personne en Espagne, c’est entendu. En guise de démonstration du mécontentement, la campagne brutale et insultante qui s'est engagée depuis mardi dernier pose un autre problème : Les Guignols de l’info sont devenus en quelques sketches un relais de dépréciation. Des Français, de leurs sportifs, du pays en général. Des marionnettes considérées comme les porte-paroles de leur chaîne et de leur nation tout entière. Un amalgame dangereux, actionné tel un levier par certains journalistes, sportifs et hommes politiques, enclins à faire ressurgir un sentiment anti-français toujours latent« Des attaques xénophobes, intolérables… », pour José Ignacio Wert, le ministre des Sports

Vendredi, au lendemain de la dernière provocation guignolesque de la semaine, double cette fois (voir vidéos ci-dessous), succédant aux sportifs espagnols les plus emblématiques -entrés tour à tour dans la partie sans recul aucun- certains politiques ont également apporté leur pierre à l’édifice populiste. Notamment le ministre des Sports, José Ignacio Wert, pour qui "ce sont des attaques xénophobes, intolérables, de ceux qui ne gagnent jamais... Avec autant d’années de frustration à leur actif, sans remporter ni leur Roland Garros, ni leur Tour de France, il fallait bien que les Français trouvent un bouc émissaire…"; mais également le leader de l'opposition socialiste, Alfredo Pérez-Rubalcaba, qui se targuait de rappeler que "les Français n'ont plus d'été depuis si longtemps... Alors qu'ici, nous savourons Roland Garros, le Tour et les succès de notre sélection de football durant cette période...". Une affaire qui préoccupait même jusqu’aux plus hautes sphères de l’Etat, en témoignent les propos de Soraya Sáenz de Santamaría, vice-présidente et porte-parole du gouvernement Rajoy : « Nous n’allons pas permettre la mise en cause de ceux qui représentent le mieux la « marque Espagne ». Nous défendrons l’authenticité des victoires du sport espagnol. »
Ils se consolent avec les Guignols, quand plus jeunes ils le faisaient en lisant Astérix et Obélix..."

La polémique prenait ainsi en quelques heures des habits d’affaire d’Etat. Les deux ambassadeurs entraient de fait dans ce cirque médiatique, contraints et forcés, pour des raisons différentes. Carlos Bastarreche, en poste à Paris, via une lettre au directeur de Canal Plus France, publiée sur Internet, réclamait “la fin de la calomnie et que soit rendue sa dignité au sport espagnol.” Son homologue français à Madrid, Bruno Delaye, apparaissait en Une du quotidien sportif AS, avec son interview en double page centrale, avec cette phrase clé en titre « La polémique n’as pas lieu d’être, dans n’importe quel sport, actuellement, vous nous battriez ». Des excuses humiliantes pour les sportifs français... Chez les concurrents de Marca, qui avaient consacré leur Une et huit pages à l’affaire le même jour, Bruno Delaye tranchait : « Les Guignols sont une stupidité. Ils n’engagent qu’eux, pas l’opinion de tous les Français, qui admirent les sportifs espagnols ». En début de soirée, les deux ambassadeurs, réunis sur les antennes de la radio Cope, tentaient de dédramatiser la situation.

Une démarche autant complexe que nécessaire, tellement les plumes acerbes d'une partie de la presse rajoutaient à cet élan de patriotisme exacerbé, dès le lendemain. "Broyer les champions sportifs espagnols qui triomphent dans le monde, par temps de crise en Espagne, c'est un véritable appel aux armes, menaçait Ernesto Sáenz de Buruaga, dans son éditorial pour El Mundo, samedi. Il faut que les Français acceptent que le temps de la splendeur est terminé, que l'Europe ne s'arrête plus aux Pyrénées". Argument récurrent, parfois même attribué à de grands auteurs qui n'en ont pourtant jamais revendiqué la paternité. "Les Français doivent arrêter de croire que l'Afrique commence dans les Pyrénées, comme soutenait Alexandre Dumas, s'indignait José Calvo Poyato, samedi, dans une chronique pour le quotidien conservateur ABC. Depuis la nuit des temps, ils se sentent supérieurs. Leur chauvinisme ne supporte plus les humiliations répétées dans tous les sports, alors ils se consolent en regardant les Guignols, quand plus jeunes ils le faisaient en lisant Astérix et Obélix...".
Ils se consolent avec les Guignols, quand plus jeunes ils le faisaient en lisant Astérix et Obélix..."

La polémique prenait ainsi en quelques heures des habits d’affaire d’Etat. Les deux ambassadeurs entraient de fait dans ce cirque médiatique, contraints et forcés, pour des raisons différentes. Carlos Bastarreche, en poste à Paris, via une lettre au directeur de Canal Plus France, publiée sur Internet, réclamait “la fin de la calomnie et que soit rendue sa dignité au sport espagnol.” Son homologue français à Madrid, Bruno Delaye, apparaissait en Une du quotidien sportif AS, avec son interview en double page centrale, avec cette phrase clé en titre « La polémique n’as pas lieu d’être, dans n’importe quel sport, actuellement, vous nous battriez ». Des excuses humiliantes pour les sportifs français... Chez les concurrents de Marca, qui avaient consacré leur Une et huit pages à l’affaire le même jour, Bruno Delaye tranchait : « Les Guignols sont une stupidité. Ils n’engagent qu’eux, pas l’opinion de tous les Français, qui admirent les sportifs espagnols ». En début de soirée, les deux ambassadeurs, réunis sur les antennes de la radio Cope, tentaient de dédramatiser la situation.

Une démarche autant complexe que nécessaire, tellement les plumes acerbes d'une partie de la presse rajoutaient à cet élan de patriotisme exacerbé, dès le lendemain. "Broyer les champions sportifs espagnols qui triomphent dans le monde, par temps de crise en Espagne, c'est un véritable appel aux armes, menaçait Ernesto Sáenz de Buruaga, dans son éditorial pour El Mundo, samedi. Il faut que les Français acceptent que le temps de la splendeur est terminé, que l'Europe ne s'arrête plus aux Pyrénées". Argument récurrent, parfois même attribué à de grands auteurs qui n'en ont pourtant jamais revendiqué la paternité. "Les Français doivent arrêter de croire que l'Afrique commence dans les Pyrénées, comme soutenait Alexandre Dumas, s'indignait José Calvo Poyato, samedi, dans une chronique pour le quotidien conservateur ABC. Depuis la nuit des temps, ils se sentent supérieurs. Leur chauvinisme ne supporte plus les humiliations répétées dans tous les sports, alors ils se consolent en regardant les Guignols, quand plus jeunes ils le faisaient en lisant Astérix et Obélix...".
Ils se consolent avec les Guignols, quand plus jeunes ils le faisaient en lisant Astérix et Obélix..."

La polémique prenait ainsi en quelques heures des habits d’affaire d’Etat. Les deux ambassadeurs entraient de fait dans ce cirque médiatique, contraints et forcés, pour des raisons différentes. Carlos Bastarreche, en poste à Paris, via une lettre au directeur de Canal Plus France, publiée sur Internet, réclamait “la fin de la calomnie et que soit rendue sa dignité au sport espagnol.” Son homologue français à Madrid, Bruno Delaye, apparaissait en Une du quotidien sportif AS, avec son interview en double page centrale, avec cette phrase clé en titre « La polémique n’as pas lieu d’être, dans n’importe quel sport, actuellement, vous nous battriez ». Des excuses humiliantes pour les sportifs français... Chez les concurrents de Marca, qui avaient consacré leur Une et huit pages à l’affaire le même jour, Bruno Delaye tranchait : « Les Guignols sont une stupidité. Ils n’engagent qu’eux, pas l’opinion de tous les Français, qui admirent les sportifs espagnols ». En début de soirée, les deux ambassadeurs, réunis sur les antennes de la radio Cope, tentaient de dédramatiser la situation.

Une démarche autant complexe que nécessaire, tellement les plumes acerbes d'une partie de la presse rajoutaient à cet élan de patriotisme exacerbé, dès le lendemain. "Broyer les champions sportifs espagnols qui triomphent dans le monde, par temps de crise en Espagne, c'est un véritable appel aux armes, menaçait Ernesto Sáenz de Buruaga, dans son éditorial pour El Mundo, samedi. Il faut que les Français acceptent que le temps de la splendeur est terminé, que l'Europe ne s'arrête plus aux Pyrénées". Argument récurrent, parfois même attribué à de grands auteurs qui n'en ont pourtant jamais revendiqué la paternité. "Les Français doivent arrêter de croire que l'Afrique commence dans les Pyrénées, comme soutenait Alexandre Dumas, s'indignait José Calvo Poyato, samedi, dans une chronique pour le quotidien conservateur ABC. Depuis la nuit des temps, ils se sentent supérieurs. Leur chauvinisme ne supporte plus les humiliations répétées dans tous les sports, alors ils se consolent en regardant les Guignols, quand plus jeunes ils le faisaient en lisant Astérix et Obélix...".
un lien ?
Auteur : Bento
Date : le 18 février 2012 à 22h30
ça serait pas mal de mettre un lien pour voir la caricature en question ...
Dernière modification le 18/02/2012 22:30
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com