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Accident ferroviaire : Le procès du conducteur reporté au 13 novembre

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Le déraillement, mardi 16 octobre 2018, d'un train reliant Casablanca à Kénitra a coûté la vie à 7 personnes alors que plus de 100 autres ont été blessées. / Ph. Fadel Senna - AFP
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Le procès du conducteur du train qui a déraillé le 16 octobre dernier au niveau de la commune de Bouknadel, faisant sept morts et 125 blessés, a été reporté au 13 novembre.

Selon Le 360, qui cite le tribunal de première instance de Salé, le conducteur du train déféré en état d’arrestation devant le tribunal est poursuivi pour «homicide et blessures involontaires».

Selon une enquête judiciaire, dont les résultats ont été rendus publics juste après le drame, «l’excès de vitesse» serait la cause du déraillement. «Le train a atteint les 158 km/h à l’endroit de l’accident au lieu de la limite maximale autorisée de 60 km/h», avait conclu le parquet.

Une version contestée par le conducteur lui-même, selon qui «la signalisation (annonçant une limitation de vitesse à 60 km/h, ndlr) ne fonctionnait pas», rapporte Médias 24.

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