Menu

Breve  

Nouvelles révélations de Saloua Bouchaib, l’ex-journaliste stagiaire qui accuse Salim Cheikh de viol

Publié
Saloua Bouchaib affirme que le patron de la deuxième chaîne nationale n’a pas eu recours à la force physique, mais plutôt à une «violence morale et [à] un abus de pouvoir». / Ph Capture d'écran
Temps de lecture: 1'

Contactée hier par Yabiladi, Saloua Bouchaib, la jeune femme qui accuse le directeur général de 2M de viol, n’a pas pu répondre à nos questions, se disant «très dépressive». Aujourd’hui, plus de détails sur cette affaire ont été rapportés par Al Aoual. Des révélations qui ont été suivies d’une vidéo dans laquelle elle parle à visage découvert de son viol présumé.

Alors que Salim Cheikh a nié son accusation et déposé une plainte au tribunal pour diffamation et chantage, Saloua Bouchaib a répliqué qu’il était bien protégé par plusieurs grands responsables : «S’ils veulent me mettre en prison juste parce que je les ai dénoncés, je n’en ai cure. D’ailleurs plus rien ne m’importe dans cette vie», confie-t-elle à Al Aoual.

Interrogée sur l’éventualité d’un rapport sexuel avec Salim Cheikh pour obtenir un poste au sein de la chaîne, elle a répondu que ce n’était pas le cas : «Ce ne sont pas là mes principes. J’aurais pu faire ça avec le directeur des programmes et le directeur des ressources humaines à ce moment-là. Je n’aurais pas perdu mon travail.» L’accusatrice dit s’être adressée au directeur général de 2M pour qu’il intervienne en sa faveur.

Concernant son viol présumé, elle affirme que le patron de la deuxième chaîne nationale n’a pas eu recours à la force physique, mais plutôt à une «violence morale et [à] un abus de pouvoir» pour faire pression sur elle. Celle-ci de conclure en reprenant le terme de viol :

«Salim Cheikh m’a violée à son domicile, il m’a ôté ma virginité. Il ne m’a plus rappelée et ne m’a pas donné le poste qu’il m’avait promis.»

Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com