Menu

Breve

Moulay Hicham El Alaoui s’exprime sur les prochaines élections législatives

Publié
Moulay Hicham El Alaoui / DR
Temps de lecture: 1'

«Le parti islamiste et la monarchie marocaine sont liés comme deux frères siamois». C'est le titre d'une tribune parue dans l'Obs, d'après le Desk, dans laquelle s'est exprimé Moulay Hicham El Alaoui, cousin du roi Mohammed VI, sur les élections législatives.

Dès l’ouverture de son analyse sur les enjeux des élections du 7 octobre, il remet en cause le dessein démocratique de cette opération. Les élections servent, selon le «Prince rouge», à préserver un statut quo, une situation qui perdure aujourd’hui. «Les élections ne sont que le dernier réajustement de la relation entre la monarchie et le Parti de la justice et du développement».

Il explique que le parti au pouvoir ne chercherait qu’à gagner la confiance de la monarchie en lui rendant des services et celle des gouvernements étrangers par des mesures d’austérité fiscale.

Il souligne également le révérenciel confessionnel du PJD qui souhaite islamiser la société tout en reconnaissant le statut de Commandeur des croyants du roi. Sa quête démocratique serait factice selon le cousin rebelle, car le PJD se subordonne au Palais et ne peut imposer sa volonté sur l’arène politique.

Néanmoins, Moulay Hicham reconnaît le poids du PJD «incorruptible» et son rôle historique d’opposition. «Le danger qu’il représente pour la monarchie consiste en son retrait du jeu politique», car il pourra la défier dans la sphère religieuse où elle tire sa légitimité. Sa seconde prédiction est que le Parti authenticité et modernité (PAM) remporte les élections, soutenu par le palais. Le PJD serait alors relégué à un rôle de partenaire mineur.

Le choix est simple
Auteur : FATEM95
Date : le 30 septembre 2016 à 15h53
Aller d'une situation imparfaite vers une situation moins imparfaite, avec un progrès certain, avec une stabilité presque miraculeuse, et avec un quotidien loin d'être infernal. Ou alors vouloir ressembler aux scandinaves dès maintenant et sombrer dans une instabilité que les autres ont déjà expérimentée, mais n'ont jamais réussi à redresser. Les choix parait évident et il suffit de demander à nos frères tunisiens et ils vous répondront.

Donner des leçons quand on est au chaud, on est riche, à l'étranger et sans responsabilités des 40 millions de marocains c'est facile. Prendre la barre du navire et le mener à bon port par gros temps, c'est plus difficile.
Heureusement !!
Auteur : Slimanof
Date : le 30 septembre 2016 à 14h30
Et tant pis pour ce prince aigri qui ,à part aboyer de l'exterieur , ne fait rien pour apporter sa pierre à l’édifice.

Bien au contraire cet iznogoud fait tout pour ébranler ce fragile édifice qui ,c'est vrai ,n'est pas parfait démocratiquement mais il se soigne car il est préférable de procéder par à coup via des reformes que de voir le pays sombrer dans le chaos comme tant de pays arabes suite à l'hiver arabe , un Chaos tant rechercher par cet énergumène qui préfère investir la fortune de son père ( volée au peuple marocain) à l’étranger plutôt qu'au Maroc...
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com