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La Fondation Attijariwafa bank promeut la ville de demain

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Près de 400 étudiants ont participé hier à l’Ecole Mohammedia d’Ingénieurs (EMI) de Rabat, à la conférence co-organisée par la Fondation Attijariwafa bank sous le thème «Les défis de la ville de demain : qualité de vie, urbanisation, sécurité et mixité sociale», rapporte un communiqué parvenu à la rédaction.

Organisée dans le cycle de conférences «Echanger pour mieux comprendre» promu par la fondation Attijariwafa Bank, la conférence a jeté la lumière sur l’exemple des éco-cités de Zenata et de la ville verte Mohammed VI de Benguérir. «Il est de notre devoir de repenser nos villes en intégrant l’ensemble des contraintes liées à l’efficacité énergétique, à la préservation de l’environnement, à la mobilité urbaine, à la sécurité, à la qualité de vie de manière générale», a déclaré le directeur de l’EMI, Moulay Larbi Abidi dans son mot de bienvenue.

«Face au rythme effréné de l’urbanisation que connaît notre pays, le moment nous semble opportun pour analyser et comprendre les transformations matérielles et immatérielles qui guettent nos villes, afin de mieux les anticiper», a insisté Saloua Benmehrez, directrice exécutif et chargée de la Communication Groupe et de la Fondation Attijariwafa bank qui a insisté sur l’importance de son groupe de valoriser les projets typiquement marocains.

Les interventions des experts invités lors de cette conférence sont allées dans le sens de l’identification des obstacles aux villes marocaines. Des obstacles que les experts ont identifiés comme étant l’arsenal juridique contraignant et la «vision lotissements» du royaume. Ils ont donc proposé d’axer la vision de la ville sur l’Homme. Puis, prenant exemple des eco-cités Zenata et Mohammed VI, ont dégagé des enseignement pour une meilleure politique d’urbanisation.

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