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Maroc : Benkirane se fait l’avocat des pauvres et charge les nantis

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Le Maroc célèbre pour la première fois la journée mondiale de la justice sociale décrétée par l’ONU. A cette occasion, la Chambre des conseillers organise, aujourd’hui et demain, une conférence internationale. La séance d’ouverture a été marquée par la lecture d’un message royal aux participants.

Le chef du gouvernement était présent. Dans une intervention improvisée, il s’est remémoré les slogans de la campagne électorale de son parti pour les législatives de novembre 2011. Benkirane a martelé que «le pouvoir réel appartient au peuple». Il a ensuite invité les responsables «à prendre soin des pauvres au Maroc». Il s’est même permis d’appeler les nantis de ce pays à laisser une part des richesses aux démunis.

Le secrétaire général du PJD a déploré que «les puissants vivent dans un luxe extravagant alors d'autres sont encore dans l’âge primitif. Cet état des lieux n’est plus acceptable». Au terme de son intervention, Benkirane s’est enfin rappelé qu’il était le chef du gouvernement. Il a alors opéré une volte-face pour saluer la politique d’électrification du monde rurale et les 55 milliards de dirhams consacrés au développement des communes enclavés et éloignées.

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Ocean des tenebres , entre le discours et la tealite'
Auteur : aqqqqqqqqq
Date : le 19 février 2016 à 21h35
Comme tout politicien obsedee pa sa reelection ,Mr. B.K. rodee aux discours qui font miroiter l avenir , mais execute l agenda antisocial dicte' par la Mafia ,FMI , :retraites ,subventions ,soins ,education , the' ,et sucre aliment de base ....tout ce dont le pauvre a besoin est coble' pour raqueter.
Le gouvernement doit mieux faire !
Auteur : Le barreur
Date : le 19 février 2016 à 20h47
Les marocains doivent avoir la meme chance de progresser et de s'épanouir. Et cela commence à l'école . Or ce sont les enfants des " nantis " qui partent gagnants dès le primaire , et arrivent aisément aux postes convoités , qui exigent, entre autres, une bonne formation scientifique. Ce qui suppose un enseignement en français.
Or M. Benkirane est contre le français ! Il semblerait donc préférer que les nantis restent nantis, tout en " laissant " quelque chose au " démunis " . Non monsieur , le but doit etre de cesser de former des démunis , en égalisant les chances dès la maternelle.
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