Much Loved suscite beaucoup d’engouement à Tunis et quelques critiques

J ai vu le film,ce film n apporte rien,aucune solutions pour combattre ce fleau,il dénigre la femme et pas seulement la femme marocaine,aucune pédagogie,J étais curieux de voir ce film et franchement il m a décu,au bout de la moitié du film je voulais coupé tellement il dégoute.Y a des scènes franchement faut etre pervers pour les proposer à des actrices,pour accepter de tourner ce genre de scene ,faut vraiment avoir besoin d argent,le grand paradoxe.La scène ou elle rentre dans les toilettes et se met la bouteille de coca dans la foufoune et boit ensuite avec la meme bouteille,quel interet cette scène pour le combat contre la prostitution si ce n est détruire l image de la femme.Alors la derniere scène ou elle fait une fellation aux vieux pervers,on voit tout et après elle bouffe le cul du vieux,franchement une vrai scène de porno.Donc très décu du film,très mal fait c est dommage.L 'interdiction au maroc n est pas une surprise.J ai envi de dire chacun sa culture.Le film a été classé interdit au moins de 18 ans en allemagne pour info.Sans les scènes à caractère pornographiques,je pense qu'il aurait été vu au maroc enfin je pense pas honnetement.Mais ,je tiens à préciser que tout cela n'autorise pas à menacer les actrices et le réalisateur et surtout l 'agression de loubna.J'aime pas du tout le film mais vraiment une horreur mais en aucun cas on doit accepter des violences gratuites envers les actrices.

La rédaction nous parle de file d'attente au cinéma Colisée de Tunis pour regarder le film de « Much Loved ».

Je me demande s'il n'y avait pas ces scènes pornographiques, est-ce que ce film susciterait cet engouement des tunisiens vu la qualité artistique du film ?

Une des interventions (la dame avec l'écharpe bleue. 1:14 sur la vidéo) résume à mon avis très bien le film. Au delà de la polémique, du sexe et de la morale, le film est très faible. Il ne comporte ni histoire ni intrigue ni vrai scénario. On ne peut pas bâtir un film sur la provocation et rien d'autre. N. Ayouch nous a habitués à mieux par le passé.