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Breve

Maroc : 1,386 milliard de dirhams pour réparer les dégâts des inondations

Publié

Le ministre de l’Equipement et des transports, Karim Ghellab a déclaré, selon la Map, que les crédits destinés à réparer les dommages causés par les dernières inondations qu’a connu le royaume, ont atteint le chiffre de 1,386 milliard de dirhams à fin novembre 2010.

Karim Ghellab a aussi précisé  que 131 opérations de réparation de tronçon et autre, ont été achevées pendant le mois de novembre dernier, ce qui aurait couté à son ministère une somme de 475 millions de dirhams. 159 opérations sont en cours avec enveloppe allouée de 1,014 milliards de dirhams et 228 autres nécessiteront des dépenses de 1,528 milliards de dirhams.

Selon le ministre, les dégâts provoqués par les intempéries ont été enregistrés au niveau de 29 provinces et préfectures et ont causé l’arrêt du trafic routier, et notamment la suspension de 121 tronçons (28 au niveau des routes nationales, 40 au niveau des routes régionales et 53 au niveau des routes provinciales). La valeur de ces dommages est estimée à 450 millions de dirhams.

Les vrais causes, des dégâts des inondations
Auteur : ALI1955
Date : le 18 décembre 2010 à 01h13
Les égouts de toutes les villes marocaines sont bouchés par des pierres, des gravats, et déchets de constructions jetés par les habitants ou les entreprises d'une manière sauvage dans les rues, les terrais vagues, au bord des fleuves, rivières, des mers, enfin partout!
Le Maroc est devenu une poubelle des déchets, il n y a aucune loi, ni surveillance sur ce phénomène désastreux pour l'environnement, pour la propreté des villes, et la sécurité de ses habitants.
C'est vraiment un problème très grave, qu'il faut résoudre au plus vite par les autorités, si ce n'est pas déjà trop tard.
Ps; Tous les terrains utilisé par les jeunes pour jouer au foot du cartier, n'existent plus, la plupart sont noyés sous les gravats et les déchets de construction.
On comprend facilement pourquoi nous sommes devenus des nuls en foot, par rapport aux années 70.
Avec ce commentaire, que j'espère ne sera pas censuré, les responsables des cartiers, des villes et les ministères concernés trouveront une solution au plus vite, pour arrêter la destruction progressive de nos villes.
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