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Maroc : La balance commerciale continue de profiter du prix des hydrocarbures

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Le déficit commercial du royaume a chuté de 20,4% pour s’établir à 104,03 milliards de DH sur les 8 premiers mois de l’année 2015 par rapport à l’année dernière, indiquent les données publiées par l’Office des Changes.

De 264,3 milliards de DH en 2014, les importations s’établissent à 246,4 milliards de DH de janvier à août 2015 soit une baisse de  6,7% par rapport à la même période. Cette chute s’explique avant tout par la diminution des approvisionnements en produits énergétiques (-19,7 milliards) mais aussi par la baisse de 27,8% des importations de blé imputable à la bonne récolte locale.

Tirées par la ventes des phosphates et dérivés et du secteur automobile, les exportations ont quant à elles atteint 142,4 milliards de DH sur les 8 premiers mois de 2015 contre 133,6 milliards en 2014, soit une hausse de 6,6%.

Les recettes touristiques sont évaluées à 39,8 milliards sur les 8 premiers mois de 2015 moins que les 40,8 milliards de 2014. Elles chutent donc de 2,5%. Par contre les envois de fonds par les MRE se sont établis à 42,1 milliards en 2015 soit une progression de 5,5%. Enfin, l’investissement direct étranger enregistre 24,22 milliards de DH soit une hausse de 22,8%.

le pbm
Auteur : Farid Waff Waff
Date : le 16 septembre 2015 à 19h09
samir raffinerie qui fourni 100% de l essence et gazoil au maroc est en faillite avec risque de pénurie pourqoi?
Le prix du Baril de Pétrole
Auteur : MusulmanGéo
Date : le 16 septembre 2015 à 00h12
Selon la plupart des spécialistes, Le prix du baril se maintiendra au niveau d'environ 50$ pour 2016 et 2017 (sûr et certain). Et si augmentation, il y'a elle sera douce à partir de 2018 et ne dépassera pas les 80$ avant 2020. Pour cause l'entrée de l'Iran qui tout doucement augmentera sa production à partir de 2016 ou 2017 (selon la vitesse à laquelle son industrie d'extraction pourra se redresser). Mais puisque l'Iran à d'autres priorités, elle ne pourra arriver à produire les 4 millions de barils de pétrole, qu'elle s'est fixé comme objectif qu'entre de 2019 et 2021. L'autres facteur c'est l'Irak qui arrive à produire comme au temps de Saddam sinon plus et elle compte aller plus encore. La découverte du Gaz en Egypte (Méditerranée) est là aussi pour diminuer la pression de la demande énergétique. Cette découverte rentrera en exploitation à partir de 2019-20. En Maurianie aussi, il y'a découverte de Gaz. La pression sur le pétrole et le gaz sera moins forte à partir de 2022 puisque les programmes de développement énergétique de la plupart des pays développé et émergents contiennent une bonne partie d'énergie renouvelable. La Cop 21 à Paris déterminera aussi la politique mondiale sur les énergies renouvelables. Et si cette réunion est une réussite, cela diminuera la pression sur la demande de pétrole et de gaz, ce qui profitera à la baisse des prix.
Un autre facteur est celui de l'arrêt des affrontement en Libye et la réconciliation qui commence à pendre le nez à Skhirate selon Bernardini (ONU). Si cela se réalise et que la Libye participe à la danse, cela donnera beaucoup de fil à retordre à ceux qui attende un prix fort du baril.
Donc le Maroc à devant lui une décennie d'un prix de pétrole et de gaz à bon prix. Il faut qu'il profite pour développer ses énergies renouvelables et aussi accélérer la recherche de gaz et de pétrole en On-shore et Off-Shore
Les choses avancent positivement.
Auteur : fora
Date : le 15 septembre 2015 à 18h59
L'économie marocaine avance comme jamais, c'est bien.Les exportations vont dans le même sens.
Il faut continuer ainsi, redoubler d'efforts et les résultats seront encore plus probants. Le chiffre des ide en hausse notamment est très prometteur car les investissements d'aujourd'hui sont les emplois de demain.
Quant aux recettes tourisme soit disant en chute libre elles font plus que de se maintenir avec un excellent mois de Juillet.
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