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Uber répond à la Wilaya de Casablanca qui l’a jugé non conforme à la législation marocaine

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Le service américain de réservation de voitures, Uber rejette les accusations d’ «illégalité» de la Wilaya de Casablanca. Dans un communiqué, la firme californienne récemment installée au Maroc, explique «continuer à travailler en respectant la législation locale» avant d’expliquer son procédé de travail à Casablanca.

A l’origine de cette clarification, un communiqué de la Wilaya de Casablanca relayé ce mardi par la MAP qui stipule qu’Uber «n’a pas déposé de demande d’autorisation pour l’exercice de transport public à Casablanca conformément aux lois et réglementations en vigueur». La Wilaya avait aussi prévenu que l’exercice de l’activité d’Uber «expose toutes les personnes qui y travaillent ainsi que les chauffeurs à des sanctions administratives et juridiques».

Un communiqué d’alerte auquel la société californienne répond : «Nous sommes une société technologique qui fournit un service d’information via son application mobile à des sociétés de transport ayant un agrément de transport touristique».

Rappelons qu’Uber fait face à sa deuxième polémique depuis son implantation début juillet dans la capitale économique. La société avait dû rectifier le tir après sa bourde en proposant, le drapeau de la prétendue "RASD" pour le choix du Sahara occidental dans sa liste de pays disponibles. Une proposition supprimée depuis de sa plateforme.

De l’autre côté de la Méditerranée, la firme californienne se heurte d’habitude à l’hostilité des chauffeurs de taxi. Fin juin, de violentes manifestations des chauffeurs de taxis en France qui l’accusaient de «concurrence déloyale» avait contraint Uber a suspendre son service dans l’Hexagone. 

Mafia legalisee
Auteur : Kapitchou
Date : le 07 août 2015 à 08h28
User a Le Plean droit De casser les monopoles en place et en terme plus clair la mafia en place
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