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Grand Angle  

Après 2M, Mustapha El Khalfi tire sur Radio 2M au sujet de Much Loved

 «Much Loved» a été l’origine d’un nouveau clash entre Mustapha Khalfi et 2M. Le gouvernement souhaite définitivement clore les débats autour du film polémique, du moins dans les médias officiels. Après la déprogrammation, mercredi, de «Moubacharatan Maâkom» de la chaîne TV 2M, le ministre de la Communication tire à boulets rouges sur une émission de Radio 2M.

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Le ministre de la Communication a révélé hier soir à l’université de Tétouan, les coulisses d'une nouvelle polémique avec la direction de 2M. Au sujet d’une émission prévue sur Radio 2M consacrée au film «Much Loved» de Nabil Ayouch, Mustapha El Khalfi a pointé du doigt le «parti pris» de l’animateur.

«Il ne peut présenter un programme consacré au film alors qu’il travaille comme salarié chez la société du réalisateur», a martelé le PJDiste. Il a ainsi expliqué qu’il s’agissait là «d’une flagrante manifestation d’un conflit d’intérêt contraire aux règles les plus élémentaires de la déontologie professionnelle».

Le ministre a cité pour preuve le programme hebdomadaire «Niqach 2.0», diffusé chaque dimanche sur 2M, produit par la société de Nabil Ayouch et présenté par le même animateur. Le ministre aurait pu également mentionner le rendez-vous culturel «Ntlaqaw Tamma» (On se retrouve là-bas).

«Seul 20% de l’émission était réservé à la version du gouvernement»

Mustapha El Khalfi a pointé du doigt «l’impartialité» de l’animateur de Radio 2M, estimant qu’il avait prévu de n’accorder que 20% du temps d’antenne à un représentant du département de la Communication. Ainsi, une seule personne était là pour défendre la décision d'interdiction de «Much Loved» alors que les autres invités, au nombre de quatre, étaient tous favorables à l’œuvre de Nabil Ayouch, selon les dires du ministre.

Compte tenu de ces données, le PJDiste a décidé douze heures avant la diffusion de l’émission de téléphoner au PDG de 2M, Salim Cheikh, afin de lui faire part de sa colère. Lui a-t-il demandé une interdiction ou une sanction de l'animateur en raison d'un conflit d'intérêt ? Un cadre du ministère que nous avons contacté a répondu par la négative. "C'était un simple rappel des règles déontologiques dont doivent faire preuve les animateurs et journalistes des médias publics" a-t-il déclaré à Yabiladi.

Le climat entre Mustapha El Khalfi et Salim Cheikh était déjà tendu. Mercredi 3 juin, la chaîne d’Ain Sebaâ avait dû retirer de ses programmes l'émission «Moubacharatan Maâkom » réservé à la censure du film «Much Loved». La diffusion en direct sur 2M du concert de J-Lo au festival Mawazine avait également fait sortir de ses gonds, le ministre de la Communication. 

Article modifié le 2015/06/08 à 14h43

IL Y A PLUS URGENT M. KHALIFI ! LES CONDITIONS DE TRAVAILS DES OUVRIERS AGRICOLES ET EN USINES !
Auteur : mondefous
Date : le 08 juin 2015 à 13h04
MONSIEUR EL KHALIFI OCCUPEZ VOUS PLUTÔT DES CONDITIONS DE TRAVAIL DES MAROCAINS DANS l'AGRICULTURE ET LES USINES !!!!!!!!!

AU LIEU DE PERDRE VOTRE TEMPS QUI ME SEMBLE PRÉCIEUX AVEC DES FUTILITÉS EN TOUT GENRE !!!!!!!!
AGRICULTURE USINES AU SECOURS !
Auteur : Sanawildworld
Date : le 08 juin 2015 à 10h21
LES MAROCAINES TRAVAILLENT DANS L’AGRICULTURE, EN USINE EN ENTREPRISE DANS LE TEXTILE…
Les exploitations agricoles emploient plus de la moitié des femmes (59,5 %) travaillant dans le secteur privé. Elles travaillent de 6 heures à 15 heures par jour, voire même au-delà dans les usines au moment des pics de production. Les salaires dans le secteur agricole sont très bas et moins élevés que ceux perçus dans l’industrie. Ils sont soit comptés à l’heure (entre 5 dirhams à 10 dirhams - le salaire peut atteindre 80 dirhams (dh) quand la durée du travail dépasse 10 heures), soit estimés à la journée (entre 40 dh et 50 dh soit l’équivalent de 4 à 5 euros), ou encore à la semaine, à la quinzaine, au mois ou encore à la tâche. En outre, les salaires diffèrent selon les produits agricoles ramassés (fraises, pastèques ou pommes de terre).
Généralement, les ouvrières, surtout celles employées dans les champs et les usines d’emballage, ne sont couvertes par aucun contrat de travail. Plus de 80 % d’entre elles n’ont aucune couverture sociale. Même pour celles qui sont inscrites à la CNSS (Caisse Nationale de Sécurité Sociale marocaine) l’employeur ne paie pas de prestations de sécurité sociale, le tout dans l’impunité totale. Ces travailleuses ne bénéficient pas de congés maternité. À la longueur des journées prestées et à la pénibilité du transport s’ajoute la pénibilité du travail en lui-même. Dans les champs, le ramassage des fraises se fait dans des conditions inimaginables. Les ouvrières avancent courbées le long des rangées de plants, la caisse à remplir juste posée sur leurs dos. Dans le secteur de l’exploitation des tomates, le ramassage se fait sous les serres où la chaleur en fin de saison peut être parfaitement insoutenable. En outre, la collecte des tomates se fait à main nue sans aucune protection contre les pesticides contenus dans les fruits ramassés. De fait, les maladies de peau et les mains crevassées témoignent des dégâts subis par les travailleuses.

Dans les stations d’emballage, la durée de la journée de travail est flexible et peut se prolonger au-delà des 12 heures. Le repos hebdomadaire n’est pas respecté. A la pleine saison, les ouvrières peuvent travailler 15 jours d’affilée sans pouvoir avoir le moindre jour de repos.
De plus, la menace du licenciement sans préavis est constante.
Ce manque de respect des droits des travailleurs/euses est aussi flagrant en ce qui concerne les repas : il n’y a ni espace aménagé ni endroit propre pour manger et se reposer pendant la pause d’une demi-heure du midi.
Aux conditions de travail épuisantes et pénibles, à l’absence de contrat de travail tout comme de couverture sociale et médicale et à des salaires très faibles et variables vient s’ajouter l’expulsion collective arbitraire des travailleuses et travailleurs. Expulsions et la non-application du droit du travail.
Toutes ces violations aggravées de leurs droits sont « acceptées » par les travailleuses agricoles bien souvent analphabètes…

Le salariat féminin au sein du secteur textile marocain occupe près de 42% de l’emploi industriel. Les femmes constituent 63,5% des travailleurs de ce secteur. 70% des employé-e-s dans le textile ne disposent pas d’une couverture médicale. La plupart des employés de ce secteur sont saisonniers, occasionnels ou carrément non-rémunérés. Plus de 3 employé-e-s du textile sur 5 n’ont pas de contrat de travail.
degré de connerie
Auteur : Gadiri heureux
Date : le 08 juin 2015 à 04h28
Plus con qu'un pjd ça ne peut pas exister.
Abruti de ministre si j'ai envie de sodomiser ma copine je le ferai si elle est d'accord mais je le ferais avec plaisir surtout si ça t'emmerde.
Et ça tombe bien car ma copine aime ça, et en plus on n'est pas marié.
Jev e pisse au cul minitre sinistre à 20 mètres et sans toucher les bords
Dernière modification le 08/06/2015 04:29
sincerité dans sa spiritualité
Auteur : EL MOROCCO
Date : le 07 juin 2015 à 22h22
Justement l'art est fait pour bousculer et surtout faire réfléchir sur nos problèmes et nos insufisances,les salafo bédouins n'aime PAS que le commun des mortels reflechissent en tant qu'individu,ils veulent garder cette faculté pour eux seuls parce qu'ils pensent etre seuls à détenir le savoir et la verité divine pour avoir l'attribut d'un Gourou(cheikh,imam) donneur de leçons morales;c'est du fascisme islamisé à l'occidentale.
--Moi aussi ce film m'a choquer,mais cette une réalité,il faut l'assumer et l'affronter et ne concerne pas uniquement le maroc , lui trouver rapidement une solution,c'est un probléme socio economique et doit etre résolu comme tel pas par la morale religieuse,parce que si la morale religieuse à elle seule résolvait les dérives ça fait longtemps qu'on vivrait dans un monde parfait,sans guerres,ni corruption,ni arnaque et ni délits de tout genre ,
---les salafo bedouins sont incapables d'affronter les dérives d'une societé,à part crié au scandale et au péché dans leurs prêches(je ne vais plus à la mosquée même le vendredi pour ne pas écouter ces idioties débitées par des ignards,je préfére faire mes priéres chez moi avec ma famille) ils se justifient en s'armant de hadites douteux,aucun raisonnement,du suivisme périmé abrutissant ,ils sont incapables d'offrir une solution socio economique(ça les dépasse,abrutis qu'ils sont !!) si ce n'est celle(facile)de la flagellation et de la suppression des libertés individuelles;ce qui me chagrine c'est de voir et lire des gents" instruits" qui ont gommé de leur esprit la capacité de raisonner et vont dans le sens de ces JOUHALS;notre rite marocain malekite achaari fait appel à la raison ,l'islam fait appel à la raison ,à l'intelligence,celui qui dit le contraire est un menteur hypocrite
O
Auteur : ComprendreLempire
Date : le 07 juin 2015 à 21h39
Les intérêts, les intérêts... d'accord, le Roi nous veut que du bien, mais, selon mois les bastions du refus c'est l'Algérie et la Syrie, et c'est pour ça qu'ont leur fait pas de cadeau.

Lorsque les musulmans arrêteront d'être manipulé et qu'ils éradiquerons le problème, ça sentira plus bon.

Le problème c'est les USA ou l'Iran.
Emission spécial MRE
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