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Grand Angle

Sahel : La Mauritanie s’est plainte auprès de l’ONU au sujet du trafic de cannabis marocain

Les relations entre la Mauritanie et le Maroc sont de nouveau dans une mauvaise passe. Le voisin du sud a exprimé à l’ONU ses craintes concernant les quantités de cannabis en provenance du Maroc. Une position transmise par le président Ould Abdelaziz en personne à Christopher Ross. La plainte de Nouakchott figure dans le nouveau rapport de Ban sur le Sahara, prenant ainsi la même posture que l’Algérie et le Polisario.

Publié
Mohamed Ould Abdelaziz, président de Mauritanie / DR
Temps de lecture: 2'

Nouakchott s’est plainte auprès des Nations Unies des conséquences du trafic de cannabis en provenance du Maroc qui traversent son territoire en direction du Mali. Le président Mohamed Ould Abdelaziz et sa nouvelle ministre des Affaires étrangères, Fatma Vall Mint Soueinae, ont exprimé à l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU au Sahara occidental leurs «craintes» concernant la menace du trafic du cannabis non pas sur la stabilité de la Mauritanie mais sur celle de l’ensemble des Etats du Sahel.

Ces inquiétudes de la part des deux responsables mauritaniens sont encore récentes. Elles remontent à février, lors de la dernière tournée du médiateur onusien dans la région. D’autant plus qu’en mars, Christopher Ross n’a pas effectué d'escale dans la capitale du voisin du sud, visitant uniquement les camps de Tindouf et Alger.

La Mauritanie reprend le discours de l’Algérie et du Polisario

Des déclarations officielles de la part d’Ould Abdelaziz et Fatma Vall qui figurent dans le paragraphe 18 de la version arabophone du rapport de Ban Ki-moon sur le Sahara occidental. C’est en effet la première fois que la Mauritanie adopte pareille position et tient à la transmettre à un haut représentant des Nations Unies.

Ce coup de sang du voisin du sud au sujet du trafic de cannbis est d'autant plus surprenant que la région du Sahel est réputée être un point de chute du trafic de cocaïne en provenance de l’Amérique du sud. La Mauritanie en est d’ailleurs sa plaque tournante. Cette nouvelle position coïncide parfaitement avec celle prônée depuis longtemps par l’Algérie et le Polisario. Ce qui pourrait indiquer un réchauffement des relations entre Nouakchott et Alger.

En revanche, cette plainte mauritanienne pourrait éloigner la perspective d’une normalisation avec le royaume. Celle-ci est continuellement renvoyée à une date ultérieure. En mars, des médias avançaient un voyage de Mohammed VI en Mauritanie pour inaugurer en compagnie d’Ould Abdelaziz une unité de cimenterie, appartenant à un groupe immobilier marocain. Un mois plus tard, le déplacement n'a toujours pas eu lieu.

a zaki.
Auteur : samquebec
Date : le 18 avril 2015 à 15h53
la tu parles d effets nefastes de l usage illegal du cannabis comme drogue.
zaki,les memes symptomes ont ete note chez les alcoliques et les fumeurs.

la production et l usage du cannabis est un fleau au maroc,mais comme l a indique un intervenant les consequences du karkoubi algerien sur la jeunesse sont irreversibles et catastrophiques.
alger comme rabat doivent combattre et interdire ces traffics ...mais comme la frontiere est fermee,c est mission impossible pour les douanes!

ceci dit d un mal on peut manufacturer un remede..

en effet,pendant qu on se chamaille comme des ados de grands laboratoires pharmaceutiques sont en train de fabriquer des medicaments a partir du cannabis..

http://www.cannabis-med.org/

extrait..
Le niveau de connaissances dans les différents domaines d'utilisations médicales du cannabis et des cannabinoïdes est très hétérogène. Il existe de fortes preuves de son efficacité thérapeutique dans le traitement des nausées et des vomissement liés à une chimiothérapie contre le cancer, de l'anorexie et de la cachexie dues à une infection par le V.I.H./sida, au long cours et surtout douleurs neuropathiques, de la spasticité dans la sclérose en plaques et les lésions de la moelle épinière. En ce qui concerne d'autres indications comme l'épilepsie, démangeaisons et la dépression, il y a beaucoup moins d'informations disponibles. Les découvertes scientifiques pour une certaine indication ne reflètent cependant pas le potentiel thérapeutique réel pour une maladie donnée. 
Des études cliniques sur certains cannabinoïdes ou des préparations avec la plante entière (cannabis fumée, extrait de cannabis) ont souvent été suggérées par les expériences positives de patients qui utilisent des produits naturels du cannabis. C'est ainsi que l'on a découvert les effets anti émétiques, stimulant l'appétit, relaxant les muscles et analgésiques, ainsi que l'administration thérapeutique dans le traitement du syndrome de la Tourette. 

Des observations accidentelles ont également révélé des effets thérapeutique utiles. C'est le cas dans une étude chez des patients atteints de la maladie d'Alzheimer, où l'effet stimulant de l'appétit du THC était examiné. On a observé non seulement une augmentation de l'appétit et une prise de poids, mais également une diminution de la perturbation du comportement chez les patients. La découverte de l'effet de l'administration de THC sur la baisse de la pression oculaire, au début des années 70, a été également géniale et fortuite. D'autres indications qui pourraient être intéressantes, mais qui n'ont pas encore été vérifiées par la recherche médicale, et qui restent des problèmes habituels de la médecine moderne pourraient bénéficier de traitements avec du cannabis ou des cannabinoïdes. C'est pour cette raison que des enquêtes de personnes qui utilisent du cannabis thérapeutique. Ces enquêtes ont eu lieu soit sous forme d'interviews non-standardisées lors de recherches par des institutions gouvernementales ou scientifiques (Comité des Sciences de la Chambre des Lords Britannique, Institut de Médecine des États Unis) sur le potentiel thérapeutique du cannabis, soit sous forme d'enquêtes anonymes avec des questionnaires standardisés. 

Nausées et vomissements

Le traitement des effets secondaires associés à une thérapie anticancéreuse est l'indication la plus étudiée pour les cannabinoïdes, avec environ 40 études (THC, nabilone, autres analogues du THC, cannabis), la plupart menées dans les années 80. Dans ce cas, des doses de THC relativement élevée sont nécessaires, de façon à ce que les effets secondaires résultants apparaissent comparativement fréquemment. Le THC s'est révélé inférieur au métoclopramide à haute dose lors d'une étude. Il n'existe pas de comparaison entre le THC et les antagonistes de la sérotonine récents. De récentes enquêtes cliniques ont montré que l'utilisation du THC à faibles doses renforce l'efficacité d'autres medicaments antiémétiques si on les prend simultanément. En médecine sauvage les cannabinoïdes sont populaires et on les utilise souvent pour d'autres causes de nausées incluant le SIDA et l'hépatite. 

Anorexie et cachexie

L'effet stimulant de l'appétit du THC peut déjà être observé à partir d'une dose de 5 mg de THC répartie quotidiennement. Le dosage peut être augmenté jusqu'à 20 mg par jour si nécessaire. Lors d'une étude de longue durée chez 94 patients atteints du sida, l'effet stimulant de l'appétit de THC a pu être conservé pendant des mois, ce qui confirme la stimulation de l'appétit observée lors d'une étude plus courte de six semaines. Comparé au placebo, le THC a doublé l'appétit sur une échelle visuelle analogue. Les patients ont plutôt conservé un poids stable pendant sept mois. Une influence positive sur le poids a également été rapportée chez 15 patients atteints de la maladie d'Alzheimer, qui auparavant refusaient de s'alimenter. 

Spasmes

Pour de nombreux essais cliniques sur du THC, du nabilone et du cannabis, une bonne influence sur la spasticité causée par la sclérose en plaques et sur les lésions de la moelle épinière a pu être observée. Parmi les symptômes positivement influencés, on note la douleur, la paraesthésie, les tremblements et l'ataxie. Certaines études ont montré une amélioration du contrôle vésiculaire Il existe également des observations anecdotiques de la bonne influence de la cannabis sur les spasmes dûs aux lésions cérébrales.

Troubles du mouvement

Il existe des expériences positives dans le traitement du syndrome de la Tourette, des dystonies et des dyskinésies tardives avec du cannabis. L'utilisation dans le syndrome de la Tourette est actuellement étudiée dans le cadre d'études cliniques. La plupart des patients bénéficient d'une légère amélioration, quelques-uns cependant font l'objet d'une amélioration remarquable, voire même un contrôle total des symptômes. Chez quelque patients atteints de sclérose en plaques, on a pu observer des effets anti-ataxiques après l'administration de THC, ainsi qu'une diminution des tremblements. Malgré quelques rapports positifs, les effets bénéfiques n'ont pas été observés dans le cas de la maladie de Parkinson et de chorée de Huntington. Cependant, des produits à base de cannabis pourraient éventuellement être utilisés contre la dyskinésie déclenchée par l'administration de L-Dopa dans la maladie de Parkinson, sans aggraver les symptômes de base.

Douleurs

D'importantes études cliniques ont démontré les propriétés analgésiques des produits à base de cannabis. Parmi les indications possibles on peut citer les douleurs névropathiques de la sclérose en plaques, les atteintes du plexus brachial, les infections du SIDA, les douleurs de la polyarthrite rhumatoïde, les douleurs liées au cancer, les maux de tête, les douleurs menstruelles, les inflammations chroniques de l'intestin comme la rectocolite hémorragique ou la maladie de Crohn, et diverses névralgies. Il est possible d'associer les cannabinoïdes avec les opioïdes. 

Glaucome

en 1971, lors d'un recensement systématique des effets du cannabis chez les usagers de cannabis en bonne santé, on a découvert que le cannabis réduit la pression oculaire. Dans les 12 années suivantes, plusieurs études sur le cannabis et plusieurs cannabinoïdes naturels et synthétiques ont été menées chez des sujets en bonne santé et chez des patients atteints du glaucome. Le cannabis réduit la pression oculaire de 25 à 30 % en moyenne, parfois jusqu'à 50 %. Certains cannabinoïdes non-psychotropes et, dans une moindre mesure, certains composants non-cannabinoïdes du chanvre réduisent également la pression oculaire. 

Épilepsie

lutilisation dans le traitement de l'épilepsie fait partie des indications les plus anciennes du cannabis. Des études chez l'animal ont démontré l'effet anti-épileptique que possèdent certains cannabinoïdes. Les effets anti-épileptiques de la phénytoïne et du diazépam ont été potentialisés par le THC.patient













Dernière modification le 18/04/2015 16:19
merci Amir El Mouminine de nous empoisonner
Auteur : lotfizakaria
Date : le 18 avril 2015 à 15h23
"Le Maroc reste le premier producteur mondial de cannabis pour la treizième année de suite " yabiladi le 05.03.2014
Selon un rapport de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) , le Maroc est le plus gros producteurs de cannabis au monde.

EFFETS À COURT TERME

Sensations altérées
Panique
Anxiété
Coordination insuffisante des mouvements
Réflexes amoindris
Après s’être senti mieux, le consommateur se sent endormi ou déprimé
Accélération du rythme cardiaque (et risque d’attaque)
EFFETS À LONG TERME
Résistance aux maladies communes diminuée (rhume, bronchite, etc.)
Affaiblissement du système immunitaire
Troubles de croissance
Augmentation de cellules anormales dans le corps
Réduction des hormones mâles
Destruction rapide des fibres pulmonaires et lésions au cerveau parfois irréversibles
Capacité sexuelle réduite
Difficultés à étudier : aptitude réduite à apprendre et à retenir l’information
Apathie, somnolence et manque d’enthousiasme
Changement de personnalité et de tempérament
Inaptitude à comprendre les choses clairement
La Trinité Abdelazizienne : Ould, Bouteflika et El Marrakechi
Auteur : charmeur de serpent
Date : le 18 avril 2015 à 12h39
Ould Abdelaziz avec sa Fatma viennent de découvrir qu'il existe un trafic de cannabis marocain, à quelques jours de l'examen du dossier du Sahara Marocain au Conseil de sécurité. Par contre, ils n'ont pas encore découvert l'existence du trafic de Karkoubi ( psychotropes) algérien, cette arme de destruction massive qui a des effets ravageurs sur le système nerveux central de l'être humain.
Au suivant.
Auteur : chakib61
Date : le 18 avril 2015 à 12h17
Un spécimen ? Non.
Un makhneziste, pur jus.
la fin justifie les moyens
Auteur : Fafanasri
Date : le 18 avril 2015 à 11h45
Si on peut détruire nos ennemis et en meme temps s enrichire alors oui pas de pitié pour ces rats..il faut produire plus de kif et d heroine et l envoyer massivement en algerie mauritanie pour qu ils crevent a petit feux
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