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Maroc : La justice va enquêter sur les allégations de torture sur Ali Aarrass

Près de 3 ans et demi après son extradition vers le Maroc, Ali Aarrass peut enfin espérer voir ses revendications entendues. Le département de Mustapha Ramid vient d’annoncer l’ouverture d’une enquête sur les accusations de torture qu’affirme avoir subie le Belgo-Marocain, qui purge actuellement une peine de douze ans de prison au Maroc pour faits de terrorisme. Une annonce qui intervient après la publication d’un rapport alarmant sur sa situation par Amnesty International.

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Les autorités marocaines avaient jusque-ici ignoré ses allégations de torture. Aujourd’hui, le ministère de la Justice et des Libertés semble avoir changé d’avis. Dans un communiqué diffusé mercredi, ce dernier annonce, en effet, l’ouverture d’une enquête sur les supplices qu’affirme avoir subis, Ali Ali Aarrass, prisonnier belgo-marocain, condamné au Maroc à 12 ans de prison pour terrorisme.

«Le procureur général du roi près la Cour d'appel de Rabat a présenté, mercredi, une requête au juge d'instruction à la quatrième Chambre près la même juridiction, pour mener une enquête sur des allégations de torture dont aurait été victime M. Ali Aarrass», indique le département de Mustapha Ramid. Cette requête intervient suite à la publication des rapports du rapporteur spécial des Nations unies sur la torture et d'Amnesty International concernant le cas d’Ali Aarrass, poursuit le texte.

«Approfondir les investigations»

Cette enquête intervient également dans l’objectif de «s’assurer de la véracité des faits allégués et en identifier éventuellement les responsables», ainsi que pour «approfondir les investigations» à propos de la plainte pour torture qu'avait déposée la défense d'Ali Aarrass, souligne le minière.

Pourtant, il y a quelques jours à peine, Mustapha Ramid, invité au JT d’Al Aoula, affirmait encore n’avoir jamais reçu de plainte dans ce sens depuis qu’il est à la tête du département, soit depuis janvier 2012. En tout cas, à en croire Amnesty International, plusieurs plaintes ont été déposées durant toute la période de sa détention.

Dans son rapport, publié le 13 mai dernier, l’ONG internationale a consacré une longue partie au cas Ali Aarrass. Le Belgo-Marocain purge, pour rappel, une peine de 12 ans au Maroc pour collusion et appartenance à un groupe ayant l’intention de commettre des actes terroristes. Il avait été condamné en novembre 2011, après avoir été extradé au Maroc par l’Espagne, en décembre 2010.

Des aveux sous la torture

«Les aveux qui lui ont été extorqués sous la torture et sur lesquels il est revenu devant le tribunal sont, semble-t-il, l’unique élément fourni lors du procès», déplore l’ONG. Selon cette dernière, l’homme avait alors été «maintenu au secret pendant 12 jours dans un centre de détention clandestin situé à Témara, près de Rabat, la capitale, où il a affirmé qu’on l’avait torturé à plusieurs reprises». «Il a raconté au rapporteur spécial sur la torture, Juan E. Méndez, qu’on lui avait infligé les sévices suivants : coups sur la plante des pieds, décharges électriques sur les testicules, suspension prolongée par les poignets et brûlures de cigarette», poursuit Amnesty.

«Les autorités marocaines n’ont jamais enquêté sur les allégations d’Ali Aarrass, ce qui est contraire à la législation du Maroc contre la torture et aux obligations internationales de ce pays au regard de la Convention contre la torture et du PIDCP», ajoute le rapport.

Trois jours avant la publication de ce dernier, l’ONU demandait aussi au Maroc, via une résolution de son Conseil des droits de l’Homme, la «libération immédiate» du prisonnier ainsi qu’une indemnisation financière en sa faveur, en guise de dommages subis durant son arrestation, sa condamnation et sa détention «injuste et illégale».

Justice a double face
Auteur : amine54nancy
Date : le 24 mai 2014 à 17h28
Lettre Ouverte

Courrier à Maître …………..R
Avocat au barreau de MARRAKECH

Objet : Plainte N° Dossier : 12/192 Tribunal d'instance Marrakech pour chèque sans provision.
Plaine N° Dossier : 174-S-2013 Cour d'Appel de Marrakech pour tentative de corruption

Cher Maître

Après ces longs mois d’attente, nous pensons que cette affaire n’aura aucune suite, en tant que victime de Mr B……………. gérant de société à Marrakech.
Mais hélas nous avons été accusés à tort et injustement, et malgré toutes les preuves accablantes contre Mr B……….. il n’a été nullement inquiété par les autorités judicaire marocaine.

Alors que se passe t-il ? Je pense fermement que la justice préfère laisser un coupable dehors, et emprisonnés des innocents.

D’autre part je pense qu’il y a un problème important, dans notre affaire.

Vous ne pouvez défendre les intérêts de Mr S……… le mari de Mme E…………. tout en défendant à égalité nos intérêts comme vous le savez Mme E……………. c’est un ingéré dans notre affaire a un niveau très grave, puisque comme vous le savez je l’ai piégé et enregistré a son insu au Tribunal de Marrakech.

1°) Elle c’est permise certaine prérogative dont elle n’était nullement assermenté à effectuer, notamment auprès d’un certain Monsieur H……………. substitut du procureur de sa majesté, ou d’ailleurs Mr B……….. parle d’enveloppe à lui remettre, en mentionnant que Monsieur H………………( substitut du procureur de sa majesté) est l’ami de Mme E…………….

2°) Encore un point important Mr B………. était bloqué sur le territoire Marocain dans le cadre de notre procédure, comment se fait-il que Mme E………… a assisté Mr B……………… auprès de certain substitut du procureur, pour obtenir un déblocage afin qu’il puisse voyager en France, cela aussi fait partie des enregistrements.

3°) Un autre point important comme vous le savez les analyses graphologiques que nous avons demandé après avoir été effectué par un commissaire de la WILAYA DE MARRAKECH, et après avoir été expédié au tribunal d’instance de Marrakech, c’est le commissaire lui-même que me la fait savoir, ces analyses ne sont jamais arrivé sur le bureau de procureur de sa majesté au tribunal de Marrakech ?

4°) Concernant la deuxième demande d’analyse graphologique, puis- que les premiers bizarrement ont disparue, je peux assuré que Mme E…………. était très bien renseigné puisque je lui ais posé la question ou en était les seconds analyses graphologique, elle m’a tout simplement dis il sont partie a Rabat, suite a cela elle a téléphoné a Monsieur H………………. substitut du procureur de sa majesté, en exprimant la crainte de Mr B……… concernant ces nouveaux analyses graphologique, d’ailleurs il sont parlées en arabe, ces enregistrements peuvent le confirmer, fait au tribunal de Marrakech.

Alors Maître quoi penser de tout cela, qui avait intérêt que cette plainte et procédure n'aboutissent pas ?

Nous sommes amèrement déçu du fonctionnement de la justice marocaine, et de constater que certaine personne préfère vendre leur âme au diable, mais ils ont oubliées que le jour des comptes arrivera.

Concernant vos honoraires, notre argent est bloqué au tribunal, pour les 10,000 DH que vous avez eu la gentillesse de nous prêter ils vous seront restitué dés notre prochain voyage au Maroc c'est-à-dire les vacances d’été.

Dans cette histoire nous avons perdu beaucoup, le plus grave d’avoir été accusées avec mon épouse injustement, mais grâce a Dieu je me suis protégé en enregistrant chaque audience au tribunal de première instance de Marrakech, ou d’ailleurs cela m’a permis de déposer une plainte contre MR B……….. pour tentative de corruption, mais hélas une fois de plus les autorités marocaine font la soude oreille.

Nous avons été les otages de la justice marocaine durant six mois à nous donnée de faux espoirs, mon épouse avait pris un congé sans solde de six mois, dans l’espoir de récupérer notre argent, nous somme rentré en France avec plus rien.

Sachez que notre expérience reste amère, mais aussi sachez que jamais je ne baisserai les bras.

Il est inamissible que la justice se comporte de tel façon, que ceux qui pense défendre les intérêts des victimes n’agisse pas en fonction de leur déontologie.

Maître je pense avoir tout dis, d’ailleurs vous trouverez en pièce jointe un enregistrement qui a été effectué a votre cabinet en date du 29 novembre 2012 je vous demande de l’écouter jusqu'à la fin, ou nous pensons a cet époque reprendre espoir en vous écoutant, mais hélas il en à été tout autrement.

Je vous prie cher Maître de croire a l’expression de mes sincères salutations.

PS : Cet affaire n'est pas finie..

Mr Royet Amine
Le Maroc fait profil bas...et il sait bien que son Trône peut vaciller d'un moment à l'autre!!!!!
Auteur : pouic2011
Date : le 22 mai 2014 à 15h48



Le Roi doit rendre des compte à tout moment et à ses Maître"L'Oncle Sam et l'ONU".Il connait ses fonctions et tout ce qu'il a doit remplir en Afrique.En ce qui concerne les droits de l'homme et les droits des prisonniers politiques,il est temps de les respecter car LE TORCHON BRÛLE SURTOUT AU SAHARA OCCIDENTAL.....
Le maroc à une peur bleu des islamistes
Auteur : paysan81
Date : le 22 mai 2014 à 15h21
Encore un pauvre cas que le makhzen c'est permis de méprisé
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