Attijariwafa bank : Deux nouvelles cartes pour permettre à ses clients d’assister au mondial 2014 au Brésil

Le groupe Attijariwafa bank, a annoncé, ce jeudi, son statut de banque officielle au Maroc de la Coupe du Monde FIFA 2014 en partenariat avec Visa, lors d’une conférence de presse en présence de Driss Maghraoui, Directeur exécutif en charge du marché des particuliers et professionnels d’Attijariwafa bank et de Mohamed Touhami El Ouazzani, Directeur régional pour le Maroc, l’Afrique de l’Ouest et du Centre de Visa Inc. Pour marquer cet événement sportif, la banque marocaine va lancer deux cartes exclusives en partenariat avec Visa. Celles-ci dénommées «Noujoum» et «Abtal», produites en série limitée, permettront ainsi aux clients de la banque de pouvoir assister à la coupe du monde. 

«La banque réaffirme ainsi son engagement pour le sport et son attachement aux valeurs universelles du football, l’un des sports les plus populaires au Maroc», a souligné Driss Maghraoui. «Elle est ainsi la seule banque au Maroc, au Maghreb  et en Afrique subsaharienne à utiliser la marque Fifa» pour la prochaine Coupe du Monde.

Pour l’occasion, la banque marocaine va offrir le voyage au Brésil à huit de ses clients. Pour choisir les gagnants, un tirage au sort sera effectué chaque fin de mois d’ici le début de la Coupe du Monde. Deux clients seront tirés à chaque fois. La banque couvrira ainsi tous les frais liés à l’accueil, l’hébergement et l’accès dans les différents stades où se déroulera la compétition pour ces heureux clients.

Consolider l’activité monétique

Quelques 30 000 cartes devraient être émises durant les trois prochains mois en édition limitée. La banque vise ainsi, à travers ce partenariat avec Visa, à consolider l’activité monétique. Elle détient en effet 16% de part de marché des cartes émises au Maroc et près de 19% du parc des Guichets automatiques bancaires (GAB).

Sur le marché des paiements locaux et étrangers, Attijariwafa bank  a également réussi à s’imposer en se taillant 24% des parts sur le premier segment et 22% sur le second. Même performance sur les paiements e-commerce où la banque s’accapare d’une part de marché de 26%.