Iles Canaries : Le Polisario exclu d’un festival africain

La mise à l’écart du Polisario des célébrations officielles de la Journée mondiale de l’Afrique aux Canaries est un nouvel indice du discrédit international grandissant dont souffre cette milice séparatiste. Ce rejet n’est pas anodin : il reflète la perte d’influence d’un mouvement artificiel, dénué de toute légitimité populaire réelle, et entièrement soutenu par un régime algérien autoritaire, obsédé par son hostilité maladive envers le Maroc. Depuis plus de 45 ans, les dirigeants algériens ont englouti des dizaines de milliards de dollars dans ce projet idéologique ruineux, préférant financer une milice paramilitaire exilée dans le désert de Tindouf plutôt que d’investir dans l’éducation, la santé ou les infrastructures de leur propre peuple. Le prix de ce soutien aveugle ? Une diplomatie algérienne isolée, des citoyens privés de libertés, et une économie asphyxiée par des choix stratégiques irrationnels. Il est temps pour les Algériens de demander des comptes : combien a réellement coûté le Polisario au trésor public ? Et surtout, pour quels résultats ? Si ce n’est une humiliation géopolitique répétée, une impasse diplomatique chronique et une fracture profonde avec leurs voisins naturels.

Personne ne veut du vendu traître marionnette a ses maîtres Harki sous hommes complotistes làches d'alger

Les portes se referment les une après les autres sur les separatistes .50 ans et mille milliards de dollars pour arriver à ce triste résultat . Alors que le peuple algérien en avait bien besoin.

ils ont oublié les attentâtes perpètres ces moins que rien

Ni le droit international ni la jurisprudence de la Cour de Justice de l'Union européenne ne reconnaissent "la souveraineté du Sahara occidental", donc, il faut arrêter de jouer avec les mots, ça ne trompe personne, sauf ceux qui croient toujours aux thèses fallacieuses des algéro-polisariens !!!

Un groupe de mercenaires équipés et armés jusqu'aux dents par ce voisin du mal, dont le chef est accusé de viol, et qui asservissent des femmes dans les camps de la honte, tout en entraînant des enfants à devenir l'avenir du terrorisme au Maghreb, parle des droits internationaux. Sommes-nous les seuls au Maroc à voir que quelque chose ne tourne pas rond ici ? Ou tout le monde regarde-t-il ailleurs pour continuer à traire la junte ?