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Sahara : De Mistura rencontre une délégation du Polisario

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Temps de lecture: 1'

Hier à Bruxelles, Staffan de Mistura, l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental, a rencontré une délégation du Polisario dirigée par Mohamed Yeslem Beïssat, qualifié par le mouvement séparatiste de «ministre des Affaires étrangères».

Les discussions ont porté sur «les récents développements concernant la question sahraouie, en particulier au niveau des Nations unies», rapporte ce vendredi le Polisario. Cette réunion s'est déroulée en marge de la conférence ministérielle entre l'Union européenne et l'Union africaine, à laquelle le Front Polisario a pris part.

À noter que Staffan de Mistura a également tenu une réunion à Bruxelles avec le ministre mauritanien des Affaires étrangères, Mohamed Salem Ould Merzoug. La capitale belge a aussi été le théâtre d'une rencontre entre le chef de la diplomatie algérienne, Ahmed Attaf, et son homologue du Polisario.

L'émissaire onusien a pour mission de relancer le processus de règlement de la question du Sahara occidental. Ce dossier sera examiné par le Conseil de sécurité des Nations unies en octobre prochain.

Article modifié le 26/05/2025 à 12h40

AL MASSIRA
Date : le 25 mai 2025 à 22h36
Oh la la , on a peur. Tous les signes sont pour une RASD à l'ONU et un état à part entière. De Mistura est en train de donner les dernières retouches au projet.
Citation
"Lino Aydan" à écrit:
L’objectif de l’émissaire onusien est de relancer le processus de règlement du conflit. Le dossier sera examiné par le Conseil de sécurité de l’ONU en octobre prochain.
Hsoun 2
Date : le 25 mai 2025 à 17h28
Avec tous les arguments solides que les marocains apportent à travers leurs commentaires sur cet article, j'en arrive à la conclusion qu'il est inutile de vouloir forcer un mulet à boire si il n'a pas soif. Triste constat.
Benoona
Date : le 25 mai 2025 à 16h59
Si Omar: Taboristan slayer. Source: MAP C24/M. Hilale: L'Algérie souffre d'une pathologie schizophrénique incurable dans le dossier du Sahara marocain 25 mai 2025 Version Imprimable Dili (Timor-Leste) - Le séminaire régional du Comité des 24 de l’ONU (C24), qui vient de clore ses travaux à Dili, au Timor-Leste, a été marqué par les habituelles joutes oratoires maroco-algériennes, en forme de deux droits de réponses. Fidèle à ses philippiques, provocations véhémentes et allégations fallacieuses, le chef de la délégation algérienne s’est élevé contre ce qu'il a appelé la singularisation de son pays dans le discours du Maroc, prétextant qu’il n’est pas partie prenante dans le différend du Sahara marocain. L’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale lui a répondu "qu’il n’a fait que rappeler des faits et actes réels assumés ouvertement par l’Algérie". Et de s’interroger: “Qui a créé le +polisario+ C’est bien l'Algérie. Où se trouve t-il? Sur le territoire algérien. Qui le finance? C’est l’Algérie. Qui mène les campagnes diplomatiques contre le Maroc? C’est encore l’Algérie”. C’est la raison pour laquelle l'Algérie est citée à cinq reprises dans chacune des dernières résolutions du Conseil de sécurité, a-t-il ajouté. Réagissant au pseudo statut d’observateur de l'Algérie, l’ambassadeur a constaté que “malheureusement l’Algérie souffre d’une pathologie schizophrénique incurable. Elle n'est pas partie mais en même temps elle s’oppose depuis trois ans à la reprise du processus politique, bloquant ainsi le règlement politique de ce différend régional’’. A son tour, M. Hilale a reproché au diplomate algérien “d’utiliser un logiciel obsolète parce que le narratif de l'Algérie s'est arrêté à l’an 2000 et a passé sous silence les importants développements survenus durant ces 25 dernières années", s’interrogeant "pourquoi l'Algérie ne se réfère jamais aux résolutions du Conseil de sécurité depuis 2000?”. Et de répondre: L'Algérie ne les cite jamais, parce qu'ils contredisent les fondements de sa position, en actant l’enterrement du référendum, en reconnaissant la prééminence de l'initiative marocaine d’autonomie, en responsabilisant expressément l'Algérie et en constatant le momentum international en faveur de l’initiative marocaine. Ce que l'Algérie persiste à ignorer en recourant à un discours monomatique sur la seule période du début de ce différend et non sur ses évolutions diplomatiques positives jusqu’à ce jour, a-t-il dit. Réagissant à la prétention du diplomate algérien que son pays a été et demeure la Mecque des mouvements de libération africains, l’ambassadeur Hilale lui a répondu que “c’était peut être un mythe durant les années soixante. Mais actuellement Alger est la Mecque de la déstabilisation. Elle est la Mecque des groupes terroristes, du séparatisme et de tous ceux qui veulent prendre les armes contre leur propre pays”, constatant que "malheureusement la politique de déstabilisation de l'Algérie au Maghreb et au Sahel a ouvert un large boulevard au terrorisme d’Al-Qaeda et de Daesh en Afrique”. Enfin, M. Hilale a démystifié la forfanterie du chef de la délégation algérienne au sujet du droit à l’autodétermination en l’interpellant que “pour crédibiliser son discours, l’Algérie se doit tout d'abord d’offrir ce droit à ceux qui vivent sur son propre territoire, le peuple Kabyle, et dont la revendication de son droit à l’autodétermination remonte bien avant la création même de l’Etat algérien”.
gustavo321
Date : le 25 mai 2025 à 14h11
''ton message reprend plusieurs éléments de langage caractéristiques de la communication officielle marocaine ...'' Ton ''message'' est truffé d' ''elements de langage'' qui sous-tendent le discours propagandiste et l'idéologie anachronique et désuète du régime militaire illégitime et prédateur que tu défends .. aucun fondement sérieux et solide ne sous-tend tes copier-coller insipides et soporifiques ... Le Sahara que tu dis ''occidental'' a été décolonisé depuis sa restitution par l'Espagne au Royaume chérifien, rétablissant ainsi la légitimité historique et les exigences du Droit international. Tu peux discourir et brailler autant que tu veux, toi et tous les p'tits trolls et autres p'tits soldats de ChlingueRiha, vous ne parviendrez pas à imposer au Royaume chérifien votre concept colonial d' ''intangibilité des frontières héritées de la colonisation'' ... A ce propos, je te rappelle que c’est le Royaume qui a inscrit, en 1962, la question du Sahara au sein du comité de décolonisation afin de récupérer son territoire colonisé par l’Espagne. En réalité, toi et autres trolls du régime algériens savez parfaitement tout cela ... Mais le reconnaître signifierait la fin des haricots pour un régime qui a lié son existence même a la construction et au maintien de cette ''cause'' utopique et opportuniste d'un Polimariole et d'une soit-disante RASD (Republique Algérienne Sans le Dire) ... Une cause aujourd'hui moribonde, abandonnée partout ... The game is over ... Même les dirigeants de ton pays commencent à le comprendre ... Tu es en retard d'une guerre l'ami Aydan! ... Il serait peut-etre plus judicieux et plus utile pour toi et tes lecteurs potentiels de t'intéresser a la cause des fennecs du desert, qui seraient, paraît-il, en voie de disparition!? ...
Citation
"Lino Aydan" à écrit:
Ton message reprend plusieurs éléments de langage caractéristiques de la communication officielle marocaine, mais il est important de rétablir les faits, fondés non sur l’émotion ou l’opinion, mais sur le droit international et les décisions des institutions compétentes. 1. Le Sahara Occidental est officiellement reconnu comme territoire non autonome par l’ONU. Cela signifie, selon la Charte des Nations unies, qu’il n’a pas encore exercé son droit à l’autodétermination. C’est une position constante, réaffirmée chaque année par la Quatrième Commission de l’Assemblée générale de l’ONU. Aucune résolution onusienne ne reconnaît la souveraineté du Maroc sur ce territoire. 2. L’ONU ne "privilégie" pas le plan marocain, comme tu l’affirmes. Elle le mentionne, au même titre que la proposition du Polisario. La terminologie de « réaliste, sérieuse et crédible » est diplomatique, sans valeur juridique, et ne signifie aucunement une adhésion au projet d’autonomie ni une reconnaissance de souveraineté. L’ONU reste attachée à une solution politique mutuellement acceptable qui permette l’exercice du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui — ce que le plan marocain exclut. 3. La Cour Internationale de Justice (CIJ), dans son avis de 1975, a précisément rejeté la thèse de la souveraineté marocaine : « les éléments et informations portés à la connaissance de la Cour n’établissent pas l’existence de liens de souveraineté territoriale entre le territoire du Sahara occidental et le Royaume du Maroc. » Les allégeances tribales, d’ordre personnel et religieux, n’ont jamais constitué un fondement juridique de souveraineté selon le droit international. 4. L’Union africaine (UA) reconnaît la République arabe sahraouie démocratique (RASD) comme État membre à part entière depuis 1984. Le Maroc, pour revenir dans l’organisation en 2017, a dû accepter cette réalité sans conditions. L'ouverture de consulats par certains États à Dakhla ou Laâyoune ne modifie en rien le statut juridique du territoire ; il s’agit d’actes unilatéraux, souvent motivés par des intérêts bilatéraux contextuels et non reconnus par l’ONU. 5. La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a invalidé à plusieurs reprises des accords entre l’UE et le Maroc lorsqu’ils s’appliquaient au Sahara Occidental, car ce territoire est distinct du Maroc. Elle a exigé le consentement du peuple du Sahara Occidental, ce qui ne peut être confondu avec des élus marocains d’origine sahraouie, désignés sous occupation militaire. 6. Concernant la MINURSO, son mandat reste toujours centré sur l’organisation d’un référendum d’autodétermination, jamais révoqué. Le blocage du processus est largement dû à l’opposition marocaine à toute consultation électorale depuis que le corps électoral a été gelé. Accuser uniquement le Polisario, tout en occultant ce refus structurel, est une lecture très partielle des faits. Enfin, si le développement économique est réel dans certaines villes, cela n’efface ni le droit à l’autodétermination, ni la condition d’occupation militaire. De nombreux rapports d’ONG (Human Rights Watch, Amnesty International, etc.) documentent les restrictions aux libertés et les violences contre les militants sahraouis. Le conflit du Sahara Occidental n’est pas une question de développement ou d’"élus locaux", mais de droit international et de décolonisation inachevée. Tant que le peuple sahraoui n’aura pas librement décidé de son avenir à travers un processus transparent et impartial, aucune solution ne pourra être considérée comme légitime ou définitive.
Citation
"Lino Aydan" à écrit:
Ton message reprend plusieurs éléments de langage caractéristiques de la communication officielle marocaine, mais il est important de rétablir les faits, fondés non sur l’émotion ou l’opinion, mais sur le droit international et les décisions des institutions compétentes. 1. Le Sahara Occidental est officiellement reconnu comme territoire non autonome par l’ONU. Cela signifie, selon la Charte des Nations unies, qu’il n’a pas encore exercé son droit à l’autodétermination. C’est une position constante, réaffirmée chaque année par la Quatrième Commission de l’Assemblée générale de l’ONU. Aucune résolution onusienne ne reconnaît la souveraineté du Maroc sur ce territoire. 2. L’ONU ne "privilégie" pas le plan marocain, comme tu l’affirmes. Elle le mentionne, au même titre que la proposition du Polisario. La terminologie de « réaliste, sérieuse et crédible » est diplomatique, sans valeur juridique, et ne signifie aucunement une adhésion au projet d’autonomie ni une reconnaissance de souveraineté. L’ONU reste attachée à une solution politique mutuellement acceptable qui permette l’exercice du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui — ce que le plan marocain exclut. 3. La Cour Internationale de Justice (CIJ), dans son avis de 1975, a précisément rejeté la thèse de la souveraineté marocaine : « les éléments et informations portés à la connaissance de la Cour n’établissent pas l’existence de liens de souveraineté territoriale entre le territoire du Sahara occidental et le Royaume du Maroc. » Les allégeances tribales, d’ordre personnel et religieux, n’ont jamais constitué un fondement juridique de souveraineté selon le droit international. 4. L’Union africaine (UA) reconnaît la République arabe sahraouie démocratique (RASD) comme État membre à part entière depuis 1984. Le Maroc, pour revenir dans l’organisation en 2017, a dû accepter cette réalité sans conditions. L'ouverture de consulats par certains États à Dakhla ou Laâyoune ne modifie en rien le statut juridique du territoire ; il s’agit d’actes unilatéraux, souvent motivés par des intérêts bilatéraux contextuels et non reconnus par l’ONU. 5. La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a invalidé à plusieurs reprises des accords entre l’UE et le Maroc lorsqu’ils s’appliquaient au Sahara Occidental, car ce territoire est distinct du Maroc. Elle a exigé le consentement du peuple du Sahara Occidental, ce qui ne peut être confondu avec des élus marocains d’origine sahraouie, désignés sous occupation militaire. 6. Concernant la MINURSO, son mandat reste toujours centré sur l’organisation d’un référendum d’autodétermination, jamais révoqué. Le blocage du processus est largement dû à l’opposition marocaine à toute consultation électorale depuis que le corps électoral a été gelé. Accuser uniquement le Polisario, tout en occultant ce refus structurel, est une lecture très partielle des faits. Enfin, si le développement économique est réel dans certaines villes, cela n’efface ni le droit à l’autodétermination, ni la condition d’occupation militaire. De nombreux rapports d’ONG (Human Rights Watch, Amnesty International, etc.) documentent les restrictions aux libertés et les violences contre les militants sahraouis. Le conflit du Sahara Occidental n’est pas une question de développement ou d’"élus locaux", mais de droit international et de décolonisation inachevée. Tant que le peuple sahraoui n’aura pas librement décidé de son avenir à travers un processus transparent et impartial, aucune solution ne pourra être considérée comme légitime ou définitive.
gustavo321
Date : le 25 mai 2025 à 14h10
''ton message reprend plusieurs éléments de langage caractéristiques de la communication officielle marocaine ...'' Ton ''message'' est truffé d' ''elements de langage'' qui sous-tendent le discours propagandiste et l'idéologie anachronique et désuète du régime militaire illégitime et prédateur que tu défends .. aucun fondement sérieux et solide ne sous-tend tes copier-coller insipides et soporifiques ... Le Sahara que tu dis ''occidental'' a été décolonisé depuis sa restitution par l'Espagne au Royaume chérifien, rétablissant ainsi la légitimité historique et les exigences du Droit international. Tu peux discourir et brailler autant que tu veux, toi et tous les p'tits trolls et autres p'tits soldats de ChlingueRiha, vous ne parviendrez pas à imposer au Royaume chérifien votre concept colonial d' ''intangibilité des frontières héritées de la colonisation'' ... A ce propos, je te rappelle que c’est le Royaume qui a inscrit, en 1962, la question du Sahara au sein du comité de décolonisation afin de récupérer son territoire colonisé par l’Espagne. En réalité, toi et autres trolls du régime algériens savez parfaitement tout cela ... Mais le reconnaître signifierait la fin des haricots pour un régime qui a lié son existence même a la construction et au maintien de cette ''cause'' utopique et opportuniste d'un Polimariole et d'une soit-disante RASD (Republique Algérienne Sans le Dire) ... Une cause aujourd'hui moribonde, abandonnée partout ... The game is over ... Même les dirigeants de ton pays commencent à le comprendre ... Tu es en retard d'une guerre l'ami Aydan! ... Il serait peut-etre plus judicieux et plus utile pour toi et tes lecteurs potentiels de t'intéresser a la cause des fennecs du desert, qui seraient, paraît-il, en voie de disparition!? ...
Citation
"Lino Aydan" à écrit:
Ton message reprend plusieurs éléments de langage caractéristiques de la communication officielle marocaine, mais il est important de rétablir les faits, fondés non sur l’émotion ou l’opinion, mais sur le droit international et les décisions des institutions compétentes. 1. Le Sahara Occidental est officiellement reconnu comme territoire non autonome par l’ONU. Cela signifie, selon la Charte des Nations unies, qu’il n’a pas encore exercé son droit à l’autodétermination. C’est une position constante, réaffirmée chaque année par la Quatrième Commission de l’Assemblée générale de l’ONU. Aucune résolution onusienne ne reconnaît la souveraineté du Maroc sur ce territoire. 2. L’ONU ne "privilégie" pas le plan marocain, comme tu l’affirmes. Elle le mentionne, au même titre que la proposition du Polisario. La terminologie de « réaliste, sérieuse et crédible » est diplomatique, sans valeur juridique, et ne signifie aucunement une adhésion au projet d’autonomie ni une reconnaissance de souveraineté. L’ONU reste attachée à une solution politique mutuellement acceptable qui permette l’exercice du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui — ce que le plan marocain exclut. 3. La Cour Internationale de Justice (CIJ), dans son avis de 1975, a précisément rejeté la thèse de la souveraineté marocaine : « les éléments et informations portés à la connaissance de la Cour n’établissent pas l’existence de liens de souveraineté territoriale entre le territoire du Sahara occidental et le Royaume du Maroc. » Les allégeances tribales, d’ordre personnel et religieux, n’ont jamais constitué un fondement juridique de souveraineté selon le droit international. 4. L’Union africaine (UA) reconnaît la République arabe sahraouie démocratique (RASD) comme État membre à part entière depuis 1984. Le Maroc, pour revenir dans l’organisation en 2017, a dû accepter cette réalité sans conditions. L'ouverture de consulats par certains États à Dakhla ou Laâyoune ne modifie en rien le statut juridique du territoire ; il s’agit d’actes unilatéraux, souvent motivés par des intérêts bilatéraux contextuels et non reconnus par l’ONU. 5. La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a invalidé à plusieurs reprises des accords entre l’UE et le Maroc lorsqu’ils s’appliquaient au Sahara Occidental, car ce territoire est distinct du Maroc. Elle a exigé le consentement du peuple du Sahara Occidental, ce qui ne peut être confondu avec des élus marocains d’origine sahraouie, désignés sous occupation militaire. 6. Concernant la MINURSO, son mandat reste toujours centré sur l’organisation d’un référendum d’autodétermination, jamais révoqué. Le blocage du processus est largement dû à l’opposition marocaine à toute consultation électorale depuis que le corps électoral a été gelé. Accuser uniquement le Polisario, tout en occultant ce refus structurel, est une lecture très partielle des faits. Enfin, si le développement économique est réel dans certaines villes, cela n’efface ni le droit à l’autodétermination, ni la condition d’occupation militaire. De nombreux rapports d’ONG (Human Rights Watch, Amnesty International, etc.) documentent les restrictions aux libertés et les violences contre les militants sahraouis. Le conflit du Sahara Occidental n’est pas une question de développement ou d’"élus locaux", mais de droit international et de décolonisation inachevée. Tant que le peuple sahraoui n’aura pas librement décidé de son avenir à travers un processus transparent et impartial, aucune solution ne pourra être considérée comme légitime ou définitive.
Tahar_75
Date : le 25 mai 2025 à 14h08
Je pense que Lino Dayan a fait une jolie farce pour créer une distraction en glissant volontairement une erreur dans son texte en replaçant clôturer par relancer : L’objectif de l’émissaire onusien est de clôturer le processus de règlement du conflit. Le dossier sera examiné par le Conseil de sécurité de l’ONU en octobre prochain.
Citation
"Lino Aydan" à écrit:
L’objectif de l’émissaire onusien est de relancer le processus de règlement du conflit. Le dossier sera examiné par le Conseil de sécurité de l’ONU en octobre prochain.
HopeFloats
Date : le 25 mai 2025 à 13h16
À travers tes copier-collers sélectifs, tu nous démontres clairement ta mauvaise foi et ton intention de travestir l'Histoire pour servir la propagande des algéro-polisariens. L'Empire Chérifien du Maroc voulait défendre l'Emir Abdelkader contre la France coloniale lors de la bataille d’Isly 1844, résultat, défaite de l'armée Marocaine, qui était jusqu'au 19ème siècle une puissance militaire régionale redoutable, et, juste après cette défaite, le début du partage et de l'occupation du territoire Marocain. Avant la conférence de Berlin de 1884, il y avait la conférence de Madrid de 1880 entre le Maroc et les pays Européens qui a permis aux Européens de renforcer leur présence et leurs avantages sur le sol Marocain et leur a donné la liberté de posséder des terres et des biens dans l'ensemble du territoire du Maroc y compris le Sahara Marocain. La conférence de Madrid de 1880 était l'origine de l'internationalisation de l'affaire marocaine. En 1884, juste après la conférence de Madrid de 1880, le Sahara Marocain a été placé sous le protectorat espagnol; la prise de contrôle est confirmée par la conférence de Berlin de 1884-1885. Les frontières ne sont pas clairement définies, jusqu'aux traités entre la France et l'Espagne pour définir les limites géographiques de chaque protectorat sur le sol Marocain. Tu dis qu' "en 1963, le Sahara espagnol est inscrit à l’ONU comme territoire non autonome", alors que c'est le Maroc qui avait fait la demande d'inscrire son Sahara à l'ONU pour dégager l'occupation espagnole, puisque le Sahara n'a jamais été espagnole et n'a jamais été sous autorité d'une quelconque autorité ou entité, à part sous le règne des différentes Dynasties Marocaines à travers l'Histoire. Pour le référendum d'autodétermination, il n'est plus d'actualité depuis le Rapport de Koffi Annan de 2000, un rapport qui explique l'impossibilité d'organiser un référendum à cause du blocage du polisario : https://www.yabiladi.com/articles/details/161545/sahara-quand-polisario-bloquait-l-organisation.html Sans oublier, bien sûr, le refus catégorique de l'Algérie d'un recensemment officiel de l'ONU pour identifier les Sahraouis des camps de Tindouf et pour établir s'ils ont un lien avec le Sahara Marocain ou s'ils font partie des Sahraouis originaires d'autres pays que Kadhafi et Boumediène avaient recruté pour peupler les Camps de Tindouf. Et pour finir, pourquoi les Sahraouis des Camps de Tindouf n'ont pas la liberté de circulation et doivent avoir une autorisation des autorités algériennes pour sortir des Camps sous peine de s'attaquer à leurs familles, s'ils ne reviennent pas aux Camps de Tindouf ? Doit-on comprendre que les autorités algériennes ont peur que les Sahraouis quittent définitivement les Camps de Tindouf pour s'installer ailleurs ou pour revenir à leur mère patrie, le Maroc ? Et dans ce cas, doit-on considérer les Sahraouis des Camps de Tindouf des réfugiés ou des séquestrés ?
Citation
"Lino Aydan" à écrit:
À la suite de la conférence de Berlin de 1884, le Sahara Occidental devient une possession espagnole, sans présence d’autorité marocaine sur ce territoire. Ce statut n’a pas porté atteinte à l’intégrité territoriale du Maroc. En 1963, le Sahara espagnol est inscrit à l’ONU comme territoire non autonome, toujours en attente de décolonisation. Engagement de l’ONU : - À partir de 1961, l’Espagne commence à transmettre des informations sur le territoire à l’ONU. - L’ONU reconnaît alors le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, conformément à la résolution 1514 (XV). Résolutions successives de l’Assemblée générale (1965-1973) exigent de l’Espagne qu’elle organise un référendum pour permettre aux Sahraouis de choisir librement leur avenir. Ces résolutions précisent : - Le référendum doit être libre, démocratique, impartial, sous l’égide de l’ONU. - Seuls les autochtones doivent y participer. - L’Espagne doit garantir un climat favorable (retour des exilés, absence de pressions...). Position du Maroc à l’époque : Contrairement aux positions actuelles, le Maroc ne revendique pas officiellement le territoire à cette période. Ses représentants appellent à l’indépendance des territoires sous domination espagnole et soutiennent le processus d’autodétermination. Constat en 1970 : L’Assemblée générale regrette que le référendum ne soit toujours pas organisé et rappelle à l’Espagne ses obligations. Elle appelle également les États à ne pas investir dans le territoire tant que le processus de décolonisation n’est pas achevé.
Boutch
Date : le 25 mai 2025 à 12h57
Conclusion : La malhonnêteté est dans vos gènes même lorsque vous êtes éduqués. Boualem Sansal en sait quelque chose, malheureusement pour lui. L’idéologie du néant et du négatif vous emportera. Le Sahara était, est et sera éternellement MAROCAIN. Ton baratin garde le pour les tiens. Si vous les algériens, vous souhaitez sincèrement l’indépendance de vos saharaouis, venez la chercher, on vous attends 1 à 1. À part bomber le torse et polluer l’air, vous êtes complètement inutiles !!!!! Bonne baignade
Citation
"Lino Aydan" à écrit:
🟦 1. Position du Maroc jusqu’en 1974 • 1966-1973 : Le Maroc soutenait officiellement l’indépendance du Sahara Occidental. o Déclarations marocaines à l’ONU en faveur de la décolonisation et de l’autodétermination. o Le ministre des Affaires étrangères marocain déclarait vouloir un référendum pour que le peuple sahraoui choisisse librement son avenir. • Le changement de cap intervient en 1974, pour des raisons de politique intérieure : la monarchie en crise cherche un « ennemi extérieur » pour détourner l’attention de la population. 🟦 2. Historique du Sahara Occidental • Avant la colonisation espagnole, le Sahara Occidental était indépendant et n'était pas sous souveraineté marocaine. • L’Espagne a colonisé le territoire en négociant avec les chefs tribaux sahraouis, non avec le Maroc. • Des traités de protection ont été signés entre les tribus sahraouies et l’Espagne dès 1881. 🟦 3. Arguments historiques contre la souveraineté marocaine • Les sultans marocains n'ont jamais exercé de contrôle effectif sur le Sahara Occidental. • Les expéditions marocaines vers le sud ont échoué à pénétrer le territoire sahraoui. • L’occupation actuelle du territoire par le Maroc depuis 1975 ne constitue pas une preuve de souveraineté. 🟦 4. Reconnaissance internationale • L’ONU a toujours reconnu le Sahara Occidental comme territoire non autonome, en attente de décolonisation. • La Cour Internationale de Justice (CIJ) a statué en 1975 : o Aucun lien de souveraineté entre le Maroc et le Sahara Occidental. o Le peuple sahraoui a le droit à l’autodétermination. • De nombreux États et organisations (UA, partis politiques, ONG...) soutiennent cette position. 🟦 5. Critique des thèses marocaines • Les thèses niant l’existence du peuple sahraoui sont qualifiées de propagande. • La longévité de la lutte sahraouie (depuis 1973) démontre l’authenticité de leur cause. • Le Front Polisario, d’abord seul, a ensuite obtenu le soutien de l’Algérie et de la communauté internationale. 🟦 6. Conclusion • Le Sahara Occidental n’est pas marocain. • Seul un référendum libre peut trancher la question. • Le peuple sahraoui est seul habilité à décider de son destin.
Lino Aydan
Date : le 25 mai 2025 à 11h33
🟦 1. Position du Maroc jusqu’en 1974 • 1966-1973 : Le Maroc soutenait officiellement l’indépendance du Sahara Occidental. o Déclarations marocaines à l’ONU en faveur de la décolonisation et de l’autodétermination. o Le ministre des Affaires étrangères marocain déclarait vouloir un référendum pour que le peuple sahraoui choisisse librement son avenir. • Le changement de cap intervient en 1974, pour des raisons de politique intérieure : la monarchie en crise cherche un « ennemi extérieur » pour détourner l’attention de la population. 🟦 2. Historique du Sahara Occidental • Avant la colonisation espagnole, le Sahara Occidental était indépendant et n'était pas sous souveraineté marocaine. • L’Espagne a colonisé le territoire en négociant avec les chefs tribaux sahraouis, non avec le Maroc. • Des traités de protection ont été signés entre les tribus sahraouies et l’Espagne dès 1881. 🟦 3. Arguments historiques contre la souveraineté marocaine • Les sultans marocains n'ont jamais exercé de contrôle effectif sur le Sahara Occidental. • Les expéditions marocaines vers le sud ont échoué à pénétrer le territoire sahraoui. • L’occupation actuelle du territoire par le Maroc depuis 1975 ne constitue pas une preuve de souveraineté. 🟦 4. Reconnaissance internationale • L’ONU a toujours reconnu le Sahara Occidental comme territoire non autonome, en attente de décolonisation. • La Cour Internationale de Justice (CIJ) a statué en 1975 : o Aucun lien de souveraineté entre le Maroc et le Sahara Occidental. o Le peuple sahraoui a le droit à l’autodétermination. • De nombreux États et organisations (UA, partis politiques, ONG...) soutiennent cette position. 🟦 5. Critique des thèses marocaines • Les thèses niant l’existence du peuple sahraoui sont qualifiées de propagande. • La longévité de la lutte sahraouie (depuis 1973) démontre l’authenticité de leur cause. • Le Front Polisario, d’abord seul, a ensuite obtenu le soutien de l’Algérie et de la communauté internationale. 🟦 6. Conclusion • Le Sahara Occidental n’est pas marocain. • Seul un référendum libre peut trancher la question. • Le peuple sahraoui est seul habilité à décider de son destin.
Lino Aydan
Date : le 25 mai 2025 à 11h24
À la suite de la conférence de Berlin de 1884, le Sahara Occidental devient une possession espagnole, sans présence d’autorité marocaine sur ce territoire. Ce statut n’a pas porté atteinte à l’intégrité territoriale du Maroc. En 1963, le Sahara espagnol est inscrit à l’ONU comme territoire non autonome, toujours en attente de décolonisation. Engagement de l’ONU : - À partir de 1961, l’Espagne commence à transmettre des informations sur le territoire à l’ONU. - L’ONU reconnaît alors le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, conformément à la résolution 1514 (XV). Résolutions successives de l’Assemblée générale (1965-1973) exigent de l’Espagne qu’elle organise un référendum pour permettre aux Sahraouis de choisir librement leur avenir. Ces résolutions précisent : - Le référendum doit être libre, démocratique, impartial, sous l’égide de l’ONU. - Seuls les autochtones doivent y participer. - L’Espagne doit garantir un climat favorable (retour des exilés, absence de pressions...). Position du Maroc à l’époque : Contrairement aux positions actuelles, le Maroc ne revendique pas officiellement le territoire à cette période. Ses représentants appellent à l’indépendance des territoires sous domination espagnole et soutiennent le processus d’autodétermination. Constat en 1970 : L’Assemblée générale regrette que le référendum ne soit toujours pas organisé et rappelle à l’Espagne ses obligations. Elle appelle également les États à ne pas investir dans le territoire tant que le processus de décolonisation n’est pas achevé.
Citation
Boutch à écrit:
Sauf que la malhonnêteté intellectuelle, concernant le Maroc, est dans le gène algerien !!!! Tu oublies un détail du très grande importance : C’est feu Hassan II qui a demandé la décolonisation du Sahara en 1963. Pourquoi la grande Algérie des 1962 n’a pas soutenu votre Sahara occidental ? Des documents declassifies (CIA) indiquent bien qu’avant 1975 ni boumedienne ni bouteflika ne soutenaient une quelconque indépendance ou mouvement indépendantiste saharaoui !!!! Donc, je te le répète tu devrais aller te baigner !!!
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