Prix Mandela : Après le Polisario, un parti séparatiste rifain contre la candidature de Mme Bouayach

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"Lino Aydan" à écrit:
Il n'y a pas Photo, le Maroc retournera aux sources , il redeviendra Marrakech comme jadis.

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najab75 à écrit:
Tanr que les marocains ne comprennent pas que on est en guerre on avancera jamais il y aura que deux issus soi le Maroc disparaît soi c est l Algérie il y aura d autre issu moi ce qui m inquiète c est la passivité des marocains

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MREtrange à écrit:
parti rifain représenté par un voyou, crée en algérie mdr

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"Lino Aydan" à écrit:
Comment accepter que ce prix, qui porte le nom d’un homme ayant sacrifié sa liberté pour résister à l’oppression, soit associé à une personnalité représentant une institution accusée de couvrir, voire de justifier, de graves violations des droits humains au Maroc ? Dans le Rif, des centaines de jeunes ont été arrêtés, torturés, condamnés à de lourdes peines pour avoir réclamé pacifiquement le respect de leurs droits fondamentaux. Dans les territoires sahraouis, les militants et les journalistes indépendants vivent sous surveillance constante, exposés à la répression et au silence imposé par les autorités. Le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), présidé par Mme Bouayach, n’a jamais été à la hauteur de sa mission. Il n’a pas su se positionner clairement face aux abus, ni protéger les victimes, ni porter leur voix sur la scène internationale. Accorder à sa présidente un prix célébrant l’héritage de Nelson Mandela reviendrait à trahir l’esprit même de ce combat. C’est une affaire de justice. Le Prix Mandela ne doit pas devenir un instrument politique ou diplomatique. Il doit rester un symbole fort, un repère pour tous les peuples en lutte. Cette nomination est une offense à tous les hommes et femmes épris de libertés et des droits humains. Les Nations unies ne vont jamais accepter cette candidature, sinon ils seront contre leurs résolutions . Il faut rester fidèles aux valeurs que Nelson Mandela a incarnées.

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"Lino Aydan" à écrit:
Comment accepter que ce prix, qui porte le nom d’un homme ayant sacrifié sa liberté pour résister à l’oppression, soit associé à une personnalité représentant une institution accusée de couvrir, voire de justifier, de graves violations des droits humains au Maroc ? Dans le Rif, des centaines de jeunes ont été arrêtés, torturés, condamnés à de lourdes peines pour avoir réclamé pacifiquement le respect de leurs droits fondamentaux. Dans les territoires sahraouis, les militants et les journalistes indépendants vivent sous surveillance constante, exposés à la répression et au silence imposé par les autorités. Le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), présidé par Mme Bouayach, n’a jamais été à la hauteur de sa mission. Il n’a pas su se positionner clairement face aux abus, ni protéger les victimes, ni porter leur voix sur la scène internationale. Accorder à sa présidente un prix célébrant l’héritage de Nelson Mandela reviendrait à trahir l’esprit même de ce combat. C’est une affaire de justice. Le Prix Mandela ne doit pas devenir un instrument politique ou diplomatique. Il doit rester un symbole fort, un repère pour tous les peuples en lutte. Cette nomination est une offense à tous les hommes et femmes épris de libertés et des droits humains. Les Nations unies ne vont jamais accepter cette candidature, sinon ils seront contre leurs résolutions . Il faut rester fidèles aux valeurs que Nelson Mandela a incarnées.

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MREtrange à écrit:
parti rifain représenté par un voyou, crée en algérie mdr