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Après l’Algérie, l’Afrique du sud et la Namibie se félicitent des arrêts de la CJUE

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Les ministres des Affaires étrangères de l’Afrique du Sud et de la Namibie ont tenu, les 14 et 15 octobre dans la ville namibienne de Swakopmund, une nouvelle session de leur dialogue politique. Dans une déclaration conjointe, les deux pays «ont salué la décision de la Cour de Justice de l'Union Européenne (CJUE) du 4 octobre 2024, selon laquelle la Commission européenne avait violé le droit à l'autodétermination du peuple du Sahara occidental lorsqu'elle avait conclu en 2019 des accords commerciaux avec le Maroc, intégrant les produits du Sahara occidental».

Les deux alliés du Polisario soulignent que «l’arrêt de la CJUE conforte la position des deux pays appuyant le droit des Sahraouis à décider de l'exploitation des ressources du Sahara occidental conformément à son droit à l'autodétermination». Les deux ministres des Affaires étrangères ont également condamné, dans le même communiqué, «l’occupation illégale du Sahara occidental par le Maroc».

Pour rappel, le gouvernement algérien s’est félicité des arrêts de la CJUE, du 4 octobre, excluant les produits du Sahara des accords de pêche et agricoles conclus entre le Maroc et l’UE.

Berberodie
Date : le 20 octobre 2024 à 17h27
On rit depuis la marche verte smiling smiley
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Eamses à écrit:
Rira bien qui rira le dernier !
Eamses
Date : le 20 octobre 2024 à 16h40
Rira bien qui rira le dernier !
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Berberodie à écrit:
La chance n'existe pas, il faut bosser cher fan smiling smiley
Berberodie
Date : le 20 octobre 2024 à 14h51
La chance n'existe pas, il faut bosser cher fan smiling smiley
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Eamses à écrit:
Bonne chance !Bye
Eamses
Date : le 20 octobre 2024 à 14h18
Bonne chance !Bye
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Berberodie à écrit:
L'accord court toujours smiling smiley et n'est pas prêt de s'arrêter smiling smiley
Berberodie
Date : le 20 octobre 2024 à 12h58
L'accord court toujours smiling smiley et n'est pas prêt de s'arrêter smiling smiley
Citation
Eamses à écrit:
Les arrêts de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) concernant le Sahara occidental ont eu des répercussions importantes sur la politique commerciale du Maroc avec l'Union européenne, en particulier sur les accords commerciaux et de pêche. 1. Contexte des arrêts de la CJUE : Décembre 2016 : La CJUE a statué que les accords commerciaux entre le Maroc et l'UE ne pouvaient pas inclure le Sahara occidental sans le consentement explicite du peuple sahraoui. Elle a affirmé que le Sahara occidental avait un statut distinct et séparé du Maroc, et donc que tout accord commercial devait tenir compte de cette distinction. Février 2018 : La CJUE a annulé un accord de pêche entre le Maroc et l'UE qui incluait les eaux du Sahara occidental, en affirmant une nouvelle fois que l'accord ne pouvait s'appliquer à ce territoire sans le consentement de ses habitants. Ces arrêts ont renforcé la position selon laquelle les ressources naturelles du Sahara occidental ne peuvent pas être exploitées dans le cadre d'accords avec le Maroc sans l'approbation du peuple sahraoui, représenté par le Front Polisario, un mouvement qui revendique l'indépendance du Sahara occidental. 2. Impacts sur la politique commerciale du Maroc : Redéfinition des accords : Les arrêts de la CJUE ont obligé le Maroc et l'UE à redéfinir leurs accords commerciaux, en particulier en ce qui concerne les produits provenant du Sahara occidental, tels que le phosphate, les produits agricoles (fruits et légumes), et les produits de la pêche. Par exemple, les produits originaires du Sahara occidental ne peuvent plus bénéficier des préférences tarifaires accordées aux produits marocains sans accord explicite des Sahraouis. Accord de pêche UE-Maroc (2019) : En 2019, un nouvel accord de pêche a été signé entre le Maroc et l'UE, mais des critiques ont persisté, car cet accord continue d'inclure les eaux au large du Sahara occidental. Cela a provoqué des tensions politiques et juridiques, avec des ONG et des organisations sahraouies contestant sa légalité devant la CJUE. Tensions diplomatiques : Ces arrêts ont également contribué à des tensions entre le Maroc et l'UE, avec le Maroc insistant sur sa souveraineté sur le Sahara occidental. Ces décisions ont fragilisé certaines relations commerciales et diplomatiques entre le Maroc et les institutions européennes, bien que le pays continue de chercher des compromis avec l'UE pour préserver ses accords économiques. Front Polisario et litiges commerciaux : Le Front Polisario a poursuivi ses efforts pour faire annuler ces accords et a continué de faire valoir, devant les instances judiciaires européennes, que toute utilisation des ressources naturelles du Sahara occidental sans leur consentement est illégale. 3. Conséquences économiques pour le Maroc : Accès aux marchés européens : Les arrêts de la CJUE ont compliqué l'accès des produits issus du Sahara occidental au marché européen. Certains exportateurs marocains doivent désormais distinguer clairement l'origine des produits pour éviter des litiges ou des restrictions. Pêche et agriculture : Le secteur de la pêche, notamment dans les eaux du Sahara occidental, a été particulièrement touché, car une grande partie de l'industrie repose sur les accords avec l'UE. Les retombées économiques négatives ont également affecté certains segments de l'agriculture, comme les tomates et autres produits agricoles cultivés dans cette région. 4. Répercussions à long terme : Souveraineté contestée : Bien que les arrêts de la CJUE n’aient pas modifié la situation politique sur le terrain, ils ont renforcé la position juridique internationale selon laquelle le Sahara occidental est un territoire distinct. Cela peut influencer les futures négociations entre le Maroc, l'UE et d'autres partenaires internationaux. Dialogue UE-Maroc : La CJUE a réaffirmé que tout accord incluant le Sahara occidental doit respecter le droit international, ce qui pousse l'UE et le Maroc à dialoguer plus étroitement pour trouver des solutions conformes à ces décisions judiciaires, tout en maintenant leur partenariat économique stratégique.
Eamses
Date : le 20 octobre 2024 à 12h40
Les arrêts de la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) concernant le Sahara occidental ont eu des répercussions importantes sur la politique commerciale du Maroc avec l'Union européenne, en particulier sur les accords commerciaux et de pêche. 1. Contexte des arrêts de la CJUE : Décembre 2016 : La CJUE a statué que les accords commerciaux entre le Maroc et l'UE ne pouvaient pas inclure le Sahara occidental sans le consentement explicite du peuple sahraoui. Elle a affirmé que le Sahara occidental avait un statut distinct et séparé du Maroc, et donc que tout accord commercial devait tenir compte de cette distinction. Février 2018 : La CJUE a annulé un accord de pêche entre le Maroc et l'UE qui incluait les eaux du Sahara occidental, en affirmant une nouvelle fois que l'accord ne pouvait s'appliquer à ce territoire sans le consentement de ses habitants. Ces arrêts ont renforcé la position selon laquelle les ressources naturelles du Sahara occidental ne peuvent pas être exploitées dans le cadre d'accords avec le Maroc sans l'approbation du peuple sahraoui, représenté par le Front Polisario, un mouvement qui revendique l'indépendance du Sahara occidental. 2. Impacts sur la politique commerciale du Maroc : Redéfinition des accords : Les arrêts de la CJUE ont obligé le Maroc et l'UE à redéfinir leurs accords commerciaux, en particulier en ce qui concerne les produits provenant du Sahara occidental, tels que le phosphate, les produits agricoles (fruits et légumes), et les produits de la pêche. Par exemple, les produits originaires du Sahara occidental ne peuvent plus bénéficier des préférences tarifaires accordées aux produits marocains sans accord explicite des Sahraouis. Accord de pêche UE-Maroc (2019) : En 2019, un nouvel accord de pêche a été signé entre le Maroc et l'UE, mais des critiques ont persisté, car cet accord continue d'inclure les eaux au large du Sahara occidental. Cela a provoqué des tensions politiques et juridiques, avec des ONG et des organisations sahraouies contestant sa légalité devant la CJUE. Tensions diplomatiques : Ces arrêts ont également contribué à des tensions entre le Maroc et l'UE, avec le Maroc insistant sur sa souveraineté sur le Sahara occidental. Ces décisions ont fragilisé certaines relations commerciales et diplomatiques entre le Maroc et les institutions européennes, bien que le pays continue de chercher des compromis avec l'UE pour préserver ses accords économiques. Front Polisario et litiges commerciaux : Le Front Polisario a poursuivi ses efforts pour faire annuler ces accords et a continué de faire valoir, devant les instances judiciaires européennes, que toute utilisation des ressources naturelles du Sahara occidental sans leur consentement est illégale. 3. Conséquences économiques pour le Maroc : Accès aux marchés européens : Les arrêts de la CJUE ont compliqué l'accès des produits issus du Sahara occidental au marché européen. Certains exportateurs marocains doivent désormais distinguer clairement l'origine des produits pour éviter des litiges ou des restrictions. Pêche et agriculture : Le secteur de la pêche, notamment dans les eaux du Sahara occidental, a été particulièrement touché, car une grande partie de l'industrie repose sur les accords avec l'UE. Les retombées économiques négatives ont également affecté certains segments de l'agriculture, comme les tomates et autres produits agricoles cultivés dans cette région. 4. Répercussions à long terme : Souveraineté contestée : Bien que les arrêts de la CJUE n’aient pas modifié la situation politique sur le terrain, ils ont renforcé la position juridique internationale selon laquelle le Sahara occidental est un territoire distinct. Cela peut influencer les futures négociations entre le Maroc, l'UE et d'autres partenaires internationaux. Dialogue UE-Maroc : La CJUE a réaffirmé que tout accord incluant le Sahara occidental doit respecter le droit international, ce qui pousse l'UE et le Maroc à dialoguer plus étroitement pour trouver des solutions conformes à ces décisions judiciaires, tout en maintenant leur partenariat économique stratégique.
anakine01
Date : le 17 octobre 2024 à 08h44
ils se félicitent mais la seule mahboula qui convoque les ambassadeurs de quelques pays européens est connue de tous....surtout quand elle dit tout le temps qu'elle est neutre....
HopeFloats
Date : le 16 octobre 2024 à 20h07
Il faut arrêter de raconter des bobards et de travestir l'Histoire, le pseudo peuple sahraoui a été inventé par Kadhafi et Boumediène dans les années 1970s. En 1963, le Sahara occidental a été inscrit, À LA DEMANDE DU MAROC, sur la liste des territoires non autonomes selon l'ONU, alors qu'il était encore une colonie espagnole.
Citation
Yous-D à écrit:
La question du peuple sahraoui n’est pas une invention algérienne. Cela remonte plutôt aux Nations Unies, qui ont créé la Quatrième Commission en 1961 dans le but de mettre fin au colonialisme. Ainsi, l'occupation du Sahara Occidental par l'Espagne a poussé le peuple sahraoui à exiger son indépendance conformément au droit international.
Berberodie
Date : le 16 octobre 2024 à 19h41
Le peuple saharaoui on lui a "prêté" Tindouf smiling smiley Juste "prêté" smiling smiley faudra la rendre
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Yous-D à écrit:
La question du peuple sahraoui n’est pas une invention algérienne. Cela remonte plutôt aux Nations Unies, qui ont créé la Quatrième Commission en 1961 dans le but de mettre fin au colonialisme. Ainsi, l'occupation du Sahara Occidental par l'Espagne a poussé le peuple sahraoui à exiger son indépendance conformément au droit international.
AL MASSIRA
Date : le 16 octobre 2024 à 18h28
Renseigne toi avant de parler. Il n’y a pas de yole sahraoui. L’ONU ? C’est le Maroc qui a proposé le problème de la colonisation par l’Espagne à l’ONU et non pas un prétendu peuple sahraoui non encore créé par le couple Boukharrouba et Kadhafi.
Citation
Yous-D à écrit:
La question du peuple sahraoui n’est pas une invention algérienne. Cela remonte plutôt aux Nations Unies, qui ont créé la Quatrième Commission en 1961 dans le but de mettre fin au colonialisme. Ainsi, l'occupation du Sahara Occidental par l'Espagne a poussé le peuple sahraoui à exiger son indépendance conformément au droit international.
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