Le Polisario demande la protection de la MINURSO pour retourner à «ses zones libérées»

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Eamses à écrit:
L'expression « À force de mentir, on finit par croire à ses propres mensonges » reflète un phénomène psychologique connu sous le nom de dissonance cognitive. Lorsqu'une personne répète un mensonge suffisamment de fois, elle peut commencer à rationaliser ce mensonge pour réduire l'inconfort mental lié à la contradiction entre ce qu'elle sait être vrai et ce qu'elle dit. Avec le temps, elle peut en venir à accepter son propre mensonge comme une vérité. Voici quelques raisons pour lesquelles cela peut arriver : Répétition : Plus un mensonge est répété, plus il peut sembler plausible, même pour celui qui l'a créé. Cela s'explique par la tendance du cerveau à se familiariser avec les idées qu'il entend souvent. Auto-justification : Pour éviter la culpabilité ou la honte, une personne peut commencer à justifier ses mensonges. En rationalisant et en cherchant des excuses, elle peut finir par les croire. Dissociation de la réalité : Dans certains cas, la frontière entre la réalité et le mensonge peut devenir floue, surtout si la personne ment pour manipuler ou se protéger. Elle construit alors une "réalité parallèle" où le mensonge devient une version alternative des faits. Besoin d'équilibre mental : La dissonance cognitive pousse les gens à chercher de la cohérence dans leurs pensées, actions et paroles. En répétant un mensonge, le cerveau tente de réduire l'inconfort en modifiant les croyances pour les aligner sur les paroles mensongères. Ce processus peut avoir des conséquences graves, tant pour la personne qui ment que pour les relations qu'elle entretient avec les autres, car vivre dans une illusion finit souvent par mener à des erreurs, des malentendus et une perte de confiance. Il est toujours préférable de faire face à la vérité, même si cela est difficile, plutôt que de s'enfermer dans une spirale de mensonges.

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Eamses à écrit:
Le Maroc est le cheval de Troie de l'Afrique du Nord, s'immisçant dans tout ce qui peut perturber la stabilité des peuples de la région. En tant que pays vassal, il ne faisait bien sûr que suivre la feuille de route.

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Eamses à écrit:
Le Front Polisario a été fondé en 1973 avec l'objectif de mettre fin à la domination espagnole sur le Sahara Occidental. Après le retrait de l'Espagne en 1975, le Maroc et la Mauritanie ont occupé le territoire, ce qui a entraîné un conflit prolongé entre le Front Polisario et ces deux États. Le Polisario continue sa lutte pour l'indépendance du Sahara Occidental, en particulier contre le Maroc, qui a colonisé la plus grande partie de son territoire. Le people Sahraoui, sur la lignée de El-Ouali Mustapha Sayed et Mohamed Abdelaziz continue leur lutte d'indépendance contre le Maroc.

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"Le barreur" à écrit:
En 1975, l'AG avait posé à la CIJ une question bien précise : " Quelles étaient les liens juridiques entre le Sahara Occidental et le Maroc avant la colonisation ? " On n'avait pas demandé à la CIJ si ces liens justifiaient le droit à l'intégration ou le droit à l'autodétermination. C'est l'Algérie qui a " souflé" aux juges un commentaire que personne ne lui demandait, et qui visait à évacuer la question, pour la remplacer par une "solution " toute faite.