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Grand Angle

Affaire Elmaleh : Arrestation d’un Franco-marocain considéré comme l’un des organisateurs du réseau

«Le chaînon manquant» ou «le rouage indispensable», la presse lui donne tous les noms. Lui, c’est Simon Perez, arrêté par la police française dans le cadre de l’affaire Elmaleh. L’homme s’acquittait de sa tâche de manière prudente étant conscient des risques encourus.

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Temps de lecture: 2'

Visé par un mandat d'arrêt international depuis octobre 2012, Simon Perez a été arrêté à Roissy à sa descente d'avion en provenance de Tel-Aviv le 20 décembre dernier, rapporte BFM TV. Ce Franco-Marocain de 47 ans est soupçonné d'être l'un des organisateurs d'un vaste réseau de blanchiment d'argent en liaison avec le trafic de drogue opérant entre la France, la Suisse et le Maroc et démantelé le 10 octobre dernier : l’empire Elmaleh.

Il assurait le lien avec le Maroc 

Dans le business illicite des Elmaleh, chacun avait un rôle bien déterminé. Mardoché Elmaleh était celui qui gérait le trafic du cannabis depuis Paris, son frère Meyer, le compensateur financier et son cadet Nessim qui grâce son poste à la HSBC, ouvraient des comptes pour assurer les transferts bancaires. Pour les enquêteurs, Simon Perez, ami d'enfance de Mardoché, était incontestablement l’homme qui assurait le lien entre les trafiquants de drogue marocains et les frères Elmaleh. «Il était en contact avec les exportateurs marocains des produits stupéfiants», a indiqué une source policière au journal Le Monde.

Les enquêteurs sont arrivés à cette conclusion au fil des filatures et des écoutes téléphoniques. De plus, Simon Perez tout particulièrement savait bien ce qu’il risquait en s’adonnant à ce business illicite. S’adressant à Meyer Elmaleh au sujet de la comptabilité quelques temps avant le démantèlement du réseau, Simon affirme : «Toi encore, tu peux noter. Moi, je ne peux pas noter. C'est dangereux ici, tu le sais très bien ! Moi, dès que tu confirmes, je déchire».

Le réseau Elmaleh, en quelques années seulement, aurait trafiqué près de 8 tonnes de cannabis du Maroc pour des bénéfices avoisinant les 100 millions d’euros. Tout ce argent aurait été «investi dans de grosses opérations immobilières en Afrique du Nord, notamment au Maroc et ailleurs au Moyen-Orient», selon une source proche du dossier citée par Le Monde.

Investir au Maroc
Auteur : ElChamali
Date : le 03 janvier 2013 à 14h10
Au moins ils auront donne du travail a pas mal de Marocain nous devrions leur etre reconnaissant de ca au moins
Elmaleh
Auteur : yassin93
Date : le 03 janvier 2013 à 11h03
Bref Gad Elmaleh, arabe marocain de religion juive, est un traitre tribal qui soutient inconditionnelement la boucherie sioniste. http://0z.fr/pf2SG

حسنا لا، أنه ليس فيلم سبيلبرغ، حيث ينبغي أن يكون لإنقاذ الجندي أبراهام." هو بالأحرى نحن حفظ ومشاهدة أكثر منا، مثلنا، http://0z.fr/DIK2x
Legaliser et lProteger notre Kif avant qu'il soit trop tard
Auteur : ichiadmia
Date : le 03 janvier 2013 à 02h07
Aye si le Maroc legalisait la vente du cannabis ca sera notre petrol, notre or et tous nos ressources naturelles tous reunis. en plus c'est simple, ecologique et ca rapporte gros? est ce qu'on va attendre a ce que les americains le feront en se protegeant par un reseau de patentes auquelles on ne peut toucher? ils ont deja coomencer a legaliser le marijana chez eux (un etat et les autres suiveront bientot)
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