Si on doit retenir un élément positif de cette crise, c'est l'obligation faite aujourd'hui aux entreprises marocaines devront se structurer. Celle qui seront les plus fragiles disparaitront pour laisser la place à un entrepreneuriat moins familial, moins féodale. Le Maroc a de toute façon besoin d'entreprises mieux structurées. Ceci permettra justement au Maroc de rester dans la liste des pays où il fait bon externaliser.
Pour y arriver il faut quand même souligner qu'au Maroc persiste un vrai problème de formation. Une mise à niveau de notre système d'éducation et de formation est primordiale pour accompagner l'essor économique du pays.
Entretien vidéo avec Jamal Belahrach
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