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Les ministres pro-Polisario écartés du sommet Maroc-Espagne

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Aucun ministre de la coalition d’extrême gauche Unidas-Podemos ne fera le voyage à Rabat, le 1er et 2 février, pour prendre part à la réunion de haut niveau Maroc-Espagne. Une annonce faite, ce mercredi depuis la capitale du Niger, par le ministre espagnol des Affaires étrangères.

«Les délégations à ces sommets ne sont jamais composées de tous les ministres, ce n'était pas non plus le cas lors de précédentes réunions, cela dépend de l'ordre du jour. Les ministres qui ont des sujets à traiter avec leurs homologues, iront», a expliqué José Manuel Albares dans des déclarations à la presse ibérique. A Rabat, «il y aura beaucoup de ministres, car la densité et la qualité des relations laissent prévoir que nous serons nombreux autour de la table et derrière le président» du gouvernement, s’est-il félicité.

Unidas-Podemos a annoncé, ce mercredi, qu’aucun de ses ministres ou secrétaires d’Etat ne participera au sommet avec le Maroc y compris la titulaire du maroquin du Travail, Yolanda Díaz. Pourtant des sources gouvernementales espagnoles avaient affirmé en novembre dernier que «le Maroc ne s'est pas opposé à la participation de Yolanda Díaz».

Pour rappel, les ministres de la coalition d’extrême gauche, Unidas-Podemos, avaient tous condamné le soutien de Pedro Sanchez au plan marocain d’autonomie du Sahara occidental. Ainsi le chef du département de la Consommation, Alberto Garzón, s’était réuni, le 28 avril, après le sommet du 7 avril à Rabat entre Mohammed VI et Sanchez, avec une délégation du Front Polisario, conduite par ses représentants en Espagne et en Europe. Une rencontre qui avait constitué un sérieux défi pour l’autorité du locataire du palais de la Moncloa.

gustavo321
Date : le 12 janvier 2023 à 11h40
Le parti d'extrême-gauche Unidas-Podemos est un vrai boulet aux chevilles du gouvernement espagnol. De tels partis, anachroniques, figés et incapables d'agilité diplomatique et de vision géopolitique inspirée, grèvent tous les efforts de développement, de stabilisation et de redémarrage de l'économie ibérique. Staline à l'heure du métavers ...
abdennahi
Date : le 12 janvier 2023 à 10h56
L'Espagne a subi de nombreux revers politique,economique et militaire, europeen et internationale ,dans le ghali gate aucun pays européen ne la soutenue même l'allemagne qui la conseille et est son partenaire pour affaiblir la france a refusé de cautionner l attitude espagnole qui se rapprochait trop d alger ,ensuite les USA ont fait comprendre que militairement dans le détroit, il soutenait le Maroc voir passage des vaisseaux militaires du détroit. Biden a refusé de recevoir Sanchez (camouflet internationale) ensuite l OTAN n a pas soutenu l espagne durant l episode de l invasion migratoire de Sebta et Mlelilla .Pour faire amende honorable l espagne a prit les USA comme fournisseur prioritaire de gaz au detriment d alger ,elle reconnait la souveraineté du Maroc sur son Sahara et soutient le Maroc a L'ONU et au conseil européen ,l espagne est le premier soutien du Maroc , en retour nous assumons notre role de défenseur de porte de l europe que j estime ne pas être logique vu que l europe commence de l autre coté du détroit.
Dernière modification le 12/01/2023 11:40
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