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L’apport financier indirect de l’Algérie au gazoduc Maroc-Nigéria

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Indirectement, lAlgérie contribue au financement de la 2è phase de l’avant-projet technique du gazoduc Maroc-Nigeria, à travers le Fonds OPEP pour le développement international (OFID). Le voisin de l’Est est un membre fondateur de l’OFID, dont la création a été proclamée lors de la conférence des chefs d’Etats de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, organisée en mars 1976 à Alger.

La participation de l’OFID à la réalisation de l’étude s’élève à plus de 14 millions de dollars, confiée à l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (ONYHM). Elle est essentiellement destinée à soutenir les études réalisées «pour la construction éventuelle du gazoduc, facilitant ainsi la décision d'investissement finale. La contribution du Fonds OPEP cofinancera spécifiquement les travaux d'arpentage de la zone Nord (Sénégal - Mauritanie - Maroc)» du pipeline, précise l’OFID sur son site.

De son côté, la Banque Islamique de Développement (ISBD) contribue à hauteur de 50% de la somme nécessaire (90,1 M$) pour la réalisation de la 2è phase de l’avant-projet technique du gazoduc Maroc-Nigeria. La semaine dernière la ISBD a annoncé l’appui des contributions marocaine et nigériane par, respectivement 15,45 M$ et 29,75 M$.

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