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Breve

Arancha Gonzalez botte en touche les questions de la justice sur l’entrée de Ghali en Espagne

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Arancha Gonzalez Laya, ancienne ministre des Affaires étrangères espagnole. / DR
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Comme prévu, l’ancienne ministre espagnole des Affaires étrangères a comparu, ce lundi 4 octobre, devant le juge d’instruction du tribunal n°7 de Saragosse, Rafael Lasala. L’audition n’a pas permis à l’enquête d’avancer et en savoir plus sur l’identité du véritable donneur d’ordre de l’accueil de Brahim Ghali en Espagne.

La Razon rapporte que l’ex-cheffe de la diplomatie s’est abritée derrière une loi décrétée en octobre 2010, sous le gouvernement du socialiste José Luis Zapatero, pour botter en touche les questions du juge Lasala, sous prétexte que cela relève du «secret officiel». Au terme de sa comparution, Arancha Gonzalez a défendu, dans des déclarations à la presse, sa gestion de ce dossier, soulignant qu’elle avait agi «conformément à la loi».

Pour rappel, Camilo Villarino, l’ex-chef de cabinet de Mme. Gonzalez, avait estimé lors de son audition devant le juge d’instruction Lasala, le 13 septembre, que la décision d’accueillir le chef du Polisario n’aurait pas été prise par l’ancienne ministre des Affaires étrangères.

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