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Breve

Sahara : «La nomination d’un nouvel envoyé est un travail critique», reconnait l’ONU

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Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies / Ph. UN
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Presque deux années après la démission d’Horst Köhler, pour «raisons de santé», l’ONU peine à nommer un nouvel envoyé pour le Sahara occidental. Un retard au cœur d’une question posée au porte-parole du secrétaire général des Nations unies lors de son briefing du jeudi 4 mars.

«Ce n'est pas le travail le plus facile sur la liste des Nations-unies. C'est un travail critique. Le Secrétaire général s'est efforcé de pourvoir le poste, mais comme dans beaucoup de ces nominations, tous les leviers ne sont pas entre ses mains, mais il fait sa part», a reconnu Stéphane Dujarric.

Depuis le départ de l’ancien président allemand, aucun des candidats proposés par Antonio Guterres n’a eu l’approbation des parties. Le dernier en date connu officiellement, est l’ancien Premier ministre roumain Petre Roman dont la candidature a été rejetée par le Polisario et l’Algérie.

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