«Qui va investir dans mon projet ? Spécial startups», un techshow de 2M & Inwi

«Qui va investir dans mon projet ? Spécial startups» est le premier techshow élaboré par 2M, en partenariat avec inwi, prévu pour diffusion du 24 novembre au 29 décembre. Ce programme en prime time réunira startups et investisseurs, avec l’idée de mettre en avant de la nouvelle économie digitale et soutenir la croissance des startups marocaines. Il sera présenté par le journaliste Mehdi Boukhari et permettra notamment de mieux connaître les moyens de financement et d’accompagnement des startups.

«Véritable opportunité de visibilité, de financement et de mentorat pour l’entrepreneuriat des jeunes», il s’agit d’«un programme inclusif» qui met face à face, «lors de chaque prime, les fondateurs d’une Startup avec cinq investisseurs privés marocains appelé ‘Business Angels’ qui incarnent le dynamisme, la créativité et la réussite marocaine», selon un communiqué conjoint d’inwi et 2M.

Aussi, les candidats pourront «compter sur le soutien de la Caisse Centrale de Garantie (CCG) en tant que partenaire d’investissement, l’Agence du Développement du Digital (ADD) et la Fédération marocaine des technologies de l’information, des télécommunications et de l’offshoring (APEBI)», indique la même source.

De son côté, l’opérateur inwi accompagne ce programme en proposant un contenu digital «spécialement conçu pour l’occasion et diffusée sur sa plateforme dédiée à l’entrepreneuriat ‘inwi innov’». Il s’agira de donner de la visibilité aux témoignages de jeunes entrepreneurs, mais aussi de transmettre des conseils d’experts ou des recommandations pour les pratiques à adopter, afin d’«assurer une croissance soutenue de la startup».

«Qui va investir dans mon projet ? Spécial startups» est une adaptation du format japonais «Money Tigers», «adapté et diffusé dans plus de 40 pays, notamment en aux états unis sur NBC sous le nom de ‘Shark Tank’, en Angleterre sur la chaîne BBC2 sous le nom de ‘Dragon’s Den’ ou encore en France sur la chaîne M6 sous le nom de ‘Qui veut être mon associé ?’».