Le Maroc fait partie des pays présentant des taux d’incidence et de prévalence compris entre 3,0% et 4,9%, ce qui suggère la réalisation de progrès considérables, souligne le rapport.
Les fonds nécessaires au RAMED, régime dédié à assurer la gratuité des soins aux plus démunis, ont été largement sous-évalués. Pire, l’État et les communes ne respecteraient pas leurs obligations de financement au moment où mêmes les régions doivent être mises à contributions.
A contrario de la phytothérapie, l’homéopathie est encore peu démocratisée au Maroc. Fondée à la fin du XVIIIe siècle, elle ne fait toujours l’objet d’aucune étude ayant pu valider scientifiquement son efficacité.
Le Dr Zouhair Lahna a annoncé, hier sur sa page Facebook, qu’il suspend toutes ses activités bénévoles au Maroc. Il se dit excédé et épuisé par un système humiliant et injuste envers les plus démunis et déplore l’absence de volonté des autorités pour pallier les dysfonctionnements qui gangrènent le secteur de la santé au Maroc.
Il y a des hôpitaux où les blocs opératoires sont peuplés de fantômes, et ce n’est pas demain qu’ils seront dérangés. Un habitat aux frais des contribuables ou parfois à coûts de prêts. Mais on a l’impression que ça ne dérange personne.
Si le marché marocain présente des opportunités importantes en matière d’industrie pharmaceutique, le secteur de la santé connaît nombre de défis. Un récent rapport du cabinet de conseil économique Fitch Solutions est consacré à la situation de ces services dans le pays.