Dans son dernier rapport, la Banque mondiale préconise de taxer les aliments trop gras, trop sucrés et trop salés, et plus seulement les boissons. Au Maroc, la sensibilisation et l’éducation au «bien manger» demeure timide.
Les délais de prise en charge trop longs, le manque de personnel médical suffisamment qualifié et le coût exorbitant des traitements sont autant de facteurs qui freinent la prise en charge des patients.
En France et aux États-unis, les médicaments contenant du paracétamol font polémique. Facilement accessibles au Maroc, notamment en automédication, aucune sensibilisation n’a eu lieu.