La révolution Macron a su renverser tous les codes et amener un souffle nouveau et ce notamment à l’Assemblée nationale. Au lendemain des élections législatives, il n’est pas à négliger que la nouvelle Assemblée nationale est un peu plus à l’image du pays que les législatures précédentes, un point relevé dans une étude relayée par Slate. Détails.
Selon Al Ahdath Al Maghribiya, les conseillers du PAM vont entamer les procédures pour appeler à la constitution d’une commission parlementaire chargée d’enquêter sur le Hirak. Une idée revendiquée par le Parti de l’Istiqlal et décriée par la conseillère municipale PJD Souad Chikhi.
Malgré une main tendue du Maroc, l’Angola n’a pas modéré son appui au Polisario. Avec le départ annoncé du vieux président, Dos Santos, le royaume peut espérer une nette amélioration de ses relations avec ce pays, tendues depuis les années de la guerre civile lorsque Rabat soutenait son grand rival Jonas Savimbi.
Connu pour ses positions extrémistes s’agissant des questions opposant les chiites et les sunnites, le cheikh Yasser Al Habib répondait la semaine dernière à une question d’un chiite marocain quant au Hirak. Pour le prédicateur koweitien, prendre part aux manifestations pour les chiites marocains n’est pas interdit.
Me Isaac Charia est membre de la défense des détenus du Hirak à Al Hoceima et Casablanca. Dans une interview accordée à Yabiladi, il révèle la proposition des avocats de boycotter les audiences en appel pour le groupe d’Al Hoceima et annonce le souhait des habitants du Rif de dialoguer avec une commission royale, non pas avec le gouvernement, le wali ou les élus.
Les résultats du second tour des élections législatives ont été prononcés ce dimanche 18 juin. D’après les premiers chiffres, huit candidats d'origine marocaine font leur entrée à l'Assemblée nationale. Nous mettons à jour l'article au fur et à mesure de l'officialisation des résultats.
Malgré la reprise des relations diplomatiques et l’échange d’ambassadeurs, les liens entre le Maroc et l’Iran sont restés tendus et fragiles. En témoigne l’absence d’une escale marocaine lors de la tournée maghrébine du ministre iranien des Affaires étrangères.