Le Parti Socialiste en France est sur un petit nuage après le basculement ce week-end du Sénat vers la gauche, un basculement qui à sept mois de l’élection présidentielle, fragilise une future candidature de Nicolas Sarkozy mais redonne confiance à l’opposition. Ainsi les socialistes n’hésitent pas à en remettre une couche et ressortir leurs anciennes propositions de loi. L’une d’elle a refait surface dimanche
La future politique migratoire de Nicolas Sarkozy, s’il est réélu, risque d’être pire que celle de son premier mandat. En effet, l’aile droite de l’UMP, la Droite populaire, a accouché de 12 propositions que le candidat sortant pourrait inclure dans son programme. Elle propose notamment de «renforcer les contrôles face à l’immigration» et durcir les conditions d’octroi de la nationalité
Les militants du 20 février étaient de nouveau dans la rue ce dimanche 25 septembre. Dans plusieurs villes du royaume, notamment à Casablanca, Rabat, Marrakech ou Tanger, des milliers de manifestants ont scandé des slogans en faveur d’une meilleure justice sociale et des reformes politiques profondes. Dans la capitale économique, un appel au boycott de la Lydec (Lyonnaise des Eaux de Casablanca) sera lancé dans les jours à venir.
Frontex, l’agence européenne chargée de la surveillance des frontières, est au centre des accusations portées par Human Right Watch. Dans un rapport, publié mercredi 21 septembre, l’ONG dénonce «l’implication de Frontex dans le mauvais traitement des migrants en Grèce». Cependant, pour l’Unions européenne, les autorités grecques sont les principaux responsables de cette situation.
«Un serment d’allégeance aux armes», c’est ce que propose l’UMP afin de renforcer la relation entre l'armée et la nation française. En d’autres termes, chaque Français arrivé à l’âge de la majorité, devrait s’engager, si les circonstances s’imposent, à servir sous les armes françaises. Les «non-Français» souhaitant acquérir la
Les législatives du 25 novembre vont se tenir sans les virulents partis de la gauche radicale. Trois d’entre eux viennent d’appeler au boycott de ce scrutin très attendu pour «un Maroc nouveau». Le Parti du socialiste unifié (PSU), le PADS (Parti de l'avant garde démocratique et socialiste) ainsi que la Voie démocratique (Annahj), estiment tous que les conditions ne sont pas réunies pour des élections libres et