Quinze ans, jour pour jour, après l’attentat le plus meurtrier que l’Espagne ait connu, c’est une deuxième bombe qui vient d’être lâchée, avec les des enregistrements de hauts responsables espagnols incriminant directement le Maroc et la France. Des révélations qui divisent la classe politique espagnole.
Trois chercheurs ont défini caractéristiques sociales des djihadistes condamnés par la justice espagnole ou tués entre 2004 et 2018, et les processus de radicalisation par lesquels ils sont passés.