La rentrée scolaire, littéraire et politique secoue l’actualité de la France et du Maroc. Yabiladi Mag n°10 la passe en revue et met le doigt là où ça fait mal. La rentrée des classes en France ? L’immigration reste une anecdote dans les cours d’Histoire. Les prochaines élections législatives au Maroc ? Aucun compromis en vue entre les partis et le gouvernement. Le Parti Popular bientôt au
Le transfert d’Adel Taarabt sera immanquablement un des feuilletons du mercato estival en cours. A 22 ans, le meilleur joueur du Npower Championship la saison dernière ne manque pas de prétendants. On ne sait cependant toujours pas lequel décrochera sa signature.
«Les Mohamed», de Jérôme Ruillier paru cette année adapte sous forme de roman graphique les témoignages, parfois terribles, rarement plaintifs, recueillis par Yamina Benguigui dans son documentaire «Mémoires d’immigrés», diffusé en 1997. L’ouvrage aux dessins poétiques et doux fait revivre l'histoire d’hommes et de femmes venus du Maghreb en France après la seconde guerre mondiale.
L’analyse de fossiles a permis à des paléontologues de relever les traces d’un prédateur marin de plusieurs millions d’années. Selon une étude publiée ce mercredi, le spécimen en question serait plus grand et plus récent que ceux étudiés jusque-là. Il ressemblerait à une crevette géante.
Très populaire aux États-Unis, le baseball a fait un bref passage dans l’histoire sportive du Royaume. Introduit par les Américains, des militaires surtout, ce sport est intimement lié à l’histoire de leur présence au Maroc. S’il a aujourd’hui disparu des terrains, le baseball vit toujours dans la mémoire de ceux qui ont pu le pratiquer à l’époque.
Entendre parler de Fatéma Hal évoque immédiatement couscous aux calamars, tajine ou pastilla. L’ambassadrice de la cuisine marocaine dans le monde a écrit «Fille des frontières», paru chez Philippe Rey. Elle a choisi d'y parler d'elle-même plutôt que des épices.
Si au Maroc les actuels mouvements politiques réclamant une monarchie constitutionnelle restent sur un mode contestataire mais non révolutionnaire, l’histoire du Royaume chérifien est riche en soulèvements, émeutes ou tentatives de coups d’Etat. Pour comprendre le présent, il est intéressant de se replonger dans le passé. Pour se faire, nous avons interrogé Souleiman Bencheikh, Directeur de la rédaction de Zamane,
Taza est une ville au passé très riche. Sa position géographique en fit un passage obligé pour joindre l’est à l’ouest du Maroc. Cette «trouée» du Maroc d’antan s’est également illustrée par l’importance que lui ont accordée les différentes dynasties ayant fait valoir leur domination sur le Maroc.
Dans une chronique paru dans les colonnes de Today’s Zaman, Bülent Kenes peste contre la «démocratie de façade» qui prévaut dans les pays du Maghreb et du Moyen-Orient. Le Maroc est dans la ligne de mire du chroniqueur notamment dans un paragraphe où il est cité que «le Royaume aurait été dirigé comme une propriété personnelle par les trois derniers Rois». Suite à cet article,