En 1959, le Maroc a été témoin d'une des catastrophes sanitaires les plus tragiques, avec des centaines de personnes souffrant d'une paralysie. La crise a été gérée un an plus tard lorsque la source de la maladie invalidante a finalement été révélée.
Un militant liant son engagement intellectuel à une pratique quotidienne. C’est ce qu’incarne Omar Benjelloun, l’une des figures historiques les plus populaires de la gauche marocaine. Le 18 décembre 1975, deux membres de la Chabiba islamiya le tuent devant son domicile. Retour sur la vie d’un martyr qui continue d’exister, à travers les combats politiques qu’il a portés.
Dans la dixième partie de cette série consacrée à l’histoire de l’armée de libération marocaine, nous nous penchons sur la réaction du Protectorat après le début des opérations du 2 octobre 1955. Entre confusion et brutalité, les Français se rabattèrent sur les civils, incendiant maisons et biens au passage.
Durant plusieurs longues années, les livres d’histoire retraçant la conquête musulmane de l’Espagne ne s’intéressaient que peu aux origines des conquérants. Pourtant, les sept siècles de présence des musulmans en péninsule ibérique ont été précédés par des incursions des Amazighs de l’Afrique du Nord en provenance notamment du Maroc. De l’Antiquité
Dans ce neuvième volet de notre série consacrée à l’histoire de l’armée de libération marocaine, nous nous intéressons aux réactions des forces coloniales françaises après le lancement des opérations du 2 octobre 1955. A Gueznaya, des maisons furent incendiées, poussant les habitants de villages entiers à fuir vers les zones d’influence espagnole.
Dans leur déclin, les Fatimides, perdant du terrain, se sont retranchés du Maroc vers l’Egypte. La présence chiite dans le royaume s’est amenuisée, et les Almoravides ont pu établir leur Etat indépendant. Ces derniers avaient conquis une grande partie de l’Afrique du nord, de l’Andalousie et du Sahara. Les nouveaux leaders du pays sont parvenus à éradiquer le dernier émirat chiite au Maroc, connu sous
Dans le huitième épisode de cette série consacrée à l’histoire de l’armée de libération marocaine, nous revenons au lancement de la guerre de libération marocaine pour l’indépendance, le 2 octobre 1955 à une heure du matin. Nous revenons également sur les cibles de le bilan de cette offensive.
Le 14 décembre 1990, le Maroc a connu les affres d’une grève générale qui a fini en bain de sang. Fès n’y a pas échappé, enregistrant des centaines de morts et de blessés parmi les manifestants sur lesquels l’armée a tiré à balles réelles. Même les civils en retrait des rassemblements n’ont pas été épargnés. Dans un documentaire inédit,
En 1983, le Maroc se plie aux diktats des institutions financières internationales et lance le Programme d’ajustement structurel. Après sept ans d’austérité, les deux syndicats de l’USFP et l’Istiqlal (opposition) appellent à une grève générale. Le débrayage est réprimé dans le sang, notamment à Fès.
Dans cet épisode, nous aborderons les circonstances liées à l’opération menée le 2 octobre 1955 et les faits relatifs à la période ayant suivi les négociations à Aix-les-Bains entre les autorités coloniales françaises et les partis marocains. Nous aborderons aussi la tentative de la France d’entraver le lancement de l’armée de libération marocaine.