«Les mille et un jours du Hajj Edmond» est le documentaire que la réalisatrice franco-marocaine Simone Bitton a dévoilé en avant-première mondiale, à l’occasion du 21e Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024). Plus qu’un hommage posthume à l’écrivain Edmond Amran Elmaleh, la documentariste a proposé le récit de vie d’un intellectuel encore peu connu à sa juste valeur à
Le réalisateur franco-marocain Saïd Hamich Benlarbi est à son deuxième opus cinématographique. Dimanche, «La mer au loin» (Across the sea) a été montré au Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024), où il fait partie des 14 longs-métrages en compétition.
Confronté à la colonisation française de l’Algérie en 1830, l’émir Abdelkader bénéficia d’un fort soutient de la part du Maroc, à tel point qu’il se considéra ouvertement sous la tutelle du sultan alaouite. C’est ce qui ressort d’une correspondance adressée à Moulay Abderrahman en octobre 1838.
En plus de 40 ans, Sean Penn a crevé l’écran. C’est cette carrière cinématographique universelle, alliant expression artistique et réflexion sur le monde, qui a été récompensée au 21e Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024). Samedi soir, «l’enfant terrible d’Hollywood» a exprimé un remerciement particulier «aux 37 millions de marocains» pour l’accueil
Dans les plaines de Doukkala-Abda, une femme du XIXe siècle qui chantait des textes politiques, se distingua par sa voix puissante. Dans sa aïta, Kharboucha dénonça autant la tyrannie du pouvoir colonial français que celle du caïd Aissa Ben Omar, qui mit fin à sa vie dans des circonstances tragiques.
La 21e édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM 2024) s’est ouverte, vendredi soir, avec la présentation du jury présidé cette année par le réalisateur italien Luca Guadagnino. De retour à cet événement dont il est un habitué depuis 2011, le réalisateur australien Justin Kurzel a présenté son long-métrage «The Order», ancré dans les thématiques
Subh est considérée par les chercheurs comme la femme la plus puissante de l’histoire politique d’Al-Andalus, à la fin du Xe siècle. A l’apogée du Califat omeyyade, elle a même été reine de facto de Cordoue, au moment où peu de femmes accédaient officiellement à la gestion publique.
Célébrée par l’ONU le 29 novembre, la Journée mondiale de soutien au peuple palestinien rappelle à des militants marocains des initiatives auxquelles ils ont pris part pour venir en aide directe aux résistants de l’OLP, dans les années 1970. Deux parmi eux témoignent de la dynamique politique et culturelle suscitée par cette mobilisation.
Alors que les califes ont gouverné Al-Andalus de 711 à 1492, la Sicile, elle, a vécu le passage des Aghlabides puis des Fatimides de 831 à 1071. Son histoire traduit les différentes luttes de pouvoir entre les dynasties du pourtour méditerranéen, qui ont laissé une empreinte particulière dans l’île, autant culturellement qu’à travers l’architecture.
En 1934, l’ethnologue française Odette du Puigaudeau a posé pied au Maroc pour y vivre jusqu’à sa mort, le 19 juillet 1991. Elle a sillonné toute la région saharienne, documentant ainsi la civilisation nomade avant son déclin. Portrait.