A l'occasion de la sortie du film Marock dans les salles de cinéma au Maroc, nous publions une interview audio que nous avons réalisée il y a quelques semaines à l'occasion des Journées de la Jeunesse Marocaine à l'Institut du Monde Arabe.
Lorsque le bon sens ne suffit pas, alors dire sa réprobation devient une nécessité et un acte citoyen. A l’approche de chaque échéance électorale en France la question de l’immigration s’invite et s’installe avec le lot habituel de mauvaise foi et autres instrumentalisations. Elle devient le lieu commun pour déverser ce qu’il y a de vil ou d’abject : le rejet, l’égoïsme et la xénophobie.
Le Maroc change visiblement de politique pour la résolution du dossier du Sahara. Cela est perceptible à travers diverses actions menées tout récemment par le pays. Parmi elles figurent la visite royale au Sahara en mars, la constitution du Conseil Royal Consultatif pour les Affaires du Sahara (CORCAS)… Aujourd’hui, ce sont ces 48 prisonniers qu’on décide de libérer.
Le président du CORCAS vient d'envoyer une lettre aux différentes associations de sahraouis proches du Polisario afin de renouer le contact.
Pour la première fois dans l´histoire, un voyage au Maroc fut organisé pour un groupe d’autrichiens et d’autrichiennes, descendants des soldats marocains et français qui ont participé à la libération de la France, de l´Allemagne et de l´Autriche lors de l´occupation nazie pendant la seconde guerre mondiale.
Législatives 2007 : Le Parti de la Justice et du Développement (PJD) crédité de 47% des votes par un institut Américain
Des chiffres et des êtres... La pauvreté a été comptabilisée et la misère mise sur papier. Ce qu'on voyait tous les jours, presque partout, un rapport nous l'a rappelé...merci...ça a pris 50 ans...faut croire qu'ils ont pris leur temps. C'était donc si difficile que ça? D'écrire les petits vieux vendant trois pommes de terre par terre dans des médinas aux murs en ruine, les femmes gardiennes de voitures et vendeuses de cigarettes au détail, les enfants rejetés, adoptés par la
TelQuel et le Journal Hebdomadaire ont tous deux eu la bonne idée de nous présenter les bonnes feuilles de «Voisins Distants», d’Ignacio Cembrero. Même ouvrage, même dossier, même intérêt ; deux approches totalement différentes…Comparons.
«Après le Tuquoi, le Cembrero» ! L’ère est aux révélations, aux infos croustillantes et aux surprises souvent mauvaises. Depuis quelques années déjà, le Maroc est la cible- ou pourquoi pas la muse- d’auteurs qui en brossent des portraits peu flatteurs, mais hélas souvent teintés de vérité…
« Chez nous, il n’y a jamais eu de sida, ou si peu de cas que ça ne mériterait même pas un sujet de conversation. Chez nous, et jusqu’à il y a quelques années, les accidents de la route, les incendies mortels, les inondations et les catastrophes naturelles, on ne connaissait pas, et lorsque la télé en parlait, c’était pour nous montrer des images venues d’ailleurs. Chez nous, la vache folle, le mouton psychotique, le poulpe parano, la sardine énervée et la poule enrhumée,