De plus en plus de jeunes marocains scolarisés à la mission française éprouvent des difficultés au niveau de la maîtrise de la langue arabe. Déplorant la qualité de l’enseignement de cette langue, les parents d’élèves montent au créneau ces dernières années et réclament un meilleur enseignement de l’arabe pour que leurs enfants aient des bases solides, les lacunes s’avérant souvent préjudiciables quand ils doivent travailler au Maroc après leurs études.