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Ah ce WikiLeaks des vérités criardes sur Bouteflika
a
6 décembre 2010 23:46
Si j'étais à la place de l'egypte, j'aurais agi de même envers ghaza dit Bouteflika

[www.oujdacity.net]
Pour défendre une femme , il faut commencer par la respecter Etre tolérant , c'est faire un TOLLE A L'ERRANCE
A
8 décembre 2010 21:08
Donner la parole à quelqu'un qui ne sait même pas d'où il vient lui même, et quelles études avait-il-fait, est une perte de temps!
On ne discute jamais avec des ignorants, sur la politique internationale, ils sont trop cons destructeurs et dangereux.
r
8 décembre 2010 22:24
07/12/2010 18:30
24 Ore n°227



D’encombrants bacs à sable


Alger tournerait-elle le dos au Sahara occidental ? C’est en tout cas ce que révèlerait un câble révélé par le site WikiLeaks (dont le porte-parole a été arrêté hier, voir par ailleurs). Dans une de ses notes, Robert Ford, ex-ambassadeur américain en Algérie, ferait état de demandes du président Abdelaziz Bouteflika pour trouver une solution au problème saharaoui, et surtout une porte de sortie qui lui sauverait la face.
Si ce scénario se confirmait, le Front Polisario perdrait ainsi son allié historique, qui a toujours considéré la question saharaouie comme relevant de la décolonisation légitime. A croire qu'il ne leur reste plus que Javier Bardem sur qui compter – l'acteur est un fervent militant de l'indépendance du Sahara occidental.

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9 décembre 2010 10:24
Moi je trouve ca franc, tout les gouvernements faibles et corrompus agissent de la même maniére...
r
9 décembre 2010 15:46
Bouteflika ruine l’Algérie pour amoindrir le Maroc
Rédigé par JSS le Jan 11th, 2010 and filed under Monde islamique, Orient. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse ou un trackback à cet article

Après plusieurs semaines de léthargie, Abdelaziz Bouteflika est parti en Espagne mettre encore plus à mal le statut géopolitique et les intérêts de l’Algérie pour satisfaire son ego personnel. Vestige encore vivant de la politique de guerre froide, Bouteflika continue de ligoter la diplomatie algérienne à sa phobie de la monarchie marocaine.



Un petit sourire pour la photo? Non !
Dans la déclaration commune des travaux de Madrid du 7 janvier, on ne retient dans le verbiage diplomatique qu’un seul marchandage. Le bradage du gaz algérien contre une simple promesse de soutenir «le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui».

Pour arracher cette déclaration de principe qui ne coûte rien à Zapatero, Bouteflika a posé sur la table des négociations le gazoduc sous-marin Medgaz classé par l’Espagne comme projet prioritaire. Alors que les travaux sont pratiquement achevés, la mise en service du projet reste tributaire de deux dossiers lourds: le prix du gaz et la part qui revient à Sonatrach dans la commercialisation en Espagne et en Europe des 8 à 16 milliards de m3/an qui transiteront à terme par ce gazoduc. (1)

Même le lourd contentieux de Gassi Touil, qui coûte à l’Algérie un retard considérable, a été pardonné et balayé d’un revers de main. On rappelle que ce mégaprojet gazier intégré GNL, initialement confié aux firmes espagnoles Repsol et Gaz Natural, avait été saboté. Les espagnols voulaient retarder sa réalisation tant que le gazoduc Medgaz ne serait pas opérationnel et les contrats de livraison sécurisés.

On ne sait toujours pas quelle est la part du gaz dans les recettes d’exportation d’hydrocarbures. L’indexation de son prix sur celui du pétrole cause à l’Algérie des fluctuations perturbantes et des pertes énormes que personne n’a pu chiffrer, en raison de l’opacité de gestion de Sonatrach, le secret des contrats commerciaux et l’absence totale de débat sur ce sujet sensible. Bouteflika et son ministre de l’énergie Chakib Khellil ont même contrarié la proposition russo-iranienne de créer une OPEP du gaz pour définir et défendre une stratégie de prix. (2)

José Luis Rodriguez Zapatero, qui entame son semestre à la présidence de l’UE, est placé en première ligne pour négocier au mieux les intérêts gaziers de l’Europe. Il est donc prêt à signer des deux mains n’importe quelle déclaration que lui demandera Bouteflika, même sur l’autodétermination des aborigènes d’Australie ou des pingouins de l’Antarctique.

Comme le cadeau gazier ne suffit pas, la déclaration de principe relève que «l’Espagne est devenue l’un des investisseur de référence en Algérie et souhaite stimuler davantage les investissements espagnols dans des secteurs moteurs de développement en Algérie». Bouteflika souhaite que «les entreprises espagnoles participent et s’impliquent dans le vaste programme national algérien d’équipements publics 2010-2014», c’est-à-dire jusqu’à la fin de son mandat. Le peu d’hommes politiques et de parlementaires conscients en Algérie se doivent de dénoncer le bradage du gaz et des intérêts algériens dans une opacité totale, et remettre en cause ce que cache cette déclaration de Madrid.

En fait, Bouteflika n’a qu’une seule obsession: que l’ex-colonisateur espagnol et voisin maghrébin l’accompagne dans le combat de sa vie contre son pays natal pour que le Maroc continue à souffrir.

Il est tellement honteux de son origine marocaine qu’il a effacé son lieu de naissance, Oujda, qui était auparavant mentionné dans sa biographie sur le site de la présidence algérienne (www.elmouradia.dz).

Il a lié la politique énergétique de l’Algérie au destin de quelques enturbannés d’un Polisario fantôme présidé depuis 33 ans par un marocain, et dont la plupart des membres fondateurs ont réintégré le royaume.
 
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