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Votons François Hollande
25 avril 2012 13:43
Amar el Soussi, ouch, ca fait mal venant de toi... Euh non attends, laisse moi vérifier... Tu es qui déjà? Personne... Ah ben je m'en moque dans ce cas ouf... J'ai eu peur...

coldman, j'ai dis "anarchiste" pas "anarch" ou peut importe le groupe qui porte ce nom... J'ai pas besoin de l'idéologie d'un autre pour trouver ma voie.

On peut inventer des groupes et récupérer des noms et des concepts...

Par exemple, si je croise un Musulman dans un bar... Je peux lui retirer ton "label" et en faire un autre... De toute maniére, il le porte trés mal. Tu comprends?

Bref...

Je pige pas, pour moi Hollande est le ptit gros super lourd et rigolo dans les Guignols de l'Info... Un "je fais plaisir à tout le monde, je parle pour rien dire." sympa certes... Mais je me vois pas lui dire "Je vous suivrais jusqu'aux portes de l'enfer et au delà..."

Non... Lui, je le suivrais dans un cours de cuisine. Le laisse me proposer une pizza dans un resto chic... Me préparer une omelette aux fines herbes... Avec plaisir quoi...

Mais ce n'est pas guérillero qui va tenir tête au monde de la finance... Même moi j'oserais pas me lancer dans un tel délire sous prétexte que deux ou trois ahuris ont glissé un papier dans une boite en verre sous avec mon nom dessus... F***!!!

Il faut être sérieux deux minutes...

Pourquoi on ne dit pas clairement "Hollande est sympa, mais pas assez bon pour le reste. Mais il est mieux que Sarko. Que le moins minable gagne."

Et je le trouve sympa ce mec... Mais de là à gober tout ce qu'on nous dit... Non...

Soyez juste honnêtes.
A
25 avril 2012 16:22
Citation
ma-casablanca a écrit:
Tu sais Amar ce qui me fais peur c'est la question sur l'immigration, Sarko a ressorti son discours "stop à l'immigration" et donc les partisans de Marine risquent de voter pour Sarko

Sarko et Marine Le Pen devraient déjà dire la vérité aux français. Car si la France veut se passer de l'immigration, quelle commence par retirer ses enfants des facs et les envoyer dans le bâtiment par exemple^^

Le cas de la Corse et un exemple, endroit où la vie de tous les jours est très difficile aux français et immigrés d'origines africaines, mais ou la relève dans le bâtiment ne se fait pas sans l'apport de main-d’œuvre étrangère:

En effet, pour assurer son fonctionnement, la construction a souvent recours à de la main-d'oeuvre étrangère. Les salariés nés à l'étranger occupent ainsi 27 % de l'ensemble des postes en Corse, contre 13 % sur le continent. Quasiment absents de l'encadrement, ils représentent 40 % des postes d'ouvriers qualifiés ou non du gros oeuvre du bâtiment. L'emploi de main-d'oeuvre étrangère est fréquent chez les jeunes : 28 % des professionnels du bâtiment de moins de 35 ans sont nés à l'étranger. Les phénomènes migratoires sont donc un élément à prendre en compte pour assurer le renouvellement de la main-d'oeuvre.

[www.insee.fr]

Je parle à l'intention des électeurs front national de Corse*

Témoignage du dur métier des ouvriers du BT:

De la même façon que pour toute action humaine, exercer un « boulot alimentaire » engage son auteur dans son entier. S’en abstraire totalement une fois la journée terminée est impossible. La fatigue physique et la lassitude demeurent, bien sûr, mais elles s’accompagnent d’autres formes de tensions plus inattendues, qui créent à la longue un état mental bien spécifique. Le cas du manoeuvre est exemplaire à ce titre. Sur un chantier de construction règne un vacarme perpétuel, où s’entrechoquent les percussions de marteaux-piqueurs, de perceuses et le grondement des bétonnières. L’environnement est stressant, agressif. La poussière recouvre tout. Les odeurs sont rarement agréables : le goudron le dispute à la peinture, aux effluves de métal cisaillé ou au néoprène. Et plutôt que d’avoir à descendre et remonter cinq étages, certains préfèrent de loin uriner dans la pièce d’à-côté : « Bah ! c’est pas chez nous. » Le soir, les ouvriers quittent le chantier les mains poisseuses et écorchées, couverts de sciure ou de plâtre. Ils crachent noir.

Les métiers du bâtiment emploient toujours beaucoup de main-d’oeuvre étrangère pauvre. Un immeuble en construction à Paris s’apparente à une véritable tour de Babel. On y parle malien, arabe, arménien, yougoslave et un français petit-nègre... qui finit par déteindre sur les autochtones. À force de travailler avec des Polonais qui ne s’expriment qu’à l’infinitif, il en est qui prennent le pli, sans même s’en rendre compte : « Tu donner moi marteau ? » Ça vient tout seul, c’est plus simple. Le BTP, c’est aussi le règne de l’anonymat. Surtout chez les manoeuvres, parfaitement interchangeables. Les entreprises variant d’un chantier à l’autre, il est difficile de retenir le nom de ceux qui les composent et que l’on côtoie pourtant chaque jour, sauf au cas où les travaux s’éternisent... Les métiers font donc office de vocatif pour les travailleurs : « Oh, plombier, t’en as encore pour longtemps ? » Cette dépersonnalisation généralisée n’est toutefois pas parvenue à faire disparaître la fierté du travailleur qualifié. Fierté d’appartenir à un corps, de détenir un savoir-faire. Il reste malgré tout quelque chose de l’orgueil de l’artisan qui résiste à la spécialisation et à la standardisation du travail.

La sociologie des métiers du bâtiment est édifiante. En gros, les ouvriers sont immigrés, et tous les postes de direction occupés par des Français hautains. La maçonnerie n’est plus l’apanage des Portugais, qui se sont diversifiés dans la plomberie, plus lucrative. Signe que leur sort s’est amélioré. C’est le Maghreb qui fournit désormais le plus gros de son contingent. Les ressortissants des pays de l’Est (Pologne, ex-Yougoslavie) sont nombreux chez les plaquistes et les couvreurs. Les rares corps de métier encore constitués d’une majorité de Français sont ceux à forte valeur ajoutée, comme la vitrerie ou l’électricité, ou les moins pénibles, comme la peinture. Les Africains, eux, se coltinent les tâches les plus abrutissantes : démolition et déblayage. Le fait est d’ailleurs communément admis : le travail le plus ingrat, c’est pour les Noirs. Une fois où l’on s’apprêtait à débarrasser des gravats, notre chef d’équipe nous a retenus : « Laissez ça, c’est pas à nous. Les Négros vont le faire. » Ambiance.

L’organisation même d’un chantier, très éclatée, ne favorise ni la conscience de classe ni la représentation syndicale, totalement inexistante. Les conditions de travail ne sont que très rarement abordées entre ouvriers. Ils s’accoutument. C’est qu’au contact permanent de la saleté et des intempéries, à force de se cogner à l’échafaudage, de se couper, le souci de soi s’estompe. On se contente de déjeuner sur le pouce en une demi-heure : une salade ou un sandwich. Éternel paradoxe de la pyramide : ceux qui ont les besoins énergétiques les plus importants sont aussi ceux qui mangent le moins. Tant pis ; l’essentiel c’est de bosser. Le reste attendra. Un jour où l’un de nos congénères, s’émouvant du poids d’un rouleau de cuivre qu’il nous fallait transporter, cherchait des solutions techniques pour alléger notre peine, notre chef d’équipe mit abruptement fin à ses réflexions : « Chantier : pas penser ! Toi prendre rouleau avec moi à la main. » Trois jours auparavant, le même chef était encore terrassé par un mal de dos insoutenable qui l’a littéralement cloué au sol pendant vingt minutes.

Un manoeuvre n’est pas embauché pour ses compétences, mais pour ses bras. La différence avec les ouvriers qualifiés est parfaitement perceptible sur la fiche de paie : c’est pour cela qu’il est rémunéré au SMIC strict (5,90 euros net de l’heure). Et c’est aussi la raison pour laquelle son horizon est plutôt bouché. Il est certes concevable de grimper les échelons d’une entreprise en apprenant les métiers sur le tas, mais le terrain ne remplacera jamais la théorie. L’inéluctable s’attache au pas du manoeuvre et favorise « l’aquoibonisme ». Travailler uniquement pour assurer sa subsistance, et jamais par goût, n’est pas très enthousiasmant. Et puis, pour quelle raison s’appliquer à réaliser quelque chose qui ne s’attire pas une once de reconnaissance ? Le manoeuvre n’est jamais félicité pour un travail bien fait, puisqu’il n’effectue que des travaux de force ou des tâches qui ne réclament au mieux qu’un peu d’attention. En revanche, il essuie toujours la réprimande pour une erreur. L’échec et l’approximation sont tolérés (ils passent par pertes et profits), mais systématiquement conspués.

Le travail pénible est évidemment harassant. Après une journée passée à transbahuter des bottes de 50 kg de voliges de 4 mètres ou à percer du béton ventilé, le manoeuvre n’aspire qu’à s’écrouler sur son canapé. La fatigue physique enveloppe tout l’être. Le corps ne veut plus faire d’efforts ? Eh bien, l’esprit non plus. Trop liés. Le désir le plus impérieux au sortir d’une journée de labeur n’est pas de sortir ni de voir des amis, encore moins de se cultiver. Le premier réflexe consiste plutôt à allumer la télé, à s’affaler devant et à attendre que le réveil retentisse le lendemain pour reprendre le collier. Les rencontres sont plus difficiles, les joies se raréfient. Gregor le constate : « Tous les soirs, je me couche vers 21 h 30, sinon, c’est impossible de tenir. » Sachant qu’il rentre chez lui vers 18 h 30, que lui reste-t-il comme temps personnel loisible ?

[L’économie psychique engendrée par un travail pénible s’apparente à un cercle vicieux. Si l’on n’y prête attention, une idée insidieuse fait progressivement son chemin : « Mais si je fais ce boulot de merde, c’est que je ne vaux pas grand-chose non plus, au fond. » Un emploi peu valorisant conduit inévitablement à la dépréciation de soi : on n’est jamais que ce qu’on fait. Le doute, la docilité et le fatalisme s’installent. La fréquence des comportements de fuite de soi augmente subrepticement. Si les « vices » raccourcissent la durée de vie, ils ont au moins le mérite de l’adoucir en agissant comme un baume sur une réalité trop rugueuse. La consommation des petites drogues s’accroît insensiblement : une cigarette, ça fait toujours du bien quand on est crevé ou qu’on a « taffé » durement. Et puis, ça permet de souffler. De même, un petit verre requinque, et un joint détend. « Moi, ce week-end, j’ai bu quinze litres de vin ! » raconte Gregor le lundi matin. Quand il réussit à venir ce jour-là. Le recours à ces viatiques est à ce point décomplexé qu’il est naturel. À vingt-quatre ans, Ben boit une bouteille de rouge tous les midis. L’ouvrier se sent parfaitement légitime, et même dans son droit vis-à-vis de ce genre d’habitude. La dureté de son travail fait qu’il a bien mérité ces petits extras et qu’il n’a aucune leçon à recevoir.

[1libertaire.free.fr]

Les FN râlent contre l'immigration, mais eux comme les autres souhaitent et encouragent leurs enfants à poursuivre des études......
"Pas de guerre entre les races, pas de paix entre les classes" !
m
25 avril 2012 16:56
Salam tout le monde

je suis passée vite fait trop de boulot aujourd'hui

mais je repasserai ce soir inchallah pour vous répondre

merci pour vos commentaires et soutiens Welcome

à ce soir inchallah Bye
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
c
25 avril 2012 17:46
Salam,

bravo macasa pour ton combat combat pour la gauche et contre les c.ons.!!
m
25 avril 2012 20:39
Citation
Amar el Soussi a écrit:
Citation
ma-casablanca a écrit:
Tu sais Amar ce qui me fais peur c'est la question sur l'immigration, Sarko a ressorti son discours "stop à l'immigration" et donc les partisans de Marine risquent de voter pour Sarko

Sarko et Marine Le Pen devraient déjà dire la vérité aux français. Car si la France veut se passer de l'immigration, quelle commence par retirer ses enfants des facs et les envoyer dans le bâtiment par exemple^^

Le cas de la Corse et un exemple, endroit où la vie de tous les jours est très difficile aux français et immigrés d'origines africaines, mais ou la relève dans le bâtiment ne se fait pas sans l'apport de main-d’œuvre étrangère:

En effet, pour assurer son fonctionnement, la construction a souvent recours à de la main-d'oeuvre étrangère. Les salariés nés à l'étranger occupent ainsi 27 % de l'ensemble des postes en Corse, contre 13 % sur le continent. Quasiment absents de l'encadrement, ils représentent 40 % des postes d'ouvriers qualifiés ou non du gros oeuvre du bâtiment. L'emploi de main-d'oeuvre étrangère est fréquent chez les jeunes : 28 % des professionnels du bâtiment de moins de 35 ans sont nés à l'étranger. Les phénomènes migratoires sont donc un élément à prendre en compte pour assurer le renouvellement de la main-d'oeuvre.

[www.insee.fr]

Je parle à l'intention des électeurs front national de Corse*

Témoignage du dur métier des ouvriers du BT:

De la même façon que pour toute action humaine, exercer un « boulot alimentaire » engage son auteur dans son entier. S’en abstraire totalement une fois la journée terminée est impossible. La fatigue physique et la lassitude demeurent, bien sûr, mais elles s’accompagnent d’autres formes de tensions plus inattendues, qui créent à la longue un état mental bien spécifique. Le cas du manoeuvre est exemplaire à ce titre. Sur un chantier de construction règne un vacarme perpétuel, où s’entrechoquent les percussions de marteaux-piqueurs, de perceuses et le grondement des bétonnières. L’environnement est stressant, agressif. La poussière recouvre tout. Les odeurs sont rarement agréables : le goudron le dispute à la peinture, aux effluves de métal cisaillé ou au néoprène. Et plutôt que d’avoir à descendre et remonter cinq étages, certains préfèrent de loin uriner dans la pièce d’à-côté : « Bah ! c’est pas chez nous. » Le soir, les ouvriers quittent le chantier les mains poisseuses et écorchées, couverts de sciure ou de plâtre. Ils crachent noir.

Les métiers du bâtiment emploient toujours beaucoup de main-d’oeuvre étrangère pauvre. Un immeuble en construction à Paris s’apparente à une véritable tour de Babel. On y parle malien, arabe, arménien, yougoslave et un français petit-nègre... qui finit par déteindre sur les autochtones. À force de travailler avec des Polonais qui ne s’expriment qu’à l’infinitif, il en est qui prennent le pli, sans même s’en rendre compte : « Tu donner moi marteau ? » Ça vient tout seul, c’est plus simple. Le BTP, c’est aussi le règne de l’anonymat. Surtout chez les manoeuvres, parfaitement interchangeables. Les entreprises variant d’un chantier à l’autre, il est difficile de retenir le nom de ceux qui les composent et que l’on côtoie pourtant chaque jour, sauf au cas où les travaux s’éternisent... Les métiers font donc office de vocatif pour les travailleurs : « Oh, plombier, t’en as encore pour longtemps ? » Cette dépersonnalisation généralisée n’est toutefois pas parvenue à faire disparaître la fierté du travailleur qualifié. Fierté d’appartenir à un corps, de détenir un savoir-faire. Il reste malgré tout quelque chose de l’orgueil de l’artisan qui résiste à la spécialisation et à la standardisation du travail.

La sociologie des métiers du bâtiment est édifiante. En gros, les ouvriers sont immigrés, et tous les postes de direction occupés par des Français hautains. La maçonnerie n’est plus l’apanage des Portugais, qui se sont diversifiés dans la plomberie, plus lucrative. Signe que leur sort s’est amélioré. C’est le Maghreb qui fournit désormais le plus gros de son contingent. Les ressortissants des pays de l’Est (Pologne, ex-Yougoslavie) sont nombreux chez les plaquistes et les couvreurs. Les rares corps de métier encore constitués d’une majorité de Français sont ceux à forte valeur ajoutée, comme la vitrerie ou l’électricité, ou les moins pénibles, comme la peinture. Les Africains, eux, se coltinent les tâches les plus abrutissantes : démolition et déblayage. Le fait est d’ailleurs communément admis : le travail le plus ingrat, c’est pour les Noirs. Une fois où l’on s’apprêtait à débarrasser des gravats, notre chef d’équipe nous a retenus : « Laissez ça, c’est pas à nous. Les N-égros vont le faire. » Ambiance.

L’organisation même d’un chantier, très éclatée, ne favorise ni la conscience de classe ni la représentation syndicale, totalement inexistante. Les conditions de travail ne sont que très rarement abordées entre ouvriers. Ils s’accoutument. C’est qu’au contact permanent de la saleté et des intempéries, à force de se cogner à l’échafaudage, de se couper, le souci de soi s’estompe. On se contente de déjeuner sur le pouce en une demi-heure : une salade ou un sandwich. Éternel paradoxe de la pyramide : ceux qui ont les besoins énergétiques les plus importants sont aussi ceux qui mangent le moins. Tant pis ; l’essentiel c’est de bosser. Le reste attendra. Un jour où l’un de nos congénères, s’émouvant du poids d’un rouleau de cuivre qu’il nous fallait transporter, cherchait des solutions techniques pour alléger notre peine, notre chef d’équipe mit abruptement fin à ses réflexions : « Chantier : pas penser ! Toi prendre rouleau avec moi à la main. » Trois jours auparavant, le même chef était encore terrassé par un mal de dos insoutenable qui l’a littéralement cloué au sol pendant vingt minutes.

Un manoeuvre n’est pas embauché pour ses compétences, mais pour ses bras. La différence avec les ouvriers qualifiés est parfaitement perceptible sur la fiche de paie : c’est pour cela qu’il est rémunéré au SMIC strict (5,90 euros net de l’heure). Et c’est aussi la raison pour laquelle son horizon est plutôt bouché. Il est certes concevable de grimper les échelons d’une entreprise en apprenant les métiers sur le tas, mais le terrain ne remplacera jamais la théorie. L’inéluctable s’attache au pas du manoeuvre et favorise « l’aquoibonisme ». Travailler uniquement pour assurer sa subsistance, et jamais par goût, n’est pas très enthousiasmant. Et puis, pour quelle raison s’appliquer à réaliser quelque chose qui ne s’attire pas une once de reconnaissance ? Le manoeuvre n’est jamais félicité pour un travail bien fait, puisqu’il n’effectue que des travaux de force ou des tâches qui ne réclament au mieux qu’un peu d’attention. En revanche, il essuie toujours la réprimande pour une erreur. L’échec et l’approximation sont tolérés (ils passent par pertes et profits), mais systématiquement conspués.

Le travail pénible est évidemment harassant. Après une journée passée à transbahuter des bottes de 50 kg de voliges de 4 mètres ou à percer du béton ventilé, le manoeuvre n’aspire qu’à s’écrouler sur son canapé. La fatigue physique enveloppe tout l’être. Le corps ne veut plus faire d’efforts ? Eh bien, l’esprit non plus. Trop liés. Le désir le plus impérieux au sortir d’une journée de labeur n’est pas de sortir ni de voir des amis, encore moins de se cultiver. Le premier réflexe consiste plutôt à allumer la télé, à s’affaler devant et à attendre que le réveil retentisse le lendemain pour reprendre le collier. Les rencontres sont plus difficiles, les joies se raréfient. Gregor le constate : « Tous les soirs, je me couche vers 21 h 30, sinon, c’est impossible de tenir. » Sachant qu’il rentre chez lui vers 18 h 30, que lui reste-t-il comme temps personnel loisible ?

[L’économie psychique engendrée par un travail pénible s’apparente à un cercle vicieux. Si l’on n’y prête attention, une idée insidieuse fait progressivement son chemin : « Mais si je fais ce boulot de merde, c’est que je ne vaux pas grand-chose non plus, au fond. » Un emploi peu valorisant conduit inévitablement à la dépréciation de soi : on n’est jamais que ce qu’on fait. Le doute, la docilité et le fatalisme s’installent. La fréquence des comportements de fuite de soi augmente subrepticement. Si les « vices » raccourcissent la durée de vie, ils ont au moins le mérite de l’adoucir en agissant comme un baume sur une réalité trop rugueuse. La consommation des petites drogues s’accroît insensiblement : une cigarette, ça fait toujours du bien quand on est crevé ou qu’on a « taffé » durement. Et puis, ça permet de souffler. De même, un petit verre requinque, et un joint détend. « Moi, ce week-end, j’ai bu quinze litres de vin ! » raconte Gregor le lundi matin. Quand il réussit à venir ce jour-là. Le recours à ces viatiques est à ce point décomplexé qu’il est naturel. À vingt-quatre ans, Ben boit une bouteille de rouge tous les midis. L’ouvrier se sent parfaitement légitime, et même dans son droit vis-à-vis de ce genre d’habitude. La dureté de son travail fait qu’il a bien mérité ces petits extras et qu’il n’a aucune leçon à recevoir.

[1libertaire.free.fr]

Les FN râlent contre l'immigration, mais eux comme les autres souhaitent et encouragent leurs enfants à poursuivre des études......


Salam,


Waouw Amar, certains passages m’ont touchés sad smiley la fatigue quotidienne, la souffrance, le travail pénible, la routine pour ces pauvres…. la vie non rose..., oui tu as raison la France montre ce qui l’arrange, mais parler d'un corps de métier comme ce que tu viens de nous le montrer non elle ne va pas le faire, oui elle fait appel aux immigrés pour ces boulots, ben qu'elle trouve des français pour le faire et on en parlera après et entre nous on sait très bien qu'elle peut toujours attendre....

cette France-Droite contradictoire qui parle de stopper l’immigration mais qui continue à faire appel à ces immigrés pour ces boulots, elle devrait avoir honte pour ces proposes, et c'est la raison aussi pour laquelle les gens ceux qui sont encore aveuglés pour cette droite doivent se réveiller et lui dire stop, il faut passer à autre chose

les claques et les mauvaises surprises ça va un moment mais quand ça dure longtemps ça tape sur le système Ill
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
m
25 avril 2012 20:55
Citation
LeMask a écrit:
Je ne suis pas français, je ne vote pas...

Mais même au Maroc, je ne vote pas.

Citation
LeMask a écrit:

Mais il fallait voter Le Pen.

Coulons le systéme... Coulons le Titanic...

Il faut voter Sarko... Pour enterrer la France et ses 20% de rigolos et 60% de rigolos...


Salam,

qu'est ce qui t'arrive ? tu ne votes pas et la, tu pousses les gens vers l’enfer !!! wallah t'es pas sérieux on sait ce qu'on fait et ne t’inquiètes pas pour nous, si tu n'as pas cette possibilité pour t'exprimer, ben soit raisonnable et encourage les autres, mais tenir un tel discours non merci !!!
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
m
25 avril 2012 21:00
Citation
Lee Mouna a écrit:
Salam,

bravo macasa pour ton combat combat pour la gauche et contre les c.ons.!!


Salam,

merci ma soeur on va y arriver tous ensemble inchallah smiling smiley

ça fait plaisir aussi vos soutiens, on lâche rien
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
c
26 avril 2012 11:29
Citation
ma-casablanca a écrit:
Citation
LeMask a écrit:
Je ne suis pas français, je ne vote pas...

Mais même au Maroc, je ne vote pas.

Citation
LeMask a écrit:

Mais il fallait voter Le Pen.

Coulons le systéme... Coulons le Titanic...

Il faut voter Sarko... Pour enterrer la France et ses 20% de rigolos et 60% de rigolos...


Salam,

qu'est ce qui t'arrive ? tu ne votes pas et la, tu pousses les gens vers l’enfer !!! wallah t'es pas sérieux on sait ce qu'on fait et ne t’inquiètes pas pour nous, si tu n'as pas cette possibilité pour t'exprimer, ben soit raisonnable et encourage les autres, mais tenir un tel discours non merci !!!


Après avoir bénéficié des droits acquis grâce à la gauche il pousse les autres à voter de la crotte !.


macasa en effet faut rien lâcher apparemment !

Porte par porte ....
m
26 avril 2012 13:47
Citation
Lee Mouna a écrit:
Citation
ma-casablanca a écrit:
Citation
LeMask a écrit:
Je ne suis pas français, je ne vote pas...

Mais même au Maroc, je ne vote pas.

Citation
LeMask a écrit:

Mais il fallait voter Le Pen.

Coulons le systéme... Coulons le Titanic...

Il faut voter Sarko... Pour enterrer la France et ses 20% de rigolos et 60% de rigolos...


Salam,

qu'est ce qui t'arrive ? tu ne votes pas et la, tu pousses les gens vers l’enfer !!! wallah t'es pas sérieux on sait ce qu'on fait et ne t’inquiètes pas pour nous, si tu n'as pas cette possibilité pour t'exprimer, ben soit raisonnable et encourage les autres, mais tenir un tel discours non merci !!!


Après avoir bénéficié des droits acquis grâce à la gauche il pousse les autres à voter de la crotte !.


macasa en effet faut rien lâcher apparemment !

Porte par porte ....

Salam Mouna

lol wallah parfois je ne comprends pas les gens, non seulement il ne vote pas mais en plus il pousse les gens d'aller droit dans le mur

justement en parlant de porte à porte, ce matin j'ai lu dans un journal un article où on parlait d'une jeune militante PS elle a 21 ans très engagée avec d’autres jeunes de son mouvement MJS ( mouvement des Jeunes Socialistes) à investir le terrain notamment pour toucher les lycéens et les étudiants, convaincre une partie de l’électorat FN, celle qui a voté par déception par rapport à Sarkozy, et aussi ils font des porte à porte, bravo à ces jeunes thumbs up
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
k
26 avril 2012 14:06
Salam Casa,
Je t'écris du boulot pour t'encourager, il ne faut pas tenir compte des commentaires de certains, à croire
qu'ils veulent aggraver notre situation ici.. tu as vu le post où une personne s'interroge sur le choix à faire
entre les 2 candidats.....
Je soutiens FH et Toi thumbs up
c
26 avril 2012 15:59
Citation
ma-casablanca a écrit:
Citation
Lee Mouna a écrit:
Citation
ma-casablanca a écrit:
Citation
LeMask a écrit:
Je ne suis pas français, je ne vote pas...

Mais même au Maroc, je ne vote pas.

Citation
LeMask a écrit:

Mais il fallait voter Le Pen.

Coulons le systéme... Coulons le Titanic...

Il faut voter Sarko... Pour enterrer la France et ses 20% de rigolos et 60% de rigolos...


Salam,

qu'est ce qui t'arrive ? tu ne votes pas et la, tu pousses les gens vers l’enfer !!! wallah t'es pas sérieux on sait ce qu'on fait et ne t’inquiètes pas pour nous, si tu n'as pas cette possibilité pour t'exprimer, ben soit raisonnable et encourage les autres, mais tenir un tel discours non merci !!!


Après avoir bénéficié des droits acquis grâce à la gauche il pousse les autres à voter de la crotte !.


macasa en effet faut rien lâcher apparemment !

Porte par porte ....

Salam Mouna

lol wallah parfois je ne comprends pas les gens, non seulement il ne vote pas mais en plus il pousse les gens d'aller droit dans le mur

justement en parlant de porte à porte, ce matin j'ai lu dans un journal un article où on parlait d'une jeune militante PS elle a 21 ans très engagée avec d’autres jeunes de son mouvement MJS ( mouvement des Jeunes Socialistes) à investir le terrain notamment pour toucher les lycéens et les étudiants, convaincre une partie de l’électorat FN, celle qui a voté par déception par rapport à Sarkozy, et aussi ils font des porte à porte, bravo à ces jeunes thumbs up

Tous les jours je discute avec des partisans du FN et autre ...pour leurs démontrer que ils n'y gagne rien eux personnellement .....et ça marche souvent.
Donc tous nous devons défendre notre dignité et celle de nos parents...
m
26 avril 2012 19:50
Citation
kayllalinda a écrit:
Salam Casa,
Je t'écris du boulot pour t'encourager, il ne faut pas tenir compte des commentaires de certains, à croire
qu'ils veulent aggraver notre situation ici.. tu as vu le post où une personne s'interroge sur le choix à faire
entre les 2 candidats.....
Je soutiens FH et Toi thumbs up


Salam Kaylla,

excellent ton soutien à FH thumbs up

Merci beaucoup pour ton encouragement ça fait plaisir de lire des gens sympas comme vous,
oui j’ai vu...on comprend pourquoi le FN a monté, mais on ne comprend pas pourquoi les gens ont pris des gosses gifles de la part de Sarko pendant 5 ans et la ils en veulent encore et encore pendant 5 ans grinning smiley

qu'ils prennent au moins le temps de lire les programmes et voir qui dire vrai
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
m
26 avril 2012 19:59
Citation
ma-casablanca a écrit:
Citation
Lee Mouna a écrit:

Salam Mouna

lol wallah parfois je ne comprends pas les gens, non seulement il ne vote pas mais en plus il pousse les gens d'aller droit dans le mur

justement en parlant de porte à porte, ce matin j'ai lu dans un journal un article où on parlait d'une jeune militante PS elle a 21 ans très engagée avec d’autres jeunes de son mouvement MJS ( mouvement des Jeunes Socialistes) à investir le terrain notamment pour toucher les lycéens et les étudiants, convaincre une partie de l’électorat FN, celle qui a voté par déception par rapport à Sarkozy, et aussi ils font des porte à porte, bravo à ces jeunes thumbs up

Tous les jours je discute avec des partisans du FN et autre ...pour leurs démontrer que ils n'y gagne rien eux personnellement .....et ça marche souvent.
Donc tous nous devons défendre notre dignité et celle de nos parents...

Salut Mouna,

bravo à toi, oui on doit continue à convaincre les autres surtout ceux qui votent pour le FN ou qui ont revoté Sarko et veulent encore revoter pour ce clown, quand j’entends les gens ou je lis certains ça me fait marrer leur critique non fondée... ils ne connaissent rien en programme présenté par François Hollande et ils le juge comme les autres, qu'ils ne nous disent surtout pas qu’ils ont lu les 60 propositions de François Hollande et aucune ne les a intéressé (ce qu'on appel trouver une excuse non justifiée) grinning smiley
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
m
26 avril 2012 20:43
Salam


Grand Rassemblement Pour Le Changement


Dimanche 29 avril


François Hollande à Paris Bercy


à partir de 14h00 Palais Omnisports - Accès Libre - Métro Bercy ou Gare de Lyon
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
A
26 avril 2012 22:11
Citation
LeMask a écrit:
Amar el Soussi, ouch, ca fait mal venant de toi... Euh non attends, laisse moi vérifier... Tu es qui déjà? Personne... Ah ben je m'en moque dans ce cas ouf... J'ai eu peur...

Arffffffff je ne te savais pas si susceptible !!! Ce n'était pas méchant, mais bon j'ai souvent du mal à te comprendre, avec toi ça part dans tous les sens, en fait tu me donne l'impression d'en vouloir au monde entier, ce qui explique mon "attaque".

Sans rancune^^
"Pas de guerre entre les races, pas de paix entre les classes" !
m
27 avril 2012 10:55
Salam tout le monde,

François Bayrou dénonce Sarko (ils ont tous compris son jeu) grinning smiley
le Mercredi 25 Avril

François Bayrou a dénoncé :



"la course ventre à terre derrière les thèses du Front national" opérée ces jours-ci par Nicolas Sarkozy


"Aborder l'immigration en validant la thèse du FN, c'est renier un demi-siècle de politique sociale"



"Les propos de Nicolas Sarkozy tendant à confondre les électeurs qui ont voté pour moi et ceux de Marine le Pen sont absurdes et offensants", a déclaré à l'AFP François Bayrou. "Le courant politique que j'anime s'est toujours défini par des valeurs qui sont d'abord humanistes", a-t-il également rappelé.

"Aborder la question de l'immigration en validant la thèse du Front national et en prétendant que les déséquilibres des comptes sociaux étaient dus aux immigrés, c'est un reniement d'un demi-siècle de politique sociale en France. C'est un reniement du gaullisme aussi bien que des démocrates-chrétiens et humanistes". , a poursuivi le député des Pyrénées-Atlantiques.

"Cette course ventre à terre derrière les thèses du Front national est humiliante. Elle est de surcroît vouée à l'échec parce que la France est un pays construit autour de principes qui ne se laisseront pas entacher", a-t-il conclu avec fermeté.



[www.bayrou.fr]
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
m
27 avril 2012 12:21
Salam,

Emploi : l’échec majeur de Sarkozy





Pour le onzième mois consécutif le nombre de demandeur d’emploi continue d’augmenter, soit + 30.700 (A,B,C) pour le seul mois de mars. Cette évolution du chômage confirme que n’avoir aucun projet, ni aucune proposition et se contenter d’attaquer les chômeurs, les « faux » travailleurs et les partenaires sociaux, mais jamais le chômage, ne conduit qu’à un seul résultat : l’échec.

Echec à réduire le nombre de demandeur d’emploi : cinq ans après le début du mandat de Nicolas Sarkozy, le nombre de Français qui recherchent activement un emploi est porté à 4.309.300, soit 1.077.800 personnes de plus ! Echec à redonner espoir à la jeunesse : avec 645.400 jeunes de moins de 25 ans demandeurs d’emploi, un nombre en augmentation de + 149.500 depuis 2007, la politique du candidat sortant à encore plus fragilisé une population qui avait déjà du mal à s’insérer sur le marché du travail. Echec à maintenir les seniors en emploi : avec +345.700 demandeurs d’emploi de plus de 50 ans qu’il y a cinq ans, Nicolas Sarkozy s’est bel et bien trompé : ce n’est pas en portant l’âge légal de départ à la retraite à 62 ans que l’on crée de l’emploi pour les seniors.

Nicolas Sarkozy voulait ramener le chômage à 5%, il l’a porté à 10%. Le candidat sortant n’assume aucune responsabilité dans cet échec. Il n’y est pour rien, c’est la faute de la crise ! Mais la crise n’explique pas la faiblesse de son plan de relance, ni la politique d’austérité qu’il a imposé avec Angela Merkel et qui a conduit à encore plus à gripper la croissance européenne. Elle explique encore moins le manque de moyens alloués au chômage partiel (10 fois mois qu’en Allemagne !) pour maintenir les travailleurs en emploi ni les exonérations de cotisations sur les heures supplémentaires, dispositif coûteux qui a freiné l’embauche et détruit des emplois sur fonds publics, ni la diminution de 12% du budget de l’emploi en 2012.

Parce que cette politique d’errements économiques a fait reculer la France nous avons, avec François Hollande, la responsabilité de donner une nouvelle dimension à notre économie, pour retrouver le chemin de la croissance et de l’emploi. Par une nouvelle orientation européenne favorable à la croissance, par la mise en place d’un pacte productif, par l’impulsion d’une solidarité intergénérationnelle dans l’entreprise au travers de cette belle idée que constitue le contrat de génération et par des mesures d’urgence comme la création de 150 000 emplois d’avenir pour la jeunesse, François Hollande porte cet espoir de redressement.



Alain VIDALIES, Responsable du pôle Travail

Emploi-l Echec Majeur de Sarkozy
[color=#6600FF][b][center]«La stupidité des gens me fatigue !![/center][/b][/color]
27 avril 2012 14:48
Citation
LeMask a écrit:
Mais il fallait voter Le Pen.

Coulons le systéme... Coulons le Titanic...

Et vous on vous a roulé dans la Marine !Chef
27 avril 2012 15:27
Citation
LeMask a écrit:
Mais il fallait voter Le Pen.

Coulons le systéme... Coulons le Titanic...

Prenez votre carte FN, abonnez-vous à Occident Nouveau, faites vous tatouer 88 sur le front et foutez-nous la paix !
c
28 avril 2012 11:13
Citation
ma-casablanca a écrit:
Citation
kayllalinda a écrit:
Salam Casa,
Je t'écris du boulot pour t'encourager, il ne faut pas tenir compte des commentaires de certains, à croire
qu'ils veulent aggraver notre situation ici.. tu as vu le post où une personne s'interroge sur le choix à faire
entre les 2 candidats.....
Je soutiens FH et Toi thumbs up


Salam Kaylla,

excellent ton soutien à FH thumbs up

Merci beaucoup pour ton encouragement ça fait plaisir de lire des gens sympas comme vous,
oui j’ai vu...on comprend pourquoi le FN a monté, mais on ne comprend pas pourquoi les gens ont pris des gosses gifles de la part de Sarko pendant 5 ans et la ils en veulent encore et encore pendant 5 ans grinning smiley

qu'ils prennent au moins le temps de lire les programmes et voir qui dire vrai

Parce que ils ont aimé se prendre un doigt à la figure et maintenant ils veulent un doigt dans le Q .!
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