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ma-casablanca a écrit:
Tu sais Amar ce qui me fais peur c'est la question sur l'immigration, Sarko a ressorti son discours "stop à l'immigration" et donc les partisans de Marine risquent de voter pour Sarko
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Amar el Soussi a écrit:Citation
ma-casablanca a écrit:
Tu sais Amar ce qui me fais peur c'est la question sur l'immigration, Sarko a ressorti son discours "stop à l'immigration" et donc les partisans de Marine risquent de voter pour Sarko
Sarko et Marine Le Pen devraient déjà dire la vérité aux français. Car si la France veut se passer de l'immigration, quelle commence par retirer ses enfants des facs et les envoyer dans le bâtiment par exemple^^
Le cas de la Corse et un exemple, endroit où la vie de tous les jours est très difficile aux français et immigrés d'origines africaines, mais ou la relève dans le bâtiment ne se fait pas sans l'apport de main-d’œuvre étrangère:
En effet, pour assurer son fonctionnement, la construction a souvent recours à de la main-d'oeuvre étrangère. Les salariés nés à l'étranger occupent ainsi 27 % de l'ensemble des postes en Corse, contre 13 % sur le continent. Quasiment absents de l'encadrement, ils représentent 40 % des postes d'ouvriers qualifiés ou non du gros oeuvre du bâtiment. L'emploi de main-d'oeuvre étrangère est fréquent chez les jeunes : 28 % des professionnels du bâtiment de moins de 35 ans sont nés à l'étranger. Les phénomènes migratoires sont donc un élément à prendre en compte pour assurer le renouvellement de la main-d'oeuvre.
[www.insee.fr]
Je parle à l'intention des électeurs front national de Corse*
Témoignage du dur métier des ouvriers du BT:
De la même façon que pour toute action humaine, exercer un « boulot alimentaire » engage son auteur dans son entier. S’en abstraire totalement une fois la journée terminée est impossible. La fatigue physique et la lassitude demeurent, bien sûr, mais elles s’accompagnent d’autres formes de tensions plus inattendues, qui créent à la longue un état mental bien spécifique. Le cas du manoeuvre est exemplaire à ce titre. Sur un chantier de construction règne un vacarme perpétuel, où s’entrechoquent les percussions de marteaux-piqueurs, de perceuses et le grondement des bétonnières. L’environnement est stressant, agressif. La poussière recouvre tout. Les odeurs sont rarement agréables : le goudron le dispute à la peinture, aux effluves de métal cisaillé ou au néoprène. Et plutôt que d’avoir à descendre et remonter cinq étages, certains préfèrent de loin uriner dans la pièce d’à-côté : « Bah ! c’est pas chez nous. » Le soir, les ouvriers quittent le chantier les mains poisseuses et écorchées, couverts de sciure ou de plâtre. Ils crachent noir.
Les métiers du bâtiment emploient toujours beaucoup de main-d’oeuvre étrangère pauvre. Un immeuble en construction à Paris s’apparente à une véritable tour de Babel. On y parle malien, arabe, arménien, yougoslave et un français petit-nègre... qui finit par déteindre sur les autochtones. À force de travailler avec des Polonais qui ne s’expriment qu’à l’infinitif, il en est qui prennent le pli, sans même s’en rendre compte : « Tu donner moi marteau ? » Ça vient tout seul, c’est plus simple. Le BTP, c’est aussi le règne de l’anonymat. Surtout chez les manoeuvres, parfaitement interchangeables. Les entreprises variant d’un chantier à l’autre, il est difficile de retenir le nom de ceux qui les composent et que l’on côtoie pourtant chaque jour, sauf au cas où les travaux s’éternisent... Les métiers font donc office de vocatif pour les travailleurs : « Oh, plombier, t’en as encore pour longtemps ? » Cette dépersonnalisation généralisée n’est toutefois pas parvenue à faire disparaître la fierté du travailleur qualifié. Fierté d’appartenir à un corps, de détenir un savoir-faire. Il reste malgré tout quelque chose de l’orgueil de l’artisan qui résiste à la spécialisation et à la standardisation du travail.
La sociologie des métiers du bâtiment est édifiante. En gros, les ouvriers sont immigrés, et tous les postes de direction occupés par des Français hautains. La maçonnerie n’est plus l’apanage des Portugais, qui se sont diversifiés dans la plomberie, plus lucrative. Signe que leur sort s’est amélioré. C’est le Maghreb qui fournit désormais le plus gros de son contingent. Les ressortissants des pays de l’Est (Pologne, ex-Yougoslavie) sont nombreux chez les plaquistes et les couvreurs. Les rares corps de métier encore constitués d’une majorité de Français sont ceux à forte valeur ajoutée, comme la vitrerie ou l’électricité, ou les moins pénibles, comme la peinture. Les Africains, eux, se coltinent les tâches les plus abrutissantes : démolition et déblayage. Le fait est d’ailleurs communément admis : le travail le plus ingrat, c’est pour les Noirs. Une fois où l’on s’apprêtait à débarrasser des gravats, notre chef d’équipe nous a retenus : « Laissez ça, c’est pas à nous. Les N-égros vont le faire. » Ambiance.
L’organisation même d’un chantier, très éclatée, ne favorise ni la conscience de classe ni la représentation syndicale, totalement inexistante. Les conditions de travail ne sont que très rarement abordées entre ouvriers. Ils s’accoutument. C’est qu’au contact permanent de la saleté et des intempéries, à force de se cogner à l’échafaudage, de se couper, le souci de soi s’estompe. On se contente de déjeuner sur le pouce en une demi-heure : une salade ou un sandwich. Éternel paradoxe de la pyramide : ceux qui ont les besoins énergétiques les plus importants sont aussi ceux qui mangent le moins. Tant pis ; l’essentiel c’est de bosser. Le reste attendra. Un jour où l’un de nos congénères, s’émouvant du poids d’un rouleau de cuivre qu’il nous fallait transporter, cherchait des solutions techniques pour alléger notre peine, notre chef d’équipe mit abruptement fin à ses réflexions : « Chantier : pas penser ! Toi prendre rouleau avec moi à la main. » Trois jours auparavant, le même chef était encore terrassé par un mal de dos insoutenable qui l’a littéralement cloué au sol pendant vingt minutes.
Un manoeuvre n’est pas embauché pour ses compétences, mais pour ses bras. La différence avec les ouvriers qualifiés est parfaitement perceptible sur la fiche de paie : c’est pour cela qu’il est rémunéré au SMIC strict (5,90 euros net de l’heure). Et c’est aussi la raison pour laquelle son horizon est plutôt bouché. Il est certes concevable de grimper les échelons d’une entreprise en apprenant les métiers sur le tas, mais le terrain ne remplacera jamais la théorie. L’inéluctable s’attache au pas du manoeuvre et favorise « l’aquoibonisme ». Travailler uniquement pour assurer sa subsistance, et jamais par goût, n’est pas très enthousiasmant. Et puis, pour quelle raison s’appliquer à réaliser quelque chose qui ne s’attire pas une once de reconnaissance ? Le manoeuvre n’est jamais félicité pour un travail bien fait, puisqu’il n’effectue que des travaux de force ou des tâches qui ne réclament au mieux qu’un peu d’attention. En revanche, il essuie toujours la réprimande pour une erreur. L’échec et l’approximation sont tolérés (ils passent par pertes et profits), mais systématiquement conspués.
Le travail pénible est évidemment harassant. Après une journée passée à transbahuter des bottes de 50 kg de voliges de 4 mètres ou à percer du béton ventilé, le manoeuvre n’aspire qu’à s’écrouler sur son canapé. La fatigue physique enveloppe tout l’être. Le corps ne veut plus faire d’efforts ? Eh bien, l’esprit non plus. Trop liés. Le désir le plus impérieux au sortir d’une journée de labeur n’est pas de sortir ni de voir des amis, encore moins de se cultiver. Le premier réflexe consiste plutôt à allumer la télé, à s’affaler devant et à attendre que le réveil retentisse le lendemain pour reprendre le collier. Les rencontres sont plus difficiles, les joies se raréfient. Gregor le constate : « Tous les soirs, je me couche vers 21 h 30, sinon, c’est impossible de tenir. » Sachant qu’il rentre chez lui vers 18 h 30, que lui reste-t-il comme temps personnel loisible ?
[L’économie psychique engendrée par un travail pénible s’apparente à un cercle vicieux. Si l’on n’y prête attention, une idée insidieuse fait progressivement son chemin : « Mais si je fais ce boulot de merde, c’est que je ne vaux pas grand-chose non plus, au fond. » Un emploi peu valorisant conduit inévitablement à la dépréciation de soi : on n’est jamais que ce qu’on fait. Le doute, la docilité et le fatalisme s’installent. La fréquence des comportements de fuite de soi augmente subrepticement. Si les « vices » raccourcissent la durée de vie, ils ont au moins le mérite de l’adoucir en agissant comme un baume sur une réalité trop rugueuse. La consommation des petites drogues s’accroît insensiblement : une cigarette, ça fait toujours du bien quand on est crevé ou qu’on a « taffé » durement. Et puis, ça permet de souffler. De même, un petit verre requinque, et un joint détend. « Moi, ce week-end, j’ai bu quinze litres de vin ! » raconte Gregor le lundi matin. Quand il réussit à venir ce jour-là. Le recours à ces viatiques est à ce point décomplexé qu’il est naturel. À vingt-quatre ans, Ben boit une bouteille de rouge tous les midis. L’ouvrier se sent parfaitement légitime, et même dans son droit vis-à-vis de ce genre d’habitude. La dureté de son travail fait qu’il a bien mérité ces petits extras et qu’il n’a aucune leçon à recevoir.
[1libertaire.free.fr]
Les FN râlent contre l'immigration, mais eux comme les autres souhaitent et encouragent leurs enfants à poursuivre des études......
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LeMask a écrit:
Je ne suis pas français, je ne vote pas...
Mais même au Maroc, je ne vote pas.
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LeMask a écrit:
Mais il fallait voter Le Pen.
Coulons le systéme... Coulons le Titanic...
Il faut voter Sarko... Pour enterrer la France et ses 20% de rigolos et 60% de rigolos...
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Lee Mouna a écrit:
Salam,
bravo macasa pour ton combat combat pour la gauche et contre les c.ons.!!
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ma-casablanca a écrit:Citation
LeMask a écrit:
Je ne suis pas français, je ne vote pas...
Mais même au Maroc, je ne vote pas.Citation
LeMask a écrit:
Mais il fallait voter Le Pen.
Coulons le systéme... Coulons le Titanic...
Il faut voter Sarko... Pour enterrer la France et ses 20% de rigolos et 60% de rigolos...
Salam,
qu'est ce qui t'arrive ? tu ne votes pas et la, tu pousses les gens vers l’enfer !!! wallah t'es pas sérieux on sait ce qu'on fait et ne t’inquiètes pas pour nous, si tu n'as pas cette possibilité pour t'exprimer, ben soit raisonnable et encourage les autres, mais tenir un tel discours non merci !!!
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Lee Mouna a écrit:Citation
ma-casablanca a écrit:Citation
LeMask a écrit:
Je ne suis pas français, je ne vote pas...
Mais même au Maroc, je ne vote pas.Citation
LeMask a écrit:
Mais il fallait voter Le Pen.
Coulons le systéme... Coulons le Titanic...
Il faut voter Sarko... Pour enterrer la France et ses 20% de rigolos et 60% de rigolos...
Salam,
qu'est ce qui t'arrive ? tu ne votes pas et la, tu pousses les gens vers l’enfer !!! wallah t'es pas sérieux on sait ce qu'on fait et ne t’inquiètes pas pour nous, si tu n'as pas cette possibilité pour t'exprimer, ben soit raisonnable et encourage les autres, mais tenir un tel discours non merci !!!
Après avoir bénéficié des droits acquis grâce à la gauche il pousse les autres à voter de la crotte !.
macasa en effet faut rien lâcher apparemment !
Porte par porte ....
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ma-casablanca a écrit:Citation
Lee Mouna a écrit:Citation
ma-casablanca a écrit:Citation
LeMask a écrit:
Je ne suis pas français, je ne vote pas...
Mais même au Maroc, je ne vote pas.Citation
LeMask a écrit:
Mais il fallait voter Le Pen.
Coulons le systéme... Coulons le Titanic...
Il faut voter Sarko... Pour enterrer la France et ses 20% de rigolos et 60% de rigolos...
Salam,
qu'est ce qui t'arrive ? tu ne votes pas et la, tu pousses les gens vers l’enfer !!! wallah t'es pas sérieux on sait ce qu'on fait et ne t’inquiètes pas pour nous, si tu n'as pas cette possibilité pour t'exprimer, ben soit raisonnable et encourage les autres, mais tenir un tel discours non merci !!!
Après avoir bénéficié des droits acquis grâce à la gauche il pousse les autres à voter de la crotte !.
macasa en effet faut rien lâcher apparemment !
Porte par porte ....
Salam Mouna
lol wallah parfois je ne comprends pas les gens, non seulement il ne vote pas mais en plus il pousse les gens d'aller droit dans le mur
justement en parlant de porte à porte, ce matin j'ai lu dans un journal un article où on parlait d'une jeune militante PS elle a 21 ans très engagée avec d’autres jeunes de son mouvement MJS ( mouvement des Jeunes Socialistes) à investir le terrain notamment pour toucher les lycéens et les étudiants, convaincre une partie de l’électorat FN, celle qui a voté par déception par rapport à Sarkozy, et aussi ils font des porte à porte, bravo à ces jeunes
Citation
kayllalinda a écrit:
Salam Casa,
Je t'écris du boulot pour t'encourager, il ne faut pas tenir compte des commentaires de certains, à croire
qu'ils veulent aggraver notre situation ici.. tu as vu le post où une personne s'interroge sur le choix à faire
entre les 2 candidats.....
Je soutiens FH et Toi
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ma-casablanca a écrit:Citation
Lee Mouna a écrit:
Salam Mouna
lol wallah parfois je ne comprends pas les gens, non seulement il ne vote pas mais en plus il pousse les gens d'aller droit dans le mur
justement en parlant de porte à porte, ce matin j'ai lu dans un journal un article où on parlait d'une jeune militante PS elle a 21 ans très engagée avec d’autres jeunes de son mouvement MJS ( mouvement des Jeunes Socialistes) à investir le terrain notamment pour toucher les lycéens et les étudiants, convaincre une partie de l’électorat FN, celle qui a voté par déception par rapport à Sarkozy, et aussi ils font des porte à porte, bravo à ces jeunes
Tous les jours je discute avec des partisans du FN et autre ...pour leurs démontrer que ils n'y gagne rien eux personnellement .....et ça marche souvent.
Donc tous nous devons défendre notre dignité et celle de nos parents...
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LeMask a écrit:
Amar el Soussi, ouch, ca fait mal venant de toi... Euh non attends, laisse moi vérifier... Tu es qui déjà? Personne... Ah ben je m'en moque dans ce cas ouf... J'ai eu peur...
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LeMask a écrit:
Mais il fallait voter Le Pen.
Coulons le systéme... Coulons le Titanic...
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LeMask a écrit:
Mais il fallait voter Le Pen.
Coulons le systéme... Coulons le Titanic...
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ma-casablanca a écrit:Citation
kayllalinda a écrit:
Salam Casa,
Je t'écris du boulot pour t'encourager, il ne faut pas tenir compte des commentaires de certains, à croire
qu'ils veulent aggraver notre situation ici.. tu as vu le post où une personne s'interroge sur le choix à faire
entre les 2 candidats.....
Je soutiens FH et Toi
Salam Kaylla,
excellent ton soutien à FH
Merci beaucoup pour ton encouragement ça fait plaisir de lire des gens sympas comme vous,
oui j’ai vu...on comprend pourquoi le FN a monté, mais on ne comprend pas pourquoi les gens ont pris des gosses gifles de la part de Sarko pendant 5 ans et la ils en veulent encore et encore pendant 5 ans
qu'ils prennent au moins le temps de lire les programmes et voir qui dire vrai