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vivement la retraite au maroc
7 février 2005 14:31
Une qualité de vie extraordinaire »
Joelle et Ali Menouar dégustent une tasse de « nos-nos », mi-café, mi-lait, devant la plage d'Essaouira. C'est leur rituel du matin depuis qu'ils se sont expatriés en 2001. Après avoir exploré Marrakech et Zagora, ils ont choisi ce port « pour son calme et sa lumière ».

A mille lieues de Montélimar, où ils ont tenu un garage puis une galerie d'antiquités. Ils se voyaient mal y passer leurs vieux jours. « Nous n'avons pas de grosses retraites : 1 500 € par mois pour nous deux. Si nous étions restés à Montélimar, nous vivrions mal. Ici, cela nous suffit largement. » Témoins, leur grande maison, une femme de ménage et un jardinier à mi-temps pour veiller sur le mesclun rapporté de France et les tomates « qui poussent douze mois par an ».

« Les écolos nostalgiques du Larzac ne seraient pas dépaysés... »

Elle a 59 ans, lui 67, et pas encore de soucis de santé. « Le jour où ils surviendront, nous pourrons sans problèmes aller nous faire soigner à Marrakech, Casablanca ou Agadir, équipés d'hôpitaux ultramodernes. » Mais ils ne croient pas trop qu'ils auront besoin d'en arriver là... « La qualité de vie est extraordinaire ! Tout est bio, ici, rigole Joëlle. Les écolos nostalgiques du Larzac ne seraient pas dépaysés... » Revers de la médaille : un golf et de nouveaux hôtels vont ouvrir cette année. « Si cela fait flamber les prix, on s'éloignera un peu plus... » Ils désignent l'horizon : « Vous voyez cette pointe, à l'opposé du port ? C'est un petit village de pêcheurs, 200 habitants tout au plus. » Ils se regardent malicieusement puis confient, comme un secret : « On vient d'y acheter un terrain. »


ESSAOUIRA, JEUDI. Joëlle et Ali ont quitté la France pour s'installer dans ce port marocain qui les a séduits par son « calme et sa lumière ».

(LP/MATHIEU DESLANDES.)


M.D.
Le Parisien ,
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
K
7 février 2005 14:57
ca fait rever

j'ai eu en lisant un moment cet article une envie extraordinaire d'y retourner au bled





mais.......

je retombe sur terre


car je sais que ce couple de francais sera beaucoups "mieux traité", que n'importe quel MRE dans ce bled

que ca soit dans les hopitaux, les administrations ou autres...
kARMOSS / Droits de reproduction et de diffusion réservés © kARMOSS 2004/2020.
z
7 février 2005 15:02
"....une femme de ménage et un jardinier à mi-temps pour veiller sur le mesclun rapporté de France et les tomates « qui poussent douze mois par an ».

On comprendrait presque que les gens du Sud, soit harag le Nord pour servir les blancs jeunes, soit restent sur place pour servir les blancs vieux...
ça se trouve qu'ils ne les paient même pas, où qu'ils leur donnent les restes du mesclun français et des tomates pas beau.

« Les écolos nostalgiques du Larzac ne seraient pas dépaysés... »
"Elle a 59 ans, lui 67, et pas encore de soucis de santé. « Le jour où ils surviendront, nous pourrons sans problèmes aller nous faire soigner à Marrakech, Casablanca ou Agadir, équipés d'hôpitaux ultramodernes. »

Les écolos du Larzac ont réussi à rassembler 400.000 personnes recemement en se battant justement pour une justice mondiale, pour que justement il n'y ait pas de privilegiés qui exploitent les autres et qui accèdent à des soins de santé supérieurs par ce qu'ils peuvent se le payer.


"C'est un petit village de pêcheurs, 200 habitants tout au plus. » Ils se regardent malicieusement puis confient, comme un secret : « On vient d'y acheter un terrain. »"

Comble du comble, le petit village de pêche traditionnelle va disparaître à coups de spéculations immobilières provoquées par les riches du Nord.


Cet article c'est un appel à recoloniser le Sud, puisqu'il y a des esclaves corvéables à merci, sans droit de travail. Ou l'on peut construire en zone protégée sans que l'Urbanisme vient trop s'y inmiscer, où l'on peut se soigner mieux que les autres si on a de l'argent.
Tout en lançant des préjugés critiques à peine voilés sur des gens courageux qui se battent comme des lions: les écolos du Larzac.

Non merci, vivement une retraite digne pour tous ici et ailleurs, aux mêmes conditions

m
7 février 2005 15:11
Ah Essaouira! cette ville est résolument un havre de paix.
" Le commencement de toutes les sciences, c'est l'étonnement de ce que les choses sont ce qu'elles sont "
7 février 2005 15:15
zalzal a écrit:

> Non-merci, vivement une retraite digne pour tous
> ici et ailleurs, aux mêmes conditions

Je ne crois pas que les conditions ici soit les mêmes, moi je préfère prendre ma retraite au bled inchallah si dieu veut bien me préservait jusque là, même avec une retraite de 500€! je vivrai mieux la bas qu'avec 1500€ ici.





Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/02/05 15:19 par aicha.
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
w
7 février 2005 16:53
j'ai aussi un projet de retraite et le hazard veut que ça soit aussi du coté d'essaouira mais à la campagne mes petits enfants vienderont me voir avec mes chevres et mes arganiers!!!incha allah!
k
7 février 2005 18:25
C'est encore très loin......moi je compte vivre accrocher à mes enfants que je ne lacherai pas d'une semelle jusqu'au boutwinking smiley
t
7 février 2005 22:15
kaneyamakane a écrit:
-------------------------------------------------------
> C'est encore très loin......moi je compte vivre
> accrocher à mes enfants que je ne lacherai pas
> d'une semelle jusqu'au bout


inch'Allah smiling smiley

B
7 février 2005 23:20
Fiscalité Le Maroc, nouvel eldorado des retraités français
Marrakech (Maroc)




Le Maroc s'est trouvé une nouvelle vocation : eldorado pour retraités. Encore embryonnaire en 1999, alors que l'on célébrait l'Année du Maroc en France, le phénomène prend l'allure d'une vive poussée depuis deux ans. Les retraités français sont déjà 36 000 à avoir traversé la Méditerranée - principalement établis à Marrakech, Agadir et Essaouira - tant les arguments de ce pays sont irrésistibles.



Avantage décisif, en effet : ici, tous les retraités bénéficient d'un abattement fiscal de 40 %. Et, luxe ultime, les retraités dont la pension est d'origine étrangère ont droit, sur leur impôt, à un abattement supplémentaire de 80 % ! A l'origine, selon la version officielle, le système aurait été conçu comme une carotte pour inciter les Marocains expatriés à rentrer au pays... Mais les Français, en particulier ceux qui bénéficient d'une pension confortable, ont vite fait de s'emparer du filon pour échapper au fisc hexagonal par cette nouvelle forme de délocalisation. Qu'ils se rassurent, tous ceux qui se désespéraient à l'idée de ne pas avoir les moyens de s'installer en Provence pour y couler leurs vieux jours ! A trois heures d'avion de Paris, le soleil les attend... ainsi que les autorités marocaines : par rapport au niveau de vie local, les retraités français sont riches et ont beaucoup d'argent à dépenser. Au point d'avoir presque tous au moins un domestique à leur service, payé au salaire minimum (200 € par mois).

« On s'arrange comme on peut avec la loi... »

« Je vais vous paraître snob, prévient Hélène, 65 ans, installée depuis quatre ans dans une villa payée moins de 50 000 €. Mais après une carrière éprouvante, on n'est pas mécontent de pouvoir se faire aider d'un jardinier, d'un gardien, voire d'un chauffeur le jour où l'on ne peut plus conduire... Tout en ayant le sentiment d'aider à résorber le chômage. »


Pour bénéficier de l'abattement fiscal, deux conditions sont incontournables. La première : transférer sa retraite sur un compte en dirhams non convertibles. « Au début, je trouvais cela très contraignant, susurre Jean-Paul, 73 ans, rencontré devant les étals de légumes et d'épices du marché central de Marrakech. Mais une fois que vous connaissez bien votre banquier, personne ne s'aperçoit de rien si, par un discret jeu d'écritures, une partie de vos dirhams redevient subitement convertible. On s'arrange comme on peut avec la loi... »


Seconde condition : devenir résident fiscal marocain, c'est-à-dire avoir son lieu de séjour principal au Maroc et y passer un minimum de 183 jours par an. « Pas d'affolement, prévient Philippe, un golfeur de 62 ans. Depuis l'an 2000, il n'y a plus de contrôles pour vérifier si nous sommes bien présents six mois par an. Alors, tout le monde déclare que sa résidence fiscale est désormais établie au Maroc, quitte, pour certains, à passer le plus clair de leur temps dans leur résidence soi-disant secondaire en France... »



Mathieu Deslandes
Le Parisien , lundi 07 février 2005
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
B
7 février 2005 23:22
Un impôt réduit à 3,77 % du revenu



Le fisc marocain caresse les retraités étrangers dans le sens du poil. Voilà, pour un retraité moyen, les calculs à effectuer pour chiffrer les avantages :

1 Convertissez le montant de votre retraite en dirhams : un euro vaut à peu près 11 dirhams. Exemple : Vous touchez une retraite annuelle brute de 18 000 €, soit 198 000 dirhams.


2 Appliquez un abattement de 40 % sur vos revenus (règle valable pour tous les retraités au Maroc). Exemple : 198 000 - (198 000 x 0,4) = 118 800 dirhams.

3 Multipliez le résultat par 44 %
(barème de la tranche maximale d'imposition, qui démarre à 60 000 dirhams imposables) et retranchez 14 960 dirhams (somme forfaitaire). Vous obtenez le montant de l'impôt théoriquement dû. Exemple : (118 800 x 44 %) - 14 960 = 37 312 dirhams.

4 Si vous transférez la totalité de votre pension au Maroc, vous avez droit à un abattement de 80 %. Calculez donc 20 % de l'impôt théoriquement dû : vous obtenez le montant de l'impôt effectivement dû. Exemple : 37 312 x 20 % = 7462,4 dirhams, c'est-à-dire 678,4 euros... soit, dans notre exemple 3,77 % du revenu annuel brut.



M.D.
Le Parisien , lundi 07 février 2005


[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
B
7 février 2005 23:26
« Une mesure pour assurer notre développement »



Les retraités étrangers devenus résidents marocains peuvent bénéficier d'avantages fiscaux considérables. L'économie marocaine y trouve-t-elle son compte ?
Rachid Talbi el-Alami.
Cette mesure a pour objectif d'encourager le transfert de revenus en devises.


Au-delà de son impact sur le développement de certains secteurs comme le tourisme et l'immobilier, cette mesure a eu pour l'instant un impact limité sur les transferts puisqu'ils n'ont guère dépassé 3,8 milliards de dirhams (350 millions d'euros) au titre de l'année 2003.

« Une pratique courante à l'échelon international »

Les retraités qui font le projet de s'installer au Maroc ont besoin de savoir si ce dispositif est appelé à durer à long terme. Envisagez-vous de le faire évoluer dans les prochaines années ?
Ce dispositif qui a été mis en place en 1989 s'inscrit dans le temps puisqu'il vise à répondre au souci de notre pays de mobiliser les ressources nécessaires en vue d'assurer son développement, en utilisant des mesures incitatives. Il s'agit là d'une pratique courante à l'échelon international, utilisée aussi bien par les pays développés que par les pays en voie de développement, et ce, conformément aux conventions internationales en vigueur. Ainsi, cette mesure prend en considération les conventions de non-double imposition signées avec les pays partenaires du royaume dont notamment la France, qui abrite une forte communauté marocaine.

Cela pourrait déclencher la venue de nombreux étrangers bien plus riches que la moyenne des habitants du Maroc. Que répondez-vous à ceux qui craignent qu'il favorise une sorte de néocolonialisme économique ?
Permettez-moi de souligner que le terme « néocolonialisme » n'a pas de lien direct ou indirect avec le thème que vous abordez. Je dirai tout simplement que ce régime préférentiel est applicable aussi bien pour nos ressortissants marocains établis en terre d'accueil que pour les étrangers de quelque nationalité que ce soit.


(DR.)


Propos recueillis par M.D.
Le Parisien , lundi 07 février 2005

[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
B
7 février 2005 23:27
RAPPEL

Clés



30 millions de personnes vivent au Maroc.

710 850 km 2 : surperficie du pays (Sahara occidental compris).

L'arabe est la langue officielle mais le français fait partie des langues couramment parlées.


La monnaie est le dirham. Cette semaine, un euro valait 11 dirhams.

3,5 % : croissance économique enregistrée en 2004.

200 € : salaire minimum.

11 % : taux de chômage.

près de 2 % d'inflation.

5,5 millions de touristes ont visité le Maroc en 2004. Ils ont dépensé plus de 300 M€.

Le Parisien , lundi 07 février 2005

[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
B
7 février 2005 23:35
Des investisseurs ravis



Au bord de la route, deux bergers discutent, un oeil sur leurs chèvres rassemblées sous des arganiers, ces arbres qu'elles escaladent pour y brouter les feuilles. Un peu plus loin, un âne brait après la queue de poisson d'une mobylette pétaradante. Soudain, à sept kilomètres d'Essaouira surgit, sur 180 hectares, la ville nouvelle d'Al-Jadida.
A peine née, déjà rebaptisée : ici, on la surnomme Chaâbi ville, du nom du groupe de travaux publics qui l'a bâtie. Les 11 000 logements sont encore vides mais la peinture est sèche et les systèmes d'arrosage vont bon train pour faire verdir les parterres.

Pas encore de maisons de retraite

Officiellement, ce programme immobilier vise « toutes les couches socioculturelles de la société marocaine ». Mais quand Lahsen Chmoiri, le directeur commercial du groupe Chaâbi, se penche sur ses registres, il constate : « Sur les 800 premiers logements commercialisés, plus d'une centaine a été achetée par des Français du troisième âge... » Il commence à avoir l'habitude de cette clientèle : « A Marrakech, l'an dernier, nous avons réalisé un programme d'un millier d'habitations haut de gamme. Des appartements de 120 m 2 vendus 60 000 €. Un sur cinq est allé à des seniors français désireux d'y passer leur retraite. Ils constituent un marché très intéressant. » Mais pas encore prioritaire aux yeux des promoteurs locaux, tant le déficit d'habitations principales reste considérable.


Ce qui laisse le champ libre à des investisseurs hexagonaux. Sur quinze hectares, dans la Palmeraie, un quartier chic de Marrakech, le groupe Vacances bleues s'apprête ainsi à construire 130 villas (toutes équipées d'une chambre pour le personnel) au sein d'une résidence fermée dotée de restaurants, d'installations de balnéothérapie, d'ateliers d'initiation à l'artisanat marocain... Pour vendre ses villas à 200 000 €, Christian Carassou-Maillan, le président de ce groupe spécialisé dans le tourisme pour retraités compte mettre à profit son fichier de clients « qui ne devraient pas rester insensibles à l'argument fiscal et seraient bien inspirés de faire leurs petits calculs ».

Avis aux promoteurs audacieux : le Maroc ne compte pas encore de maisons de retraite telles qu'il en existe en France. « Ce type d'établissement ne correspond pas encore à la mentalité marocaine, indique le responsable d'un grand groupe immobilier, mais le premier qui se lancera sur le créneau sera le roi du pétrole ! »


ESSAOURIA (MAROC), JEUDI. Une centaine de logements de ce complexe immobilier en construction a déjà été achetée par des retraites français. (LP/MATHIEU DESLANDES.)


M.D.
Le Parisien , lundi 07 février 2005

[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
z
7 février 2005 23:36
ET 11 MILLIARDS DE DOLLARS DE DETTE

QUI A EMPRUNTE CET ARGENT? A-T-IL SERVI A DEVELOPPER LE PAYS?
OU EST CET ARGENT ?
B
9 février 2005 11:25
Salam aalikoum

et toi zalzal

tu es où??

que fais tu concretement pour le Maroc???

...a part le critiker
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
z
9 février 2005 14:08
NONNNNN ce n'est pas le Maroc que je critique, C'EST LE SYSTEME NEOLIBERALE, où qu'il sevisse,

C'est l'exploitation de l'homme par l'homme qui est criticable.

Pour moi il n'est pas encourageant de voir que des retraités du Nord vont pouvoir profiter de la misère et de pauvres du Sud pour se couler des jours heureux....

Dsl mais je ne rêve pas d'une retraite avec des serves qui me servent à manger, et qui me nettoyent ma $£*%".....et qui "coûtent" rien.

Il y a plein des phrases qui me dérangent dans ces articles que vous citez: on peut s'arranger avec le banquier pour la conversion de devises, on va construire pour les vieux du Nord, mais pas pour améliorer les conditions de vie des vieux marocains.

En plus tu avances de chiffres sur le Maroc, mais pas la plus importante, qui est capitale, c'est la dette; De l'argent emprunté au nom du peuple pour apporter développement et progrès,,,mais en réalité c'est de l'argent volatilisé et volé au peuple;

Et c'est ne pas une critique du MAROC, c'est une critique du système.

Moi cela me fout la rage de voir le Maroc enfoncé dans la misère....à cause d'une minorité qu'elle soit marocaine ou d'ailleurs;
Moi je ne veut pas profiter de la detresse de l'autre pour vivre mieux;

Moi je rêve d'une retraite où tlm, absolument tlm, aura les mêmes avantages que moi. Ou tlm pourra se retirer dans une campagne propre, non polluée, où leurs petits enfants vienderont voir les grans parents retraités qui seront avec leurs s chevres et leurs arganiers!!! incha allah!.
Si c'est au bled, tant mieux, mais sans profiter de personne.

w
9 février 2005 14:19
salam zalzal

quand l'ai parlé de la compagne avec des chevres et des arganiers,j'ai omis volontairement de parler de mes projets pour la société civile!
et c'est pour ça mon choix du monde rural qui a plus besoin de ma participation que la ville...alors que je suis issu de la ville!!

je pense que la plupart des marocains vivant à l'étranger rêve de participer au developpement du maroc avec chacun ses possibilités...
z
9 février 2005 14:27
Voilà, la c'est bien, des projets pour la socièté civile, pour aider au développement du monde rurale, avec les moyens qu'on amène,

Mais l'article d'Aicha, non franchement, je le critique,
Je sais pas, j'ai trouvé qu'il vehiculait comme un encouragement à aller profiter de la misère du Sud.
Dsl Aicha, ce n'est ni contre toi ni contre Bass, ni contre le Maroc;

 
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