Une centaine de réfugiés Afghans et Irakiens, 2 pays en guerre, risquent d'être expulsés de l'immeuble dans lequel ils ont trouvé refuge. Ils font la grève de la faim depuis 15 jours, ne parvenant pas à obtenir du Commissariat aux réfugiés les papiers qui leur permettraient de travailler et faire vivre leurs familles. Ils demandent la démission du directeur du Commissariat aux réfugiés, Mr Vandenbulcke, pour non respect de la Convention de Genève et de la protection subsidiaire.
C'est vrai qu'on n'y comprend plus rien.Les refugiés de ces 2 pays devraient allé s'installer dans les pays musulmans riches comme les pays du golf,plus l'arabi saoudite et s'eparpiller parmis la population.L'ISLAM dit d'aider son prochain.
Un frère du président Karzai pourrait être mêlé à un trafic de drogue
AFP-JG08
WASHINGTON, 5 oct 2008 (AFP) - Un frère du président afghan Hamid Karzai est soupçonné d'être impliqué dans un trafic de drogue, suscitant de sérieuses inquiétudes parmi les hauts responsables américains, rapporte le New York Times dimanche sur son site internet.
Citant des responsables américains anonymes, le journal indique que l'ambassadeur américain en Afghanistan, le chef d'antenne de la CIA et leurs homologues britanniques ont évoqué dès 2006 avec le président Karzai ces accusations au sujet de son frère, Ahmed Wali Karzai.
Mais le chef de l'Etat afghan a jusqu'ici refusé d'accéder à leurs demande de faire quitter le pays à son frère, actuellement à la tête du Conseil provincial de Kandahar (sud), estimant ne disposer d'aucune preuve concluante contre celui-ci, selon l'article du quotidien.
Le journal affirme que lorsque les forces de sécurité afghanes ont découvert une énorme cache d'héroïne dissimulée dans un semi-remorque aux abords de Kandahar en 2004, le commandant local Habibullah Jan a reçu un appel téléphonique d'Ahmed Wali Karzai, lui demandant de laisser partir le véhicule et la drogue.
Deux ans plus tard, les services anti-drogue américain et afghan ont découvert plus de 50 kg d'héroïne dans un autre camion près de Kaboul. Après cette saisie, selon le New York Times, les enquêteurs américains ont mis au jour des liens entre la cargaison et un garde du corps présumé faire office d'intermédiaire pour le compte d'Ahmed Wali Karzai.
Le président Karzai et son frère ont tous deux démenti ces accusations, affirmant que ce sont des attaques politiques menées par leurs adversaires, rappelle le journal.