La question est spécial. En quoi le travail éviterait le vice et/ou le besoin? Au travail il y a des femmes, des hommes, donc la possibilité de trompé ou de l'être!
En terme de besoin, on peut être entourer par plein de collègues et en même temps se sentir très seul car l'on ne partage pas grand chose avec eux. On peut bosser et avoir un maigre salaire qui ne nous permette pas d'assumer tout nos besoins.
La question est très ouverte... Et on peut aller sur tous les terrains!
Citation filleduprintemps a écrit: Elle veut peut-être dire que travailler permet de moins ressentir lorsqu'on en manque le besoin et l'envie sexuels!
bon si c'est le sens de sa question car elle n'a pas précisé : le travail ou les etudes ne permettent pas de moins ressentir le besoin quelque soit ce besoin sexuel ou sentimental ou social sauf que ça permet d'avoir d'autres préoccupations mais ça n'empêche pas d'avoir ces besoins et d'avoir des buts comme fonder une famille être avec un homme , être aimée se sentir en couple , avoir des amis des relations sociales etc
éloigner le vice c'est déjà lé définir:le vice ou pêché(gourmandise/envie/jalousie/etc...cf la liste des vices...)et le besoin c'est plutôt vital(de nourriture/d'eau etc...)
Et c'est ce que fait le travail, en répondant aux besoins sociaux (se sentir utile, se créer un réseau social...), matériels (gagner de l'argent), physiques (ne pas rester à rien faire) etc...
Et parallèlement il éloigne les vices (oisiveté, paresse, assistanat...)
Mais comme tout n'est pas noir ou blanc, le travail peut aussi créer d'autres besoins (vouloir toujours plus d'argent, un post plus important etc) et engendrer de nouveaux vices (arrivisme, cupidité, carriérisme..)