Tu dis je suis pour toi ; un mystère Un fait abstrait irréel. Je sui ni ange ; ni crédibles Mensonges. Je ne descends pas du ciel. Mais souvent ; je songe. A que tu captes mes mots Mes vers. Chaque jour pour dormir Et Où tu t’allonges. Alors je te berce ; je t’illumine. Tous toi sur moi t’imagines. Je suis juste un pauvre soldat Contre son esprit il se bat. Dans ces regrets ces remords il se noie. Et c’est qu’après livré mille batailles Que le vrai homme se réveille. Délivrée par ces critiques Dans la vie ; il a inventé des techniques. Faut rester flou ; dans les yeux des loups ; Et toucher les bons cœurs. Mais la mienne ; contre toi est différente ; C’est être à l’écoute au maximum ; Est mesurer les mots qui raisonnent. Car a chaque lettre que tu envoies ; Je lis à travers tes descriptions tes lignes ; J’arme mon instinct ma fierté masculine. Et je ficelle sur nous des histoires Pleins d’amour et d’espoirs. Mais parfois …… ! Je vois des cauchemars ; Sa semble ; mauvaises et noirs. Qu’un corbeau qui envole ; Notre basse cour notre maison ; Et du poison il jette sur le sol ; Finie les champs, aussi la raison. Alors que je sors pour le chasser ; Je vois ma maison s’évaporiser s’effacer. Et avec nuire à tous mes rêves ; Qui se balancent et s’achèvent. Ceux des chèvres de brebis, Une femme des chevaux aussi. Une pleine de sagesse et de grâce Une ; qui peut pister mes traces. Qui me sortiras de ma caverne, Très sombre en moi qui me gouverne. Qui me traduira en mille images Elle me dévoilera avec délicatesse, Elle agira en bonne maîtresse. Alors je te déduit je te raconte L’histoire des hommes. Trois dans la vie, je te nomme. Le premier a cœur ouvert ; Facile devant les femmes Très correcte ; très sincère. Le deux ; c’est la moitié. Jamais il s’incarne en entier. Le trois ; un sombre enfer. Avec lui le temps bascule Il grisaille ; se volcanise et recule. Mais il existe une voix Pour aimer les trois. C’est de sécher les larmes, Sur leurs joues… Sur leurs âmes… Et d’apprivoiser le troisième ; Tel un aigle, un lion. Il aime être le roi. De lui sûr, il s’imagine Fière, dans son bateau Les vagues il illuminant. Alors sois pour lui Capitaine et matelots. Fabrique ces cerfs volants colorés. De toi il sera bien l’adoré. Envole sans esprit ; aime le sans répit. Car il sera t’aimer si tu l’aimes. Encore un dernier vers à te lire ; J’ai toujours peur de l’avenir ; De l’oiseau de ma vie ; Qui va détruire……..
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