Dans le jardin des promesses, une fleur se cache, Des mots doux éparpillés, une vérité qui trépasse. Les langues qui trahissent, des sourires déguisés, Dans l'écho du mensonge, l'amour s’est éparpillé.
Des serments fragiles, tels des feuilles d'automne, La confiance trahie, une danse monotone. Les éclats de vérité se perdent dans l'ombre, Les inventions tissent une toile sans nombre.
Les rêves s'effritent, tels des illusions fanées, Dans l'ombre des non-dits, l'âme est tourmentée. Le masque de l'amour, une comédie jouée, Les larmes silencieuses, une tristesse feintée.
Sous le ciel changeant, le temps, complice sincère, Dévoile les masques, efface tous les mystères. Les mensonges dissimulés, tels des oiseaux en cage, Finissent par s'envoler, libérant la vérité au passage.
Les jours passent, révélant les ombres cachées, Comme le vent effleure les feuilles éventées. Les artifices, tels des échos dans le silence, Se dévoilent, érodant l'illusion avec insolence.
Pourtant, dans ce miroir de mensonges tissé, Se trouve une lueur de vérité a demi brisée. Au creux de l'âme, une chance de rédemption, Afin que l'amour renaisse, pur de toute illusion.
Lorsque l'illusion s'effrite, emportée par le temps, L'amour renaît, purifié de tous les tourments. Dans ce jardin des promesses, une nouvelle chance, D'écrire une histoire vraie, sans artifice ni méfiance.
Modifié 20 fois. Dernière modification le 28/02/24 10:46 par EspritFusionné.
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