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Vacances Les “zimigris” rentrent au bled
j
20 juin 2007 19:23
Citation
armel a écrit:
Départs Les grandes vacances ont toujours une saveur particulière. Surtout pour les “zimigris”. Comment vivent-ils ces moments de retrouvailles avec le pays d’origine? Quel regard portent-ils sur son évolution? Comment sont-ils perçus par les blédards?


Au maroc le ciel, les oiseaux et les MREperplexe


En cette fin de journée chaude et ensoleillée, la grosse BMW (“de location”, avancent les uns) immatriculée “bleu blanc rouge” déboule dans le quartier du marché et de la mosquée de Maârif, à Casablanca. Et comme si les passagers n’avaient pas été suffisamment remarqués, ils montent le son de leurs tuners à fond les ballons, et sortent de la voiture en roulant des mécaniques avec leurs habits griffés “Réussite”. Pendant ce temps, les fidèles ne vont pas tarder à rejoindre la mosquée, tandis que d’autres palabrent calmement en terrasse de café. Cette scène, nombre de Marocains l’ont en tête à l’approche des beaux jours, mais elle revient comme une arête de poisson dans leurs conversations. Cette scène, qui affiche sans conteste le fossé entre MRE – les Marocains résidant à l’étranger – et les Marocains – tout court – se passe aussi bien à Rabat, Casablanca, Marrakech qu’à Agadir.
“Avec les premiers rayons du soleil, les discussions tournent autour de ces deux sujets : les vacances et l’arrivée des MRE”, constate amèrement Halima. Pour cette médecin de Casa, si l’été est signe de chaleur et bonheur, il marque aussi avec froideur les rapports humains entre Marocains et “beurs”. “La piscine du Tropicana, je n’y vais plus. Les MRE sont bruyants, ils ne respectent rien. Trop choyés par l’Etat pour leurs devises, ils se croient au-dessus des lois.” Les propos de Tayeb ne sont guère plus enthousiastes. A 32 ans, ce Marocain pur souche et amoureux de son pays, raille: “Ils flambent! En plus, sans vouloir généraliser, ils ne se considèrent pas comme marocains. Ils sont égarés”, déplore-t-il en guise de conclusion.
Pour Siham, jeune secrétaire de 26 ans, “sur les routes et les plages, question conduite et propreté, c’est insupportable”. Mais pour cette jeune femme, fière des valeurs traditionnelles du Maroc, le pire, c’est surtout ce souvenir d’un hôtel d’Agadir où confie-t-elle, “j’ai vu des parents qui osaient boire de l’alcool à côté de leurs enfants”. Le son de cloche est différent du côté de chez Fatima, responsable d’un magasin à Casablanca. Même si elle confirme le manque de civisme des “beurs” en général, cette quadragénaire sourit puis explique: “Les MRE consomment; ils ont un pouvoir d’achat qui n’est pas sans laisser les commerçants indifférents.” Amel travaille dans la communication et se plaît à rappeler une anecdote: “Chez Marjane, on reconnaît les ‘beurs’ à deux choses: la boîte de camembert dans une main, la bouteille de rouge dans l’autre. C’est trop comique, même si, dans le fond, cela ne nous fait pas vraiment rire.”
Et le béret basque? Elle n’en a pas fait mention? Normal, penserait-on, avec cette chaleur. Mais remarquez, un tarbouche bleu serait de bon ton. Une façon intéressante de réunir les couleurs de la France avec une touche locale. Soit une belle réconciliation.



Authentique Vous ignorez où se situe Toumanar, vous ne connaissez rien à l’argan ouà la cuisine traditionnelle?
Profitez de vos vacances pour découvrir le bled autrement. Des associations vous proposent des séjours qui feront de vous un vrai blédard.



Par Nadia Lamarkbi
Le Courrier de L'Atlas
ce texte est plein de haine et cette femme est haineuse et complexer.
y a tellement de choses plus interessantes a ecrire alors qu'elle se m'est a ecrire du n'importe quoi.Censoredthumbs down
a
20 juin 2007 19:28
Citation
jasmin 2000 a écrit:
Citation
armel a écrit:
Départs Les grandes vacances ont toujours une saveur particulière. Surtout pour les “zimigris”. Comment vivent-ils ces moments de retrouvailles avec le pays d’origine? Quel regard portent-ils sur son évolution? Comment sont-ils perçus par les blédards?


Au maroc le ciel, les oiseaux et les MREperplexe


En cette fin de journée chaude et ensoleillée, la grosse BMW (“de location”, avancent les uns) immatriculée “bleu blanc rouge” déboule dans le quartier du marché et de la mosquée de Maârif, à Casablanca. Et comme si les passagers n’avaient pas été suffisamment remarqués, ils montent le son de leurs tuners à fond les ballons, et sortent de la voiture en roulant des mécaniques avec leurs habits griffés “Réussite”. Pendant ce temps, les fidèles ne vont pas tarder à rejoindre la mosquée, tandis que d’autres palabrent calmement en terrasse de café. Cette scène, nombre de Marocains l’ont en tête à l’approche des beaux jours, mais elle revient comme une arête de poisson dans leurs conversations. Cette scène, qui affiche sans conteste le fossé entre MRE – les Marocains résidant à l’étranger – et les Marocains – tout court – se passe aussi bien à Rabat, Casablanca, Marrakech qu’à Agadir.
“Avec les premiers rayons du soleil, les discussions tournent autour de ces deux sujets : les vacances et l’arrivée des MRE”, constate amèrement Halima. Pour cette médecin de Casa, si l’été est signe de chaleur et bonheur, il marque aussi avec froideur les rapports humains entre Marocains et “beurs”. “La piscine du Tropicana, je n’y vais plus. Les MRE sont bruyants, ils ne respectent rien. Trop choyés par l’Etat pour leurs devises, ils se croient au-dessus des lois.” Les propos de Tayeb ne sont guère plus enthousiastes. A 32 ans, ce Marocain pur souche et amoureux de son pays, raille: “Ils flambent! En plus, sans vouloir généraliser, ils ne se considèrent pas comme marocains. Ils sont égarés”, déplore-t-il en guise de conclusion.
Pour Siham, jeune secrétaire de 26 ans, “sur les routes et les plages, question conduite et propreté, c’est insupportable”. Mais pour cette jeune femme, fière des valeurs traditionnelles du Maroc, le pire, c’est surtout ce souvenir d’un hôtel d’Agadir où confie-t-elle, “j’ai vu des parents qui osaient boire de l’alcool à côté de leurs enfants”. Le son de cloche est différent du côté de chez Fatima, responsable d’un magasin à Casablanca. Même si elle confirme le manque de civisme des “beurs” en général, cette quadragénaire sourit puis explique: “Les MRE consomment; ils ont un pouvoir d’achat qui n’est pas sans laisser les commerçants indifférents.” Amel travaille dans la communication et se plaît à rappeler une anecdote: “Chez Marjane, on reconnaît les ‘beurs’ à deux choses: la boîte de camembert dans une main, la bouteille de rouge dans l’autre. C’est trop comique, même si, dans le fond, cela ne nous fait pas vraiment rire.”
Et le béret basque? Elle n’en a pas fait mention? Normal, penserait-on, avec cette chaleur. Mais remarquez, un tarbouche bleu serait de bon ton. Une façon intéressante de réunir les couleurs de la France avec une touche locale. Soit une belle réconciliation.



Authentique Vous ignorez où se situe Toumanar, vous ne connaissez rien à l’argan ouà la cuisine traditionnelle?
Profitez de vos vacances pour découvrir le bled autrement. Des associations vous proposent des séjours qui feront de vous un vrai blédard.



Par Nadia Lamarkbi
Le Courrier de L'Atlas
ce texte est plein de haine et cette femme est haineuse et complexer.
y a tellement de choses plus interessantes a ecrire alors qu'elle se m'est a ecrire du n'importe quoi.Censoredthumbs down


Salam

cest pas du n'import quoi smiling smiley

c'est une realite qu'on peut pas nier ! sauf si on est aveugle ...
j
20 juin 2007 21:54
Citation
armel a écrit:
Citation
jasmin 2000 a écrit:
Citation
armel a écrit:
Départs Les grandes vacances ont toujours une saveur particulière. Surtout pour les “zimigris”. Comment vivent-ils ces moments de retrouvailles avec le pays d’origine? Quel regard portent-ils sur son évolution? Comment sont-ils perçus par les blédards?


Au maroc le ciel, les oiseaux et les MREperplexe


En cette fin de journée chaude et ensoleillée, la grosse BMW (“de location”, avancent les uns) immatriculée “bleu blanc rouge” déboule dans le quartier du marché et de la mosquée de Maârif, à Casablanca. Et comme si les passagers n’avaient pas été suffisamment remarqués, ils montent le son de leurs tuners à fond les ballons, et sortent de la voiture en roulant des mécaniques avec leurs habits griffés “Réussite”. Pendant ce temps, les fidèles ne vont pas tarder à rejoindre la mosquée, tandis que d’autres palabrent calmement en terrasse de café. Cette scène, nombre de Marocains l’ont en tête à l’approche des beaux jours, mais elle revient comme une arête de poisson dans leurs conversations. Cette scène, qui affiche sans conteste le fossé entre MRE – les Marocains résidant à l’étranger – et les Marocains – tout court – se passe aussi bien à Rabat, Casablanca, Marrakech qu’à Agadir.
“Avec les premiers rayons du soleil, les discussions tournent autour de ces deux sujets : les vacances et l’arrivée des MRE”, constate amèrement Halima. Pour cette médecin de Casa, si l’été est signe de chaleur et bonheur, il marque aussi avec froideur les rapports humains entre Marocains et “beurs”. “La piscine du Tropicana, je n’y vais plus. Les MRE sont bruyants, ils ne respectent rien. Trop choyés par l’Etat pour leurs devises, ils se croient au-dessus des lois.” Les propos de Tayeb ne sont guère plus enthousiastes. A 32 ans, ce Marocain pur souche et amoureux de son pays, raille: “Ils flambent! En plus, sans vouloir généraliser, ils ne se considèrent pas comme marocains. Ils sont égarés”, déplore-t-il en guise de conclusion.
Pour Siham, jeune secrétaire de 26 ans, “sur les routes et les plages, question conduite et propreté, c’est insupportable”. Mais pour cette jeune femme, fière des valeurs traditionnelles du Maroc, le pire, c’est surtout ce souvenir d’un hôtel d’Agadir où confie-t-elle, “j’ai vu des parents qui osaient boire de l’alcool à côté de leurs enfants”. Le son de cloche est différent du côté de chez Fatima, responsable d’un magasin à Casablanca. Même si elle confirme le manque de civisme des “beurs” en général, cette quadragénaire sourit puis explique: “Les MRE consomment; ils ont un pouvoir d’achat qui n’est pas sans laisser les commerçants indifférents.” Amel travaille dans la communication et se plaît à rappeler une anecdote: “Chez Marjane, on reconnaît les ‘beurs’ à deux choses: la boîte de camembert dans une main, la bouteille de rouge dans l’autre. C’est trop comique, même si, dans le fond, cela ne nous fait pas vraiment rire.”
Et le béret basque? Elle n’en a pas fait mention? Normal, penserait-on, avec cette chaleur. Mais remarquez, un tarbouche bleu serait de bon ton. Une façon intéressante de réunir les couleurs de la France avec une touche locale. Soit une belle réconciliation.



Authentique Vous ignorez où se situe Toumanar, vous ne connaissez rien à l’argan ouà la cuisine traditionnelle?
Profitez de vos vacances pour découvrir le bled autrement. Des associations vous proposent des séjours qui feront de vous un vrai blédard.



Par Nadia Lamarkbi
Le Courrier de L'Atlas
ce texte est plein de haine et cette femme est haineuse et complexer.
y a tellement de choses plus interessantes a ecrire alors qu'elle se m'est a ecrire du n'importe quoi.Censoredthumbs down


Salam

cest pas du n'import quoi smiling smiley

c'est une realite qu'on peut pas nier ! sauf si on est aveugle ...
thumbs downalors tt les "zimigris" ce la petent et ce la jouent frime et friquer(ca je le vois chez les nouveaux zimigris qui on fait leur papier y a klke annees ceux qui veulent montrer qui ont reussis). je suis pas d"accord moi et ma famille comme beaucoup d'"zimigris" kom vous nous appeler, on se fond ds notre culture o maroc on est discret on met pas l'auto radio a fond mon pere profite quand il est ds son pays de passer c journees en tchamir ,on va nzoro des ssiyed fo pas generaliser c tteye rolling smileymoi ce qui me fais sourire c le camenberg et le rougethumbs down
s
20 juin 2007 22:00
Citation
jasmin 2000 a écrit:
thumbs downalors tt les "zimigris" ce la petent et ce la jouent frime et friquer(ca je le vois chez les nouveaux zimigris qui on fait leur papier y a klke annees ceux qui veulent montrer qui ont reussis). je suis pas d"accord moi et ma famille comme beaucoup d'"zimigris" kom vous nous appeler, on se fond ds notre culture o maroc on est discret on met pas l'auto radio a fond mon pere profite quand il est ds son pays de passer c journees en tchamir ,on va nzoro des ssiyed fo pas generaliser c tteye rolling smileymoi ce qui me fais sourire c le camenberg et le rougethumbs down


pr le camenberg et le rouge c plus le cliché du local mais sans la camenberg evil
e
21 juin 2007 21:14
c'est pathétique comme cliché de cette pseudo journaliste, je suis sûr que je connais le Maroc mieux qu'elle moi qu'a fait des bivouacs au desert smiling smiley
bref ça sent un peu d'air jaloux hein
j
21 juin 2007 22:24
Citation
sopi a écrit:
Citation
jasmin 2000 a écrit:
thumbs downalors tt les "zimigris" ce la petent et ce la jouent frime et friquer(ca je le vois chez les nouveaux zimigris qui on fait leur papier y a klke annees ceux qui veulent montrer qui ont reussis). je suis pas d"accord moi et ma famille comme beaucoup d'"zimigris" kom vous nous appeler, on se fond ds notre culture o maroc on est discret on met pas l'auto radio a fond mon pere profite quand il est ds son pays de passer c journees en tchamir ,on va nzoro des ssiyed fo pas generaliser c tteye rolling smileymoi ce qui me fais sourire c le camenberg et le rougethumbs down


pr le camenberg et le rouge c plus le cliché du local mais sans la camenberg evil
exactthumbs up
j
21 juin 2007 22:27
Citation
elmatwi a écrit:
c'est pathétique comme cliché de cette pseudo journaliste, je suis sûr que je connais le Maroc mieux qu'elle moi qu'a fait des bivouacs au desert smiling smiley
bref ça sent un peu d'air jaloux hein
ca sent la provoc c ttCensored
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