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URGENT:Le mawlid annabawai-Feter l'anniv' du Prophete saws
V
13 avril 2006 14:29
Non, je ne suis pas d accord. Tout est dit ici, toute les bid3a ne sont pas mauvaises !
purée mais lisez bon sang ce que vous disent les savants de el azhar et tous les autres, (autre que les wahabit salafii, et autres apprentis sorciers).
instruisez vous !!!
Vous imaginez vous des gens qui connaissent le coran par coeur, les hadith, la langue arabe, le fiq dans les moindres details, la sira et tout et tout, des generations entieres se tromper si grossierement sur une histoire de bid3a !
Non mais, soyez raisonnables quand même, et posez vous au moins la question !
est ce aussi simpliste que cela ?
.
j
13 avril 2006 14:33
VISIBLE visiblement tu es tétu.... bid3a= innovation , pourquoi on fêterai l'anniversaire du prophete saw alors que lui meme ne la fêtait pas.... pourquoi il est dit qu'il n'y a que deux fetes musulmanes et tu tient a en rajouté une troisieme? ce n'est pas innover ça moody smiley
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V
13 avril 2006 15:12
moi je suis têtu, et toi tu sais lire, alors lis ce modeste travail, et si tu as le courage, je vais ensuite remettre le sujet sur le maouled que j'avais ouvert où il y a plus de 10 liens url vers tous les points essentiels de desaccord recurant qui font que les salafii wahabit se demarquent de l'authentique sounna, celle qui coule de source, est qui n'est pas une eau stagnante et figée :


L’une des plus grandes contributions de l’imam As-Shafi’i [2] se situe au niveau de la division de l’innovation (Bid’aa) en "bonnes" ou en "mauvaises", en fonction du fait qu’elles se conforment ou non aux lignes directrices de la religion.

Ainsi, l’imam As-Shafi’i affirme [3] : « Toute chose innovée qui contredit le Livre, la Sounna, le Consensus des savants ou un Athar [4], est une innovation qui se perd dans l’errance. Par contre toute chose qui est innovée en matière de bien et qui ne les contredit en rien, est une innovation louable. »

Il estime également [5] : « Il existe deux types d’innovations : les innovations réprouvées et les innovations autorisées. Les innovations conformes à la Sounna sont autorisées, mais celles qui la contredisent sont réprouvées ». Il appuie ses propos en se basant sur la parole de Omar : « Quelle bonne innovation ! ». Il importe de noter, à ce sujet, que des avis similaires ont été rapportés par nombre de savants tels que Al Bayhaqui , Al-Nawawî , l’Imâm Al-Haytamî, Abou Bakr ibn Al ’Arabi, Al-Ghazali, Ibn Hazm, Ibn al Jawzi, le Sultan des oulémasl’imam Al Izz Ibn Abd Salam et Al Hafidh ibn Hajar et bien d’autres.[6]


L’imam Al-Shawkani, éminent savant de l’islam, a conclu dans son livre Nayl al-Awtar que la séparation des innovations en bonnes et mauvaises, est la position la plus authentique.


Nous allons donc articuler notre article autour de l’explication d’Al-Shafi’i, qui constitue l’avis majoritaire concernant ce sujet.


Les bonnes innovations



Il existe des actes et des faits nouveaux qui ne contredisent pas les règles de la législation islamiques, bien au contraire, ces derniers étant louables voire obligatoires.


Les compagnons et leurs successeurs qui ont « innové » à plusieurs reprises, respectaientl’esprit de l’islam et ses préceptes généraux.Ces innovationsont été bien accueillies et adoptées par toute la communauté, car elles lui étaient bénéfiques.


C’est dans ce même ordre d’idée que l’on pourra comprendre la tradition suivante :


Le Prophète (BSSL) précise :« Celui qui apporte une bonne tradition (Sounna Hassana) en Islam en aura sa récompense et la récompense de celui qui la met en pratique après lui, sans qu’aucun ne soit lésé dans sa récompense. Et celui qui apporte une mauvaise tradition (Sounna Sayi-a) en portera le fardeau et celui de ceux qui la mettent en pratique après lui, sans qu’aucun d’eux ne soient déchargés de leur fardeau »[7].


Ce hadith est édifiant à plus d’un titre. Les pratiques en rapport avec la religion, qui trouvent une justification dans les références de la législation islamique, ne sont donc pas considérées comme une innovation blâmable (Bid’aa). Par conséquent, une chose nouvelle ne constitue pas pour autant une innovation blâmable, pour l’être elle doit contredire les textes.


Dans ce sens, plusieurs innovations ont été classées comme louables. Donnons quelques exemples[8] :


Le Coran a été rassemblé en un opuscule à l’époque du khalife Abou Bakr. Le khalife Othman rassembla ensuite le Coran dans un seul ouvrage dont il envoya plusieurs exemplaires aux différentes contrées.
Omar Ibn Khattab a institué la prière collective de Tarawih pendant le mois de Ramadan. Puis, lorsqu’il vit les musulmans accomplir cette prière il s’exclama : « quelle bonne innovation ! ». Oubayy Ibn ka’ab signifia alors à Omar que cette pratique n’existait pas auparavant. Omar répliqua qu’il le savait, mais que c’était une bonne chose.
Il y a aussi la rédaction de différents ouvrages relatifs à différentes sciences comme la science des Hadiths, les fondements de la jurisprudence (ousoul al-fiqh) ...
La mise en place de "Mihrab"[9] dans les mosquées afin d’indiquer la direction de la Qibla.
La vocalisation du Coran (tachkil al qoraane).
L’appel à la prière du vendredi qu’institua Othman, qui s’effectuait au-dessus de sa propre maison[10], afin de permettre aux gens situés loin de la mosquée d’être bien informés[11].
L’approbation par les savants religieux de certaines décisions représente un gage incontestable de légitimé, la communauté ne pouvant s’unir dans l’erreur. Ibn Mass’oud précise : « Tout ce que les musulmans considèrent comme bien est effectivement bien, et ce qu’ils considèrent comme mal, cela est effectivement mal »[12].


L’absolu et le relatif


L’interprétation de l’islam n’est pas une étape unique, et verrouillée, mais un effort intellectuel permanent. Le grand mérite de nos pieux prédécesseurs réside surtout dans le fait, qu’ils ont parfaitement compris l’esprit de l’islam, respectant la méthode et les principes de la recherche en « mettant toute leur énergie à formuler leur propre jugement »[13]. Cette extrême flexibilité permettra l’adoption en masse de l’islam par des peuples aussi différents que les Berbères et les Perses pour ne citer que ces derniers. Précisons qu’à cette époque, il existait plusieurs interprétations à travers une méthodologie que chacun s’efforçait d’appliquer[14].


Nous savons donc que nos pieux ancêtres avaient des positions bien différentes. Se référer à ces derniers, n’ a de sens que si nous faisons preuve de la même volonté, en s’inspirant avec sincérité de leur méthodologie. Se contenter de lister les avis de savants sans les situer dans le texte et le contexte, est aussi dangereux que de ne pas s’y référer du tout. Rappelons également, que l’histoire de l’islam est marquée par de nombreuses controverses, c’est en effet une religion qui incite ses fidèles à déployer sans cesse des efforts intellectuels : « Quiconque fait un effort d’interprétation et aboutit à une décision correcte sera récompensé doublement. Celui qui fait un effort d’interprétation et aboutit à une décision incorrecte n’aura qu’une seule récompense ».


Ainsi, Ibnou Masoud[15], qui était un des compagnons qui faisait montre de la plus grande sévérité dans la condamnation des innovations[16], s’est retrouvé lui-même contraint de se servir de Al-ra’y (l’opinion personnelle) et de Ilm Al-Kalam (science du dogme qui fait appelle à la raison) [17], considéré par beaucoup de ses contemporains comme étant une hérésie. Ibn mas’oud fera d’ Al-ra’y un usage régulier et élaboré, ce qui fondera plus tard l’école d’ Al-ra’y en Irak[18]. Rien ne permet donc de les considérer comme des innovateurs, et un célèbre hadith de Mu’adh Ibn Jabal fonde la légitimité de ce procédé[19].


Par ailleurs, Ibn Taymiyya qui vilipendait l’imam Ghazali pour avoir utilisé les principes de la philosophie (la logique aristotélicienne), a été lui-même amené plus tard à introduire des concepts philosophiques dans ses débats. Mais certains ne retiendront de ce dernier que sa condamnation des philosophes.


Contrairement à une opinion répandue, la religion musulmane a toujours fait l’objet d’une adaptation en fonction de l’environnement dans lequel elle se trouvait. Cette adaptation est liée à un véritable effort intellectuel d’interprétation. Les compagnons du Prophète, leurs successeurs et les savants religieux ont toujours prôné une compréhension consciente, intelligente et équilibrée des références. C’est ce qu’ont signifié les premiers juristes, après Abou Hanifa et As-Safi’i, avec la notion de maqasid ashari’a : les objectifs, les principes d’orientation de la législation islamique.



Les mauvaises innovations



Cette « religiosité maladive » (tadayyoun maradi) qui tourne autour d’elle-même, se conçoit comme la seule digne d’être musulmane, et toise du haut de sa supériorité et de son orgueil toute autre pensée. Ce courant ne fait montre d’aucune modestie, et se refuse à intégrer la sagesse des autres écoles. Leur seul argument est je cite : « Comment pourrait-il y avoir en Islam de belles innovations ? Toute nouveauté est une innovation, donc un égarement qui sera au feu ».


Revenons désormais aux deux fameux hadiths de Aicha qui évoquent les innovations. On s’aperçoit alors qu’ils corroborent l’interprétation de l’imam As-Safi’i.


Aïcha rapporte les propos suivants du Messager de Dieu : « Celui qui apporte dans notre religion, une innovation qui est étrangère, aura son oeuvre annulée et rejetée ».[20]. Dans la version de Mouslim, il est précisé : « celui qui fait une chose en désaccord avec notre religion, aura son oeuvre annulée et rejetée ».[21]


Ces Hadiths signifient que celui qui innove, en matière de religion, une chose ou une pratique qui va à l’encontre de la législation islamique, en supporte le péché et son oeuvre est rejetée.[22]


Rappelons, encore une fois, l’analyse du grand maître As-Safi’i relative à la mauvaise innovation : toute action qui ne se conforme pas aux commandements de Dieu, et à ceux de Son Envoyé est irrecevable.


Les innovations blâmables se situent à plusieurs degrés. Certaines font partie du polythéisme, d’autres de la mécréance et d’autres des péchés. Elles sont généralement classés en deux catégories :


Les innovations en matière du Credo islamique (Al-‘Aquida al islamiyya) : Ces innovations ont pour vocation d’améliorer les dogmes et les croyances ou encore la production d’un nouveau Credo qui n’a pas été institué par les authentiques références islamiques A ce propos, on rapporte qu’en marchant à Hounayn, les compagnons passèrent devant un jujubier que les associateurs vénéraient en suspendant leurs armes à ses branches. Quelques nouveaux convertis affirmèrent alors : « O envoyé de Dieu ! Désigne-nous un arbre de bénédictions comme les associateurs en ont un » Le Messager de Dieu leur répondit : « Dieu est grand, vous venez de demander ce que les peuples de Moïse lui avaient demandé : (Fais nous un Dieu de même qu’ils ont des divinités)[23]. Puis il souligna : « vous êtes un peuple se comportant suivant l’ignorance païenne. Vous allez cheminer suivant les voies de ceux qui vous ont précédé »[24]. En effet, dès lors que la discorde a pris de l’ampleur parmi les musulmans, suivie de l’apparition de « groupes égarés » mettant surtout l’accent sur des sujets concernant le domaine de la croyance, plusieurs « hérésies » se sont ainsi manifestées. Les pieux ancêtres de cette communauté ont donc délaissé ces paroles inutiles, pour se limiter aux sujets liés au dogme et conformes aux références islamiques.
Les innovations dans les actes cultuels (Al-‘ibadat)
Une adoration qui ne trouve aucun fondement dans les références islamiques [25] est une mauvaise innovation.[26] Cette interdiction peut être déduite du verset où Dieu affirme : (Ou bien auraient-ils des associés (à Allah) qui auraient établi pour eux des lois religieuses que Dieu n’a jamais permises ?)[27]. Pour illustrer cette idée, on peut citer l’exemple de cet individu qui, au temps du Prophète (BSSL), avait fait voeu de rester continuellement debout sous le soleil, et de ne jamais s’asseoir en jeûnant sans arrêt. Le Messager de Dieu lui ordonna de s’asseoir et de se mettre à l’ombre pour terminer son jeûne jusqu’à la fin de la journée.[28] En revanche, les pratiques cultuels qui n’existaient pas du temps du Prophète, mais qui trouvent quand même leur fondement dans les références islamiques ne sont pas considérées comme (Bid’aa).


Equilibre et pondération :


Doit-on rappeler que nous sommes une communauté du juste milieu. Le messager de Dieu (BSSL) a averti contre l’extrémisme : " Je vous mets en garde contre l’extrémisme dans la religion, en effet ceux qui sont venus avant vous, n’ont été détruits qu’en raison de leur extrémisme dans la_religion."[29]


Il est donc important de noter l’inflexibilité doctrinale d’un certain courant, qui aspirait, à l’origine, à dépasser les écoles juridiques, se muant ainsi en une nouvelle école, dont la particularité est d’être plus rigide que les autres. Ce n’est certainement pas le Texte qui est ici à mettre en cause, mais plutôt les comportements de certains qui prétendent parler au nom du Texte, contribuant surtout à desservir à la fois son message et son esprit !
Selon Abou Hourayra le Prophète (BSSL) souligne que : « La religion est aisance et facilité. Jamais quelqu’un ne cherchera à rivaliser de force avec la religion sans que la religion ne l’écrase. Suivez plutôt la voie sage du juste milieu, rapprochez-vous en douceur de la perfection et soyez optimistes... »[30] . La rigidité est un principe totalement contraire à l’esprit de la religion musulmane.


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[1] Il serait judicieux de rappeler ici, l’empreinte des préceptes extrémistes sur la société arabe qui s’est traduite par un certain nombre de mesures souvent restrictives pour la liberté individuelle des femmes. Le conseil des grands oulémas dans un pays du golfe a rappelé son hostilité à la conduite des voitures par les femmes. Ce qui nous rappelle le débat sur l’instruction de la femme dans les années 60. « Ce sont les mêmes qui se sont opposés au téléphone, puis à la télévision, puis à l’éducation des filles et maintenant à la conduite des voitures et au droit de vote »

[2]L’imam Mohamed Ibn Idris As-Shafi’i (mort en 204 H/8l9 JC) est le disciple de l’imam Malik Ibnou Anas, l’arrière disciple des deux compagnons d’Abou Hanifa et le maître de l’imam Ahmed Ibnou Hanbal, premier fondateur d’une nouvelle discipline scientifique : les fondements de la jurisprudence islamique ‘ilm ousoul Al fiqh.

[3] Rapporté de Harmala disciple de As-Shafi’i par Abou Nouaym dans Hilyat Al-Awliya. La parole de Omar est rapportée par Al-Boukhari dans son Sahih et par l’imam Malik dans son fameux livre Al-Mouwatta.

[4] Un Athar est une information traditionnelle, en l’occurrence, ce qui est rapporté des compagnons du Prophète ou de leurs successeurs.

[5] Rapporté d’Al-Rabi’, autre disciple de As-Shafi’i par Al-Bayhaqui dans son livre Madkhal et Manaqib Al-Shafi’i avec une chaîne authentique comme l’écrit Ibn Taymiyya dans son livre Dar’ Ta’arud Al-’Aql wa Al-Naql’.

[6] Il importe de noter que certains savants ont classé les bonnes et les mauvaises innovations suivant les cinq statuts juridiques connus. L’innovation est ainsi divisée : celle qui est obligatoire (wajiba), interdite (mouharrama), recommandée (mandouba), déconseillée (makrouha) ou indifférente (moubaha). En revanche, on trouve plus de réticence au niveau de l’école hanbalite et
surtout avec Ibnou taymiyya.

[7]Rapporté par Mouslim dans son Sahih (chapitre de la Zakat)

[8]Quant aux nouveautés concernant les actes ordinaires de la vie, elles ne sont pas appelées Bid’aa [innovation] en Islam.

[9] La niche de prière qui indique la Qibla, la direction de La Mecque dans la mosquée. C’est dans cette direction que prient les musulmans.

[10] La maison de ‘Othman est située dans un endroit avoisinant la mosquée prophétique appelée Zawra’.

[11]Rapporté par Al-Boukari, Abou Daoud, Attirmidhi et An-Nassai’

[12] Rapporté par l’Imam Ahmed dans son livre As-Sunnah

[13] Expression empruntée du Dr Saîd Ramadan Al Bouti, grand savant du monde islamique, dans son livre « assalafiyya ». Je désigne ici par méthode les règles d’extractions des avis juridiques à partir des références islamiques.

[14] Y compris la notion de Bid’aa a fait l’objet de l’ijtihad

[15] Ibn Mas’oud : Compagnon du Prophète et lecteur du Coran, exégète. Mort en 32H/652JC.

[16] Il a été authentiquement rapporté par Ibn Mas’oud (que Dieu l’agrée) qui a affirmé : "Suivez et n’innovez pas, car en vérité ceci vous est suffisant et sachez que touteinnovation est un égarement"

[17] A l’instar d’Ibn Mas’oud , d’autres ont fait de même, citons entre autres, l’imam Ali, qui a débattu avec Yazid Ibnou Oumayra à propos de la foi (Al Imane), Ibnou Abbas[17] qui a débattu avec le groupe des khawarij et l’imam As-Shafi’i[17](que Dieu les agrée tous) qui a débattu avec Bichr Al Merissi.

[18] Parmi ses disciples nous retrouvons, ‘Alqamah Ibnou Qays Nakha’i et Ibrahim Nakha’i

[19] Mu’adh ibn jabal avait été nommé juge au Yémen par le prophète Mohamed. Avant son départ, le prophète lui demanda : Selon quoi vas-tu juger ? Il répondit : Selon le livre de Dieu. Mohamed demanda : Et si tu n’y trouves rien ? Il répondit : Selon la tradition du prophète de Dieu. Mohamed demanda finalement : Et si tu n’y trouves rien ? Il dit : Alors je m’efforcerai de former mon propre jugement. Et aussitôt le prophète s’écria : Que Dieu soit loué, car il a montré au messager de son prophète ce qui plaît à son prophète. Hadith authentique rapporté par Abou Daoud.

[20]Rapporté par Al-Boukhari et Mouslim

[21] Un autre hadith a été longuement commenté au sujet des innovations : Le Prophète (BSSL) précise : « ... En réalité, celui d’entre vous qui vivra après moi verra une divergence de vues. Restez donc attachés à ma Sounnah, à celle des califes bien guidés après moi. Mordez-y à pleine dents ( lit : par vos molaires). Evitez les pratiques innovées car toute innovation (en islam) constitue un égarement ». (Rapporté par Ahmad, Abou Daoud et at-Tirmidhi qui le déclare : bon et authentique)

[22]Parmi les causes qui ont favorisé l’apparition des innovations, on trouve :
6.Des habitudes (‘Adat) et des légendes (Khourafat) qui n’ont aucune source dans la religion.

[23]Coran Sourate 7/138

[24] A titre d’exemple, citons le fait de suivre en matière de credo, la doctrine incriminée par les groupes égarés tels que : Al Batiniyah, Al Murjiaah, Al Khawarij, Al Kadariyya, Al Jahamiyya,Ar-Rawafids ...

[25] Les références islamiques telles que définies par les fondements de la jurisprudence islamique ‘ilm ousoul Al fiqh’.

[26]Pour illustrer ce passage, voici quelques illustrations :

[27]Coran Sourate 42/21

[28] Rapporté par Mouslim

[29] Rapporté par An-Nasa’i, Ibn Maja, Ahmad avec un chaine authentique.

[30] Rapporté par Al-Boukhari




Ahmed Elouazzani
.
V
13 avril 2006 23:47
on m'a appris a respecter les morts, je ne savais pas que Albani était mort rahimahou Allah.
Pardon.
p
14 avril 2006 00:04
salam...

je n'ai pas encore lu tous les textes que vous avez postés, que ce soit de la part de ceux qui sont pour la célébration de cet anniversaire, ou bien que ce soit de ceux qui sont contre.

dans ce post, ce n'est pas parler de la définition du terme "assalafi" ou bien de "savants d'al azhar", mais recentrer le débat sur le sujet initial: la célébration de l'anniversaire de l'envoyé d'Allah.


il y a un hadith qui m'a sauté aux yeux, et que j'avais déjà lu dans un livre qui s'intitule: "la mort de l'envoyé d'Allah, sallah Allahou 3alayhi wa salam":

Le Prophète sallah Allahou 3alayhi wa salam a dit:

"Ne faites pas de moi ce que les Chrétiens ont fait du fils de Marie, je ne suis qu'un serviteur et dites plutôt "serviteur et messager de Dieu"

ne faites pas de moi ce que les chrétiens ont fait du fils de marie... ces paroles sont parmies les dernières que le Prophète sallah Allahou 3alayhi wa salam ait prononcé...


maintenant, pour appliquer ce hadith, il faut comprendre ce que les chrétiens ont fait du fils de Marie.
Et qu'ont ils fait?
Ils ont fétés, et fêtent encore aujourd hui son anniversaire... le 25 décembre de chaque année, les chrétiens, et non chrétiens (parmi eux, des personnes qui se disent musulmanes) célèbrent l'anniversaire de 'Issa 3alayhi salam.




visiblement, tu as toi même posté ceci:

Ainsi, l’imam As-Shafi’i affirme « Il existe deux types d’innovations : les innovations réprouvées et les innovations autorisées. Les innovations conformes à la Sounna sont autorisées, mais celles qui la contredisent sont réprouvées »


tu as bien posté: "mais celles qui la (sounna) contredisent sont repoussées"

si on tiens compte du hadith du Messager d'Allah, sallah Allahou 3alayhi wa salam, le fait de célébrer l'anniversaire est donc en contradiction avec la sounna, non?
m
14 avril 2006 02:02
salam alékom,

merci ma soeur pour ce hadith et cette explication je l'avait oublié, soubhanAllah.
C'est ce qu'on essaye de dire mais tu l'as surement expliqué de la meilleure manière mais apparémment des gens ne tiennent pas souvent comptent des hadiths et de leurs explications et veulent des versets du Saint Coran qui prouvent ceci et cela explicitement sans réflexion.
m
14 avril 2006 02:11
Salam alékom,

je connais le hadith et je vais de ce pas faire mas recherches pour retrouver le rapporteur inchAllah.

Salam alékom.
a
14 avril 2006 11:22
tout le monde connait ce hadith je suppose?? "koulla bid3atin dalala, oua koulla dalalatin fi annar" (toute innovation est egarement, et tout égarement est en enfer) ...

de plus, je cite ce passage du texte meme de VISIBLE:


Une adoration qui ne trouve aucun fondement dans les références islamiques [25] est une mauvaise innovation.[26] Cette interdiction peut être déduite du verset où Dieu affirme : (Ou bien auraient-ils des associés (à Allah) qui auraient établi pour eux des lois religieuses que Dieu n’a jamais permises ?)[27].


alors qu'on m'apporte le fondement de cette fete du moulid annabawi dans les references islamiques ...

de plus, Le Prophète — paix et bénédictions sur lui — a dit : " Toute nation a ses festivités et voilà les vôtres." Ici, le prophète indique que les deux Aïd sont des fêtes spécifiques aux musulmans.

Les musulmans n’ont pas de festivité à l’exception de l’Aïd al-Fitr et l’Aid al-Adhâ. Anas — qu’Allâh l’agrée — a dit : « Le Messager de Dieu — paix et bénédictions sur lui — vint à Médine et les habitants de cette cité avaient deux fêtes. Durant ces deux jours, des carnavals et des festivités avaient lieu. Le Prophète — paix et bénédictions sur lui — interrogea les Ansars (les musulmans de Médine) à ce propos. Ils lui répondirent qu’avant l’Islam ils avaient l’habitude d’organiser des carnavals durant ces deux jours de fête. Le Prophète — paix et bénédictions sur lui — leur dit : ’A la place de ces deux jours, Allâh a choisi deux autres jours qui sont meilleurs, ceux de l’Aïd al-fitr et de l’Aïd al-Adhâ’. » (Rapporté par Abû Dawûd, 1134)


de quel droit donc ajouterions nous un 3eme jour de fetes alors que le prophete saws a bien précisé que nos jours de fetes sont seulement aid al adha et aid al fitr??

cette fete est bien en contradiction avec les references de la sounna

wa allahou a3lam
quand le sage designe la lune, l'idiot regarde le doigt (lue sur le forum)
t
14 avril 2006 12:02
salam

La commémoration du maouloud entre t-il dans les 3ibada ? ou dans les mou3amalat ?

tawmat
a
14 avril 2006 16:37
Citation
tinky a écrit:
salam

La commémoration du maouloud entre t-il dans les 3ibada ? ou dans les mou3amalat ?

tawmat

tres tres bonne question. à mon avis, c'est la où peut se poser tout le probleme.

beaucoup la considere comme fete musulmane, donc integrée dans la religion islamique meme. et ca, c'est un ajout à la religion qui n'a aucune justification.

d'autres la considerent comme n'etant qu'une occasion comme une autre pour se rappeler le prophete saws et donc de faire certains actes d'adorations dédiés à Dieu soubhanah. dans ce cas, sachant que ce jour n'a pas plus de merite qu'un autre, car rien ne prouve qu'il a plus de merite qu'un autre, alors Allahou a3lam, ce n'est peut etre pas une bid3a puisque ca n'est pas un ajout à la religion.
mais dans ce cas, une question se pose ... a t on besoin d'une occasion annuelle pour se rappeler le prophete saws alors qu'on se rappelle Dieu et son prophete au moins 5 fois par jour?? (la priere obligatoire). et je dis bien au moins.

de plus, le lundi est pour le musulman un jour de naissance du prophete saws. et le jeuner est une facon de feter l'anniversaire du prophete saws, mais cela toutes les semaines. et ce jour, le prophete saws lui meme recommende de le jeuner parce qu'entre autres, c'est un jour de naissance du prophete saws.

en tous cas, ce que je pense, wa Allahou a3lam, c'est que rien ne justifie de feter ce jour, et si on le fete, il faut voir l'intention derriere cela. si c'est considéré comme faisant partie de la religion, alors c'est clairement une bid3a, et si c'est considéré comme une occasion comme une autre, sans plus au niveau de la religion, alors non, ca n'en est pas une.
quand le sage designe la lune, l'idiot regarde le doigt (lue sur le forum)
t
15 avril 2006 08:21
salam

Tu poses la question amine69 a t on besoin d'une occasion annuelle pour se rappeler le prophete saws ?

Je te répond par Oui! et surtout ici en Europe et particulièrement en France.

Avec l'affaire des caricatures les musulmans doivent montrés au monde entier leur attachement à leur prophète et si une fois par an tous les musulmans de France et de certaines parties du Monde effectue un jour de commémoration celà montrera clairement le respect que l'on a pour notre prophète et que le toucher lui c'est nous toucher nous.

A l'occasion de la commémoration cette année il va y avoir plus de 400 000 biographie du prophète saws donné gratuitement. Voilà un acte qui ma foi est fort judicieux.

Mais pour revenir au problème de base pour moi c'est clairement une mou3amalat et les deux avis sont émis par des savants. Certains disent que c'est interdit en argumentant et d'autre disent que c'est permis en argumentant et ma foi les deux ont raisons. Tout dépend de l'endroit sur terre ou tu te trouves.

Il existe des pays où le maouloud y est présent mais avec des déviations très fortes là sans communes mesures il faut agir afin que les gens reviennent à de pratique Islamique réel et dans certains pays où le maouloud n'existe pas donc là il ne faut pas ouvrir de porte en ne pratiquant pas la commémoration.

tawmat
m
15 avril 2006 08:25
J'ai vue un reportage a la tv marocaine concernant celà

et on y vu dans une grande salle pleine d'enfant un homme deguiser avec fausse barbe etc (qui me faisais etrangement pensé a papa noel!)
il entre distribue des cadeau et les enfant l'apellais baba mouloud !!!
Je pense qu'ils on trop exagerer, c caricaturer une fête occidental ... voià qu'en pensez vous?
m
16 avril 2006 00:47
Salam alékom,

Autant f^ter noel, non mais cela du moins ce genre de comportement eh bien c'est sombrer dans l'ignorance, les gens de nos jours vont trop loin.
Suivre le Saint Coran et la Sunna du Prophète Mohamed(pbsl) est essentiel pour être un bon musulman et faire ce genre de de choses ce n'est pas l'Islam.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/04/06 00:58 par mediii.
a
16 avril 2006 05:07
Bismallahir-Rahmanir-Rahim

J'ai trois questions pour vous les avocats de la Bid'ahs (Tinky et Visible et autres...)

1-S'il exite des bonnes et des mauvaises Bid'ah; Pouvez vous me donner une définition d'un mauvaise Bid'ah et un exemple d'une mauvaise Bid'ah?

2-Cette mauvaise Bid'ah, comment avez vous conclu quelle est mauvaise?

3-Quelle est la différence entre le péché et la Bid'ah selon vous?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/04/06 05:08 par alhayiti.
*************************************************************L'Imam Ash-Shaafi'i a dit: "Qu'un homme soit mis à l'épreuve par Allah avec tous ce qu'Allah a interdit excepté le Shirk est meilleur pour lui que ces passions (les Bid'ahs)"Et L'Imam Soufyian Ath-Thawri a dit: "La Bid'ah est plus aimée d'Ibliss (le Shaytan) que le péché; car on peut se repentir du péché, mais on ne se repent pas de la Bid'ah".Car Celui qui fait un péché sait que c'est interdit, tandis que celui qui fait une Bid'ah croit se rapprocher d'Allah!
t
16 avril 2006 12:18
salam

Oui il existe de bonne bid'a et de mauvaises bid'a smiling smiley

La bonne Bid'a c'est le tarawih et les qyams a leyl. Cette pratique a été instauré à l'époque de Omar raa car jamais le prophète saws n'a fait un mois entier la salat tarawih et quand on a demandé à Omar raa pourquoi il a agit ainsi en lui disan tque c'était une bid'a il a répondu c'est une bid'a hassanah.

La mauvaise bid'a c'est le cas très connu de la femme qui a effectué la prière devant des hommes étrangers.

2-Cette mauvaise Bid'ah, comment avez vous conclu quelle est mauvaise?

Car elle n'a aucun fondement dans la sounnah.

3-Quelle est la différence entre le péché et la Bid'ah selon vous?

Le péché ne mène pas à l'égarement, la bid'a nous y mène comme le dit le hadith.

tawmat
V
16 avril 2006 15:59
Citation
alhayiti a écrit:
Bismallahir-Rahmanir-Rahim

J'ai trois questions pour vous les avocats de la Bid'ahs (Tinky et Visible et autres...)

1-S'il exite des bonnes et des mauvaises Bid'ah; Pouvez vous me donner une définition d'un mauvaise Bid'ah et un exemple d'une mauvaise Bid'ah?

2-Cette mauvaise Bid'ah, comment avez vous conclu quelle est mauvaise?

3-Quelle est la différence entre le péché et la Bid'ah selon vous?

[www.yabiladi.com]
voici le genre de pratique qui si on la laisse se repandre devient une mauvaise bid3a (désolé pour la soeur de la prendre en exemple, c'est pour la bonne cause) :

SOEURE N°1 j'ai une petite question qui pourra vous paraître bête mais bon ...

Quand on fait ses petites ablutions, faut-il tout d'abord se laver les parties intimes, ou bien ne doit-on les laver que pour les grandes ablutions ?

Merci pour vos réponses !

SOEURE N°2
1 ERE REPONSE
Tu débutes bien entendu par les parties intimes.



SOEURE N°1
Cite la soeur N°2: " Tu débutes bien entendu par les parties intimes. "

et ajoute ceci:
C'est bien ce que je pensais. Le truc c'est que dans pas mal de bouqins, ils zappent cette étape. Je trouve ça plutôt bizarre ...
[www.yabiladi.com]

VOICI L EXEMPL TYPIQUE DE COMMENT NAIT UNE MAUVAISE BID3A
DEJA BIEN REPANDUE J AI L IMPRESSION D AILLEUR

Je sors en famille, ce soir je te donne un exemple de bonne bid3a, ou plus... combien tu en veux ?

---

pas mal ton lapsus sur la mauvaise ou la mauvaise bid3a au debut de ta question.
.
a
16 avril 2006 16:36
Bismillah Ar-Rahmanir-Rahim

As-Salamou 'alaikoum

Je suis désolé mais votre réponse n'est pas vraiment claire!

Alors je repose mes questions en souhaitant que vous répondiez avec plus de clareté. EN INSISTANT SURTOUT SUR LA PREMIÈRE ET LA DEUXIÈME QUESTION. L'exemple d'un femme qui prie devant des hommes étrangers ou la question des parties génitales n'est pas claire.

J'ai trois questions pour vous les avocats de la Bid'ahs (Tinky et Visible et autres...)


1-S'il exite des bonnes et des mauvaises Bid'ah; Pouvez vous me donner une définition d'un MAUVAISE Bid'ah et un exemple d'une mauvaise Bid'ah?


2-Cette mauvaise Bid'ah, comment avez vous conclu quelle est mauvaise, POURQUOI EST-ELLE MAUVAISE?


3-Quelle est la différence entre le péché et la Bid'ah selon vous?
*************************************************************L'Imam Ash-Shaafi'i a dit: "Qu'un homme soit mis à l'épreuve par Allah avec tous ce qu'Allah a interdit excepté le Shirk est meilleur pour lui que ces passions (les Bid'ahs)"Et L'Imam Soufyian Ath-Thawri a dit: "La Bid'ah est plus aimée d'Ibliss (le Shaytan) que le péché; car on peut se repentir du péché, mais on ne se repent pas de la Bid'ah".Car Celui qui fait un péché sait que c'est interdit, tandis que celui qui fait une Bid'ah croit se rapprocher d'Allah!
t
16 avril 2006 16:46
salam

Tu te moque de moi smiling smiley

Ecoute je préfère éviter de polémiquer mes réponses sont claires.

tawmat
a
16 avril 2006 17:03
Bismillah Ar-Rahmanir-rahim

As-Salamou 'alaikoum

Quand c'est pour expliquer les mauvaises Bid'ahs tu as soudainement le souffle court et tu ne veux pas "polimiqué"!

Allez répond a mes questions de facon claire car tu n'est PAS CLAIRE DU TOUT.

Tu parles peut-être d'un Imam femme qui prie devant les hommes? Ou des femmes qui prie devant les hommes comme quand on dit : prier devant un mur?

Et en fait ton exemple ne tien pas car tu as dit que c'est une mauvaise Bid'ah parce que ca n'a pas de fondements dans la Sounnah.

Et tu as dis au sujet du Tarawih que c'est une Bid'ah alors que ca a un fondement dans la Sounnah... Donc le Tarawih n'est pas une Bid'ah, c'est une Sounnah!

Et il ne faut pas oublié que le prophète paix et salut sur lui a prier le Tarawih trois soir de suite, puis il a cesser de faire le tarawih en groupe par crainte que cela devienne Wajib ou obligatoire pour la Oummah. Et il savait que les gans ne seraient pas capable. Alors pas miséricorde pour nous, il a cessé de le faire.

Les gens continuaient à prier le Tarawih mais individuellement dans la mosquée jusqu'à l'époque du Khilafah de 'Omar Ibnoul-Khattaab. Il réunit tout le monde derrière un seul Imam pour faire le Tarawih comme le prophète paix et salut sur lui l'avait fait durant les trois nuits durant le Ramadan. Il dit donc : "Ni'matoul-Bid'ah Hadhihi" Ce qui signifie: Cette "Comme cette Bid'ah est une Ni'mah!" Mais il est claire que Omar Ibnoul-Khattab ne voulait pas dire Bid'ah dabs le sans religieux, car cet action avait un fondement dans la Sounnah. C'est plutôt une Bid'ah au sens linguistique. Voilà pourquoi je dis que ta réponse n'est pas claire du tout!



Modifié 4 fois. Dernière modification le 16/04/06 17:54 par alhayiti.
*************************************************************L'Imam Ash-Shaafi'i a dit: "Qu'un homme soit mis à l'épreuve par Allah avec tous ce qu'Allah a interdit excepté le Shirk est meilleur pour lui que ces passions (les Bid'ahs)"Et L'Imam Soufyian Ath-Thawri a dit: "La Bid'ah est plus aimée d'Ibliss (le Shaytan) que le péché; car on peut se repentir du péché, mais on ne se repent pas de la Bid'ah".Car Celui qui fait un péché sait que c'est interdit, tandis que celui qui fait une Bid'ah croit se rapprocher d'Allah!
t
16 avril 2006 18:16
salam, bonjour, smiling smiley

Tu parles peut-être d'un Imam femme qui prie devant les hommes? Ou des femmes qui prie devant les hommes comme quand on dit : prier devant un mur?

---- Je parles de la femme imam qui prie devant des hommes étrangers c'est plus que claires. C'est une bid'a car celà n'a aucun fondement dans la sounnah.


Et tu as dis au sujet du Tarawih que c'est une Bid'ah alors que ca a un fondement dans la Sounnah... Donc le Tarawih n'est pas une Bid'ah, c'est une Sounnah!

---- C'est une bid'a hassana car jamais le prophète saws n'a effectué le tarawih comme on le fait nous aujourd'hui. C'est Omar raa qui a instauré cette pratique et c'est Omar qui a dit que c'était une bid'a hassana. Et contrairement à la femme imam celà à un fondement dans la sounnah même si le prophète saws ne l'a jamais fait comme ça.

tawmat
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